Tomas Jensen et les Faux-Monnayeurs, ou comment en avoir pour son argent
Comment passer de Brassens à Manu Chao en une soirée? Facile, avec Tomas Jensen et les Faux-Monnayeurs, on vous garantit un cocktail de musiques et de textes colorés.
"Nous venons tout juste d’enregistrer un disque qui sortira bientôt et nous allons présenter pas mal de nos nouvelles chansons", souligne Tomas Jensen en parlant du spectacle de l’Île-du-repos. Ludique sera le mot d’ordre de cette soirée: Jensen adore quand les gens s’amusent et il ne cache pas que sur scène, le but sera de "jouer et de se faire du plaisir".
La pluralité des sons et des rythmes de cet auteur-compositeur-interprète constitue sa marque de commerce. Citoyen du monde, il est né en Argentine, a habité le Brésil, a passé 20 ans de sa vie en France et il vit au Québec depuis 1998. Ses nombreux déplacements l’ont naturellement mis en contact avec diverses cultures et de nombreux musiciens qui ont eu un impact sur sa façon de voir et d’entendre le monde. En 2000, il produisait lui-même son premier album Au pied de la lettre, et en 2002, Pied de nez a ravi la critique montréalaise. Un nom à surveiller dans le paysage de la chanson au Québec qui, malheureusement, est de plus en plus formaté commercial.
Et pourquoi Tomas Jensen et les Faux-Monnayeurs plutôt qu’un autre show? Deux raisons: "D’abord pour le côté festif et ensuite pour le délice des mots", indique-t-il.
Le 31 juillet
À l’Île-du-Repos
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On veut du rock
La quinzième édition de Jonquière en Musique en est à sa quatrième semaine de programmation, sous le thème disco-rock. Chaque année, le festival de musique présente plus d’une cinquantaine de spectacles gratuits aux Jonquiérois.
Parmi les invités des scènes extérieures de la semaine disco-rock, il y aura Martin Deschamps le 30 juillet – il était d’ailleurs au Festirame d’Alma la semaine dernière – et le Boogie Wonder Band les 30 et 31 juillet. Deschamps sera accompagné musicalement par Deep Freeze et il ira de son répertoire rock’n’roll bien connu. Quant aux neuf membres du Boogie Wonder Band, ils en feront danser plusieurs sur la Saint-Dominique avec leurs rythmes disco, funk et R&B.
Les 30 et 31 juillet
Sur la rue Saint-Dominique de l’arrondissement Jonquière
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Le sitar d’Uwe
Le sitariste allemand Uwe Neumann viendra nous envoûter aux sons des harmonies de la musique classique indienne le 24 juillet prochain au Café théâtre Côté-Cour.
L’exotisme du son du sitar de Neumann est le fruit "d’une recherche et d’un désir de découvrir un monde mélodique plus riche qui m’ont finalement attiré vers l’Inde, où je suis demeuré dix ans pour étudier la musique classique indienne", explique le spécialiste des rythmes hindous.
"La pureté des mouvements mélodiques de cette musique m’a permis d’en découvrir la richesse et la beauté. Mon intention est d’unifier la beauté harmonique de la musique occidentale avec la beauté de la musique indienne", souligne le maître sitariste.
Sur scène, il sera accompagné par les tablas (percussions typiquement indiennes) de Gabriel Dionne, féru de l’exotisme des mélodies de l’Inde.
Le 24 juillet
Au Café-théâtre Côté-Cour
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