ELEKTRA 17 / BIAN : l’Art chez les robots

Le festival des arts numériques ELEKTRA entame sa dix-septième édition sous le thème « AUTOMATA : L’art fait par les machines pour les machines ». Combinant ses activités à celles de la Biennale internationale d’art numérique, l’événement accueille cette année plus d’une centaine d’artistes locaux et internationaux, la fine pointe de ce qui se fait en termes d’art contemporain numérique en ce moment.

C’est l’Arsenal art contemporain qui hébergera les expositions des deux événements, une liste très longue d’oeuvres modernes que l’on pourrait croire réalisées par des entités robotiques. Un des moments les plus marquants d’ELEKTRA 17 est la première nord-américaine d’Inferno, oeuvre de Louis-Philippe Demers et Bill Vorn. Les 3 et 4 juin, cette performance unique propose à 25 spectateurs de porter sur leur corps des exosquelettes afin d’expérimenter une chorégraphie programmée et contrôlée par ordinateur.

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Parmi les autres oeuvres notoires, le public pourra assister le 3 juin à la performance de Blink, dernière création du collectif LSD – Light, Sound and Death.  À travers des costumes, un artiste sur scène, une trame sonore jouée en direct et des jeux de lumières, Blink plonge le public dans un environnement extrême où cohabitent distorsion et émotion.

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Du côté du 4 juin, on retient la performance d’Edwin van der Heide et Jan-Peter E.R. Sonntag, qui présenteront la performance sonore Rund-Funk-Empfangs-Saal. Les artistes utilisent les signaux d’environnements électromagnétiques interceptés depuis la salle comme matériaux de base pour leur performance.

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Retrouvez la programmation complète d’ELEKTRA 17 juste ici et celle de la Biennale internationale d’art numérique de ce côté.