Sam Roberts : Brève musique 2008-11-13
Après We Were Born in a Flame et Chemical City, Sam Roberts revenait à la charge en mai dernier avec son troisième disque, baptisé Love at the End of the World. Pour la première fois de sa carrière, le rockeur est demeuré dans sa ville natale, Montréal, afin de concevoir l’album de A à Z. "Je me devais d’observer ma ville natale de façon honnête à un certain moment de ma vie", expliquait Sam Roberts à mon collègue de Voir Estrie, Matthieu Petit. "Quand tu écris des chansons, tu vois avec une autre paire d’yeux. Tu vois les mêmes choses, mais d’un autre angle. Ça m’a permis de redéfinir ma relation avec ma ville." Sam aura une fois de plus l’occasion de célébrer son union avec Montréal les 20, 21 et 22 novembre, puisqu’il se produira sur les planches du National en compagnie des Stills.