Théâtre Prospero: La saison 2013-2014 est dévoilée
Scène

Théâtre Prospero: La saison 2013-2014 est dévoilée

Christian Lapointe mettra notamment en scène un texte russe pendant la saison 2013-2014 et de nombreux visages peu habitués à fréquenter cette scène s’y retrouveront. 

Sur la scène principale, Le Groupe de la Veillée présente trois créations qui dialoguent entre elles, sur la notion de l’identité, avec des esthétiques et des formes théâtrales différentes. Dans La preuve ontologique de mon existence, de l’Américaine Joyce Carol Oates, mis en scène par Carmen Jolin, c’est l’identité d’une jeune femme en révolte contre tout incluant sa propre existence. Dans Oxygène, de l’auteur russe Ivan Viripaev, dans une mise en scène de Christian Lapointe, ce sont les voix d’un homme et d’une femme qui interpellent l’histoire du monde et son actualité; et dans Moi Feuerbach, de l’allemand Tankred Dorst, dans une mise en scène de Téo Spychalski, c’est la voix d’un homme d’âge mûr que le métier d’acteur a dépouillé de son identité.

Seront aussi accueillies les productions Oleanna, de David Mamet, dans une mise en scène de Vincent Côté et Olivia Palacci (qui en sont également les interprètes); Le voyage d’hiver, un spectacle interdisciplinaire de Benoît Landry et Anna Ward, qui convient notamment les langages du théâtre et du cirque; et Le dragon d’or, de Roland Schimmelpfennig, dans une mise en scène de Mireille Camier.

Dans la salle intime, qui accueille de jeunes compagnies émergentes, seront accueillies les productions L’ouest solitaire, de Martin McDonagh, dans une mise en scène de Sébastien Gauthier, de retour après un certain succès la saison dernière; Hiver, de Jon Fosse, par Aglaïa Romanovskaïa et la compagnie Rosdramexport; Le chant de Meu, du comédien-cinéaste-poète Robin Aubert; La femme corbeau, de Marcel Cremer; La ménagerie de verre, de Tennessee Williams, dans une mise en scène de Yan Rompré; Pig, de Simon Boulerice; L’histoire des ours pandas, de Matéi Visniec, dans une mise en scène d’Édith Côté-Demers; Les flâneurs célestes, d’Annie Baker, dans une mise en scène de Jean-Simon Traversy et Le trou, d’Eugénie Beaudry.

Détails au theatreprospero.com