Tomás Jensen : Y’a pas d’erreur
Matthieu Petit
Malgré son plus récent disque intitulé Quelqu’un d’autre, il ne faut pas confondre Tomás Jensen avec Thomas Fersen ou Thomas Hellman. Jensen se distingue de ses "confrères phonétiques" grâce à sa polyvalence. Après avoir amplement donné dans la musique festive et endiablée avec les Faux-Monnayeurs, cet homme du monde (né en Argentine, il a ensuite vécu au Brésil, en France et au Québec) verse dans la chanson davantage personnelle, voire plus inspirée. Entouré des musiciens François Richard, Martin Lizotte et Benji Vigneault, il sera sur la scène du Théâtre Granada le 24 octobre à 20h30 pour un spectacle "aux couleurs latines, rock et électro". En première partie, le Sherbrookois Olivier Brousseau donnera le ton à cette soirée.