Lhasa de Sela : Marée haute

Après l’Europe et les États-Unis, où elle lançait récemment son deuxième album The Living Road, l’éternelle nomade Lhasa de Sela retrouve sa terre d’adoption cet automne, en attendant le prochain largage d’amarres. Si la marée et les courants sont favorables, elle pourrait bien jeter l’ancre en Océanie dès l’an prochain. Appuyée par une illustre formation de musiciens comprenant Mario Légaré (basse), Rick Haworth (guitare), François Lalonde (batterie), Alex McMahon (piano et claviers) et Mélanie Auclair (violoncelle), la chanteuse au timbre scintillant est impatiente de renouer avec ses fans québécois et avec l’expérience scénique. "J’aime sentir que la musique circule vraiment, que plein de choses se passent à tous les niveaux, les différentes émotions comme la tristesse ou l’humour, toutes en même temps, que l’on vit ensemble entre êtres humains. C’est ça que j’aime", explique celle qui écrit pour tous les publics, que cela soit en français, en anglais, ou en espagnol. "J’ai toujours envie de parler de la vie, de la façon la plus forte possible. Aller au fond de ce que je vis ou ressens, puis essayer de trouver quelque chose d’universel là-dedans; enlever les détails qui font que c’est une situation très particulière, et garder tout ce qui en fait un événement humain…"

Le 16 octobre
Au Théâtre Granada