Cinéma

Les navets québécois, 2000-2009

Mon confrère Jozef Siroka a eu la bonne (ou devrais-je dire méchante?) idée de tenter d'établir un palmarès des pires films québécois de la dernière décennie, "en attendant les Aurore".

Jozef a arrêté son choix sur l'incomparable Roméo et Juliette d’Yves Desgagnés, avec une mention déshonorable au Piège américain de Charles Binamé/Fabienne Larouche, en plus d'écorcher au vol Les Dangereux, Ma tante Aline, Camping sauvage, Mambo Italiano, Le Survenant, Elvis Gratton XXX et Cadavres.

Voilà qui défriche assez bien le terrain vague où se retrouvent les films québécois les plus médiocres. Aux titres susmentionnés, j'ajouterais évidemment Aurore de Luc Dionne, ainsi que L'Âge des ténèbres de Denys Arcand, Nouvelle-France de Jean Beaudin, Dans l'œil du chat de Rudy Barichelloa, Séraphin – Un homme et son péché de Binamé et La Lune viendra d'elle même de Marie-Jan Seille.

Et vous? Quels films québécois avez-vous le moins aimés ces 10 dernières années?