Musique

Le Nombre, B.A.R.F., The High Dials, Bob Log III : Notes Calendrier

LE NOMBRE, LE 5 SEPTEMBRE À LA STATION C
(1450, RUE SAINTE-CATHERINE EST)
Scénario catastrophe n’est plus seulement le dernier compact fort réussi du Nombre: l’expression incarne maintenant l’avenir à court terme du groupe. Outre la performance extérieure qu’elle livrera à l’Université de Montréal en compagnie de Polémil Bazar et L’Académie du massacre le 7 septembre, la formation donnera dimanche son dernier concert en salle montréalaise pour 2004. Gourmet Délice s’est d’abord blessé sérieusement à vélo, ce qui l’empêche de tenir sa basse pour les six prochains mois (Rémi de Nitrosonique le remplacera). Puis, voilà que le chanteur Ludwig Wax quitte le pays pour l’Afrique, et ce, pour une durée indéfinie. On ne parle pas de séparation, mais d’une pause manifeste.

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B.A.R.F., LE 3 SEPTEMBRE AU SPECTRUM
Lorsque B.A.R.F. a tiré sa révérence en 1999, la formation hardcore québécoise s’était payé un Métropolis à guichets fermés. C’est vous dire l’importance qu’elle avait à l’époque. Cinq ans plus tard, le groupe foulera les planches du Spectrum pour un seul concert-réunion. Ghoulunatic, Vulgar Deli et Atheretic précéderont Marc Vaillancourt et sa bande.

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THE HIGH DIALS, LE 8 SEPTEMBRE AU CAFÉ CAMPUS
Ex-Datsons 4, The High Dials représentent ce que Montréal a de mieux à offrir en termes de pop rétro non loin des Zombies et des Beatles. Lors de la sortie du premier disque du combo, A New Devotion, le chanteur Trevor Anderson nous confiait même provenir d’un univers où l’album Revolver sert de Bible. Amen.

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BOB LOG III, LE 11 SEPTEMBRE À LA SALA ROSSA
D’accord, Bob Log III n’en est pas à sa première visite montréalaise, mais depuis deux mois, l’Américain natif de l’Arizona semble être particulièrement tombé sous le charme de notre Belle Province. En plus de jouer avec John Spencer au dernier Festival de Jazz, voilà qu’il met les voiles vers Rouyn-Noranda (huh?) pour participer au FME, en plus de se produire à la Sala Rossa la semaine suivante. Histoire d’amour, de rentabilité ou de rock’n’roll baby?