Rapide post-scriptum à ma chronique de la semaine dernière, « Portrait de Murakami en monomane » : dans l’avant-propos d'Autoportrait de l’auteur en coureur de fond, Murakami fait référence à un article du New York Times où divers coureurs professionnels révèlent les mantras qu’ils se répètent tout au long d’un marathon. Pour ceux qui aimeraient lire cet (intéressant) article, je l'ai trouvé sur le site du NYT.
Post-post-scriptum.
J'entamais cette chronique en affirmant que l'été ramenait vers le livre des vagues de lecteurs sportifs. Preuve à porter au dossier : je tentais ce matin de trouver une copie de Courir, le livre que Jean Échenoz consacre Emil Zátopek, et pffuit, aucune copie dans les bibliothèques de mon quartier.
En fait, la moitié des copies du réseau étaient dans la nature. Qu'est-ce que je vous disais?
Quant à Zátopek, j'ose vous renvoyer à une chronique où j'évoquais son esprit, en septembre 2007. Écrire, courir, on en revient toujours à ça.