Nicolas Langelier déclare la guerre au mot « bouquin ».
MàJ : « Pas question que je me range de votre côté pour lui déclarer la guerre », annonce Sylvain Cadieux. Mon titre, je l'avoue, portait à confusion. J'aime bien le mot bouquin, moi aussi, et je n'ai pas envie qu'on le retire de la circulation. J'abonde toutefois dans le sens de Langelier : on utilise souvent ce mot à tort et à travers, sans égard au niveau de langage.
Il existe une collection (ou est-ce une maison d’édition?) intitulée Bouquin. Ce sont des livres à la couverture molle de couleur blanche avec des pages minces qui jaunissent rapidement. Beaucoup de classiques furent publiés dans cette collection. Comme il y a belle lurette que je n’ai pas vu un livre dans cette collection (existe-t-elle encore?)l’usage du mot bouquin m’amuse. Peut importe ce que vous en pensez, moi j’aime bien le mot bouquin. Pas question que je me range de votre côté pour lui déclarer la guerre.