Diane Tell : À l’Anglicane
Diane Tell se passe aujourd’hui de présentation. Née à Val-d’Or en Abitibi, migrée à Montréal pour y étudier la musique puis déménagée en France au début des années 80, Diane Tell a su convaincre autant le Québec que nos cousins français qu’elle n’était pas qu’un joli minois, mais qu’elle pouvait jouer dans la cour des grands, et que ses chansons – enregistrées dès l’âge de 14 ans! – étaient dignes des plus grandes. Celle qui nous a livré le succès Si j’étais un homme et qui fut de la distribution de la fameuse comédie musicale La légende de Jimmy sera de passage à Lévis pour y présenter son plus récent spectacle. L’artiste établie au Pays basque depuis longtemps retrouve le public québécois dans une série de représentations données dans le cadre de la tournée d’été du ROSEQ. Son dernier album, Rideaux ouverts, propose une fois de plus des chansons issues d’un univers intime et chaleureux, univers auquel Diane Tell a habitué ses fans au cours des dernières années. L’auteure-compositrice-interprète a marqué de manière toute spéciale la chanson québécoise et est aujourd’hui récompensée de ses efforts. En plus des fréquentes reprises de Si j’étais un homme par de jeunes chanteuses en devenir, c’est la pièce Jamais su qui fait désormais courir les foules, puisque le rappeur abitibien Anodajay en a échantillonné le refrain sur son plus récent album, ET7ERA. Découvrez l’univers de la grande Diane Tell, le 16 août, dès 20h, à L’Anglicane.