Je suis Normand Baillargeon et je commence aujourd’hui à tenir ce blogue. J’y suis venu à la suite de ce qu’on peut appeler l’affaire Huffington Post et par une demande de M. Jodoin à laquelle j’ai, avec grand plaisir , répondu positivement.
Pour les curieux et curieuses, il y a ici une page Wikipédia à mon sujet: il n’y a là rien de faux, il me semble.
Je compte proposer ici des textes inédits ou publiés ailleurs, commenter l’actualité et faire part de certains de mes intérêts et réflexions.
Je suppose que la chose va se définir à l’usage.
Et je posterai sous peu mon premier «vrai» billet.
Une pensée «libertaire» est toujours la bienvenue. Sans la moindre malice je dirais que Noam Chomsky et mon petit «moi-même» sont ravis de savoir que vous allez bientôt «sévir» dans les blogues de VOIR.
JSB
Heureux de vous retrouver ici.
Cher homme, j’avoue avoir du mal à vous suivre. Vous teniez un blogue jadis, assez couru il me semble, fort respecté en tout cas, dans lequel vous étiez entièrement libre et abordiez les sujets les plus divers. Vous avez subitement mis la clé sous la porte pour des raisons qui vous regardent. Et puis tout à coup, vous revoilà à l’enseigne d’une revue culturelle autrefois influente, critique et à peu près rigoureuse, à tout le moins centrale dans l’espace culturel montréalais, mais désormais exsangue, essentiellement composée de publicités et de reportages complaisants qui se font passer pour des critiques. Pour pallier ce vide dont la direction semble tout à coup s’être aperçu, elle fait appel à de la main-d’oeuvre bon marché.
Et vous voilà.
Ça ne vous ressemble pas.
Bonjour,
J’ai eu envie de bloguer et accepté cette opportunité de m »adresser à plus de gens.
Aussi, je ne pense pas que mon blogue était si couru que ça
Enfin, je ne vois pas bien ce que cela a de répréhensible. Je suis ici entièrement libre, ne tolérerais pas qu’on m’impose quoi que ce soit. Et le jour où ça ne me plaira pas je partirai sans regret.
En ce qui concerne votre jugement sur le Voir, je ne peux me prononcer, faute de le connaître.
Et puis pour ce qui est de main-d’oeuvre bon marché, j’ai toute ma vie donné des textes, gratuitement, par centaines.
Me reste à souhaiter que vou trouverez votre bonheur ici si vous y repassez.
N.B.