Parlant du gouvernement américain, quelques prisonniers sortis depuis peu du controversé centre de détention de Guantanamo ont affirmé que des pièces d’Eminem y jouaient constamment. Une stratégie pour motiver les troupes états-uniennes? Erreur! On parle plutôt du contraire. Il semble que les soldats utilisent les pièces du Slim Shady afin de torturer les détenus, pour ainsi recueillir quelques informations. Cette technique de souffrance inusitée – face à laquelle la quasi-totalité des ados américains semble immunisée – s’ajoute à celles des lumières stroboscopiques et des chiens menaçants. Le réalisateur du film polémique Road to Guantanamo, Michael Winterbottom, a même conseillé au rappeur de poursuivre les autorités américaines, car aucun droit d’auteur ne serait versé à Eminem pour cette utilisation de ses pièces…
