Docus québécois à volonté sur Tënk pour 1$
Tënk est une nouvelle plateforme web consacrée au documentaire d’auteur, pour s’instruire pendant la quarantaine.
Nous sommes envahis par les plateformes comme Netflix, Prime, Apple TV, Crave et autres, mais il existe aussi de petits joueurs locaux qui méritent notre attention (et nos dollars).
Tënk est une plateforme de diffusion qui se spécialise dans un type de contenu très niché, et surtout très nécessaire: le documentaire d’auteur d’ici et d’ailleurs. Florence Lamothe et Naomie Décarie-Daigneault ont fondé le projet, épaulées par une équipe de pros du milieu (Charlotte Selb, Frédérick Pelletier, Nadine Gomez, Jennifer Alleyn, Pascale Ferland et Benjamin Taylor). À la manière d’un festival de films, le site web propose 40 films avec cinq nouveautés par semaine.
Normalement l’abonnement est à 10$ par mois, mais est offert à 1$ en ce moment.
Offerts sur la plateforme:
Miron: un homme revenu d’en dehors du monde, Simon Beaulieu, 75 min, Québec, 2014.
«Constitué d’images d’archives, le film raconte l’aventure collective du peuple québécois à travers l’œuvre du poète emblématique Gaston Miron.»
Train Hopper,, Amélie Hardy, 18 min, Québec, 2018.
«Un passager clandestin nous mène sur les chemins de son errance à la recherche d’espaces de liberté.»
Un jour, Pina a demandé, Chantal Akerman, 57 min, Belgique, 1983.
«Durant cinq semaines, Chantal Akerman a suivi le travail de la célèbre chorégraphe Pina Bausch, filmant au plus près du corps des danseurs.»
Être et avoir, Nicolas Philibert, 104 min, France, 2002.
«Entre repli sur soi et ouverture au monde, tous les enfants du village sont regroupés autour d’un seul maître dans une école à classe unique au cœur de l’Auvergne.»
Sur la lune de nickel, François Jacob, 110 min, Québec, 2017.
«Portrait intime de la ville fermée russe de Norilsk à travers les yeux d’adolescents, de travailleurs de la mine et de chercheurs de vérité.»
Altiplano, Malena Szlam, 16 min, Québec, 2018.
«Tourné dans la cordillère des Andes, Altiplano utilise les possibilités infinies de la pellicule pour révéler la profondeur du paysage.»