Jack et Meg White ont eu gain de cause en cour face à un certain Jim Diamond, crédité en tant que coproducteur sur le premier disque éponyme des White Stripes (1999) et sur De Stijl (2000). Ce dernier affirmait détenir des droits d’auteur sur ces parutions, clamant être en partie responsable du son des Stripes. "C’était un litige classique dans le monde de la musique", explique Jack White sur le site Web du groupe. "Ce jugement vient protéger les musiciens et les compositeurs contre les opportunistes, profiteurs du travail créatif des artistes." Au cours du procès, Jason Stollsteimer des Von Bondies s’est présenté à la barre des témoins, affirmant avoir reçu, de la part de Jack, un message haineux planté dans sa porte de maison à l’aide d’un couteau. Jim Diamond aurait reçu le même genre de menace.
