Midnight Romeo: leur album Le Luxe en écoute exclusive
Le quintette électro pop de la Vieille Capitale n’a pas dit son dernier mot. Midnight Romeo poursuit dans la même trajectoire new wave pour son deuxième album complet intitulé Le Luxe.
Les fans de Dragonette, La Roux et The New Cities trouveront en eux un nouvel artiste pour garnir leur iPod. Originaires de Québec, les membres du groupe ont fait des années 80 leur terrain de jeu. Les participants aux irritantes soirées Pinch of Love peuvent bien aller se rhabiller.
Le Luxe sera disponible en écoute exclusive via voir.ca jusqu’au 27 février. Le disque sera dans les bacs le 4 mars pour ensuite être lancé le 6 mars au complexe Le Cercle de Québec. Un autre spectacle est prévu le 12 mars au Divan Orange de Montréal.
[L’écoute de l’album est terminée.]
Après écoute, il n’y a rien de nouveau dans cette musique qui sonne passablement réchauffée. Midnight Romeo n’a pas encore compris l’essence même de la chanson pop, soit « la mélodie ».
Toutes les chansons auraient avantage à être re-travailler de facon à aller chercher un « Hook » manquant dans leurs pièces. A cet égard, travailler avec un bon réalisateur aurait fait surement la différence !
D’accord avec toi jean-marc. C’est pas mal mais ca manque grandement de mélodies vocales accrocheuses. On dirait n’importe quoi comme mélodies vocales. Musicalement, c’est trop années 80 et déjà vu. Je pense qu’aujourd’hui, avec un si grand nombre de bons artistes de renoms, un groupe se doit d’arriver à un certain minimum de qualité de ses compositions originales. Trois très bonnes chansons valent mieux que douze ordinaires. Bref on ne peut plus se permettre de faire de la musique pour de la musique simplement. On doit d’abord se démarquer et cela passe indéniablement par la qualité de composition de ses chansons.
Ça sonne très 80s avec les synth en background mais en même temps la facture globale est très contemporaine. J’aime bien!
Enfin un groupe de Québec qui sait produire de la musique qui sonne. Sa me rappel Kavinsky mais à ça on ajoute une voix de femme puissante et ‘couillonné’ (Ceci est un commentaire positif).
Good Job!
Bonne musique! Du bon electro/rock. J’ai le goût de danser…bravo!
Je suis en désaccord avec certains commentaires précédents… Personnellement j’adore les rythme de chacune des chansons, une voix puissante, rythme entraînant…. Toutefois le premier album était différent et correspondait davantage à mon goût, parfois cet album se trouvera dans ma collection le 4 mars sans faute!
Pas pire comme son…mais ca lève pas pantoute comme toune !!!
Désolé je ne crois pas que ce groupe sera signé un jour avec des pièces qui vont nul part. Par contre, la chanteuse a un très bon talent…mais devrait plutôt se trouver un autre groupe ou des meilleures chansons. La chanteuse finira un jour à La Voix ou un concours du genre :-)
Question de faire ton éducation sur ce groupe, la chanteuse a fait Canadian Idol. Je crois plutôt qu’elle devrait éviter les concours et continuer sur sa voie. Elle est en compagnie d’excellents musiciens qui savent où ils s’en vont, je ne vois qu’un excellent futur pour ce groupe!
Enfin un groupe qui s’assume à faire de la power pop … Bravo ! Selon moi il faut être un peu jaloux pour dire que Midnight Romeo n’a pas encore compris l’essence même de la chanson pop, soit « la mélodie ». !!! Bref bonne réalisation et mélodies puissantes. Bonne chance à vous
Rien contre un groupe qui s’assume a faire de la power pop … J’ai grandi dans la musique et les vagues musicales partent et reviennent et de là viens l’inspiration de plusieurs artistes d’aujourd’hui. Bref en ce qui me conçerne il faut être un peu jaloux pour dire que c’est du réchaufé et qu’il n’ont pas le sens de la mélodie.
Bonne réalisation et des mélodies très pop et accrocheuses ! Bravo et bonne route !
Deux chansons, et j’en avais déjà assez de Midnight Romeo; déjà on entend la signature peu loquasse écrite en lettre moulé. Je ne les connais pas personnellement donc je ne les attaquerai pas plus.
Mais voilà, j’ai quelques opinions. Ici j’écris afin de m’adresser sur le sujet de tout les jeunes mauvais groupes de musiques, cinéastes, écrivains et artistes visuels.
Mon humble avis est qu’il est de plus en plus facile de se créer une identité d’artiste sans en avoir les talents et en n’ayant que les mêmes outils. L’idée est que d’être prolétaire n’a jamais vraiment été »cool » et nous sommes dans une aires où ont peut se permettent pratiquement toutes les aisances, si on est dans le bon pays. Les gens s’inventent artistes puisqu’ils en sont capable.
N’étant pas en recherche de sens, ils acquirent rapidement les compétences nécessaires pour être un artisan. Sans procédé unique, sans discours sur la méthode, ils deviennent des monstres sociales et se créent des identités d’artistes avec relativement de la facilité.
Pour être artiste, il faut être obsédé, discipliné, persévérant, ouvert, têtu et puis évidement en quête de sens. Le public trie, facilement, avec ou sans constat, le mauvais du bon. Sans exception, du moins à notre aire, les génies qui ont un répertoire d’œuvres inaccessibles aux néophytes, malgré le manques de louanges massifs, seront être aimer par les connaisseurs.
Bon, en somme toute, rien n’empêche des jeunes gens de s’amuser et d’avoir une pratique qui tire de la créativité. Si ils ne sont pas trop orgueilleux, où simplement pas avare sans être trop brillant, ils se contenteront de leurs petits moment de gloire. À la fin, il ne font pas de mal à personne. À vrai dire même, ces artisans ont leur publics bien précis. Par exemple, un groupe quelconques de musique »Grindcore » qui attire des foules peu difficiles de »hardcore kids ».
Je vous partages une petite pensé supplémentaire. Il m’est d’avis que l’artiste est limité par ses goûts et ses connaissances du monde; il lui sera difficile d’inventer l’inconnu. Plus simplement, il parviendra à créer ce qu’on suggère de nouveau, cela, avec les outils qu’il s’est procuré au fil du temps, et non ceux qu’il n’a pas. Mais voilà où les artisans perdent la face à côté des êtres créatifs; les goûts sont en mesure de tuer la créativité.