Champagne Nicolas Feuillatte envahit les tables de Montréal pour une 2e fois!
La Série X’ploration culinaire Champagne Nicolas Feuillatte est de retour pour une deuxième édition et, forte de son succès de l’an dernier, elle se voit passer de six à huit restos participants!
Jusqu’au dimanche 25 octobre, certains des plus grands restaurants de Montréal proposeront donc des accords mets et champagne inédits qui illustreront comment le champagne peut s’harmoniser avec une foule de plats – au-delà du traditionnel mariage dessert et bulles – au même titre que le vin et la bière.
Notre top 3 des assiettes qui nous font le plus saliver compte l’amuse-bouche de chips de panais avec espuma d’oursin et de nectarine marinée au mirin du Laurea (24$), le saumon bonbon avec gelée de champagne et raisins de Corinthe et bacon braisé de La Champagnerie (32$) et le gravlax de flétan avec aïoli à la citrouille, salade Granny Smith, betterave Chioggia et graines de tournesol du Notkins (37$). Tous les plats seront accompagnés d’une flûte de champagne Nicolas Feuillatte Brut Réserve.
« Le lancement à succès de la série l’an dernier a donné aux Montréalais un avant-goût de la manière dont les notes de dégustation du champagne peuvent être explorées de façon inattendue en harmonie avec différents aliments », explique Sylvia Thaemlitz, vice-présidente de Mosaiq Vins et Spiritueux Inc., agent de Champagne Nicolas Feuillatte au Québec. « Nous lançons cette année la série en grand avec un nombre accru de restaurants participants. Les restaurateurs ont exprimé leur intérêt à mettre en vedette un accord et nous sommes emballés à l’idée d’établir un partenariat avec eux. »
Durant l’événement, les invités seront invités à partager leur X’ploration culinaire en partageant une photo sur Twitter ou Instagram avec le mot-clic #XploreNicolasFeuillatte. Ils courront automatiquement la chance de gagner un repas d’une valeur de 1000$ au restaurant participant de leur choix! Le gagnant sera annoncé mardi le 27 octobre à midi sur la page Facebook de Vins, bulles & plaisirs.
A lire les recettes un tantinet hermétiques de la sélection culinaire, si l’on ne possède pas le lexique approprié de la cuisine à l’esbroufe, nous permettant de subodorer à quoi peuvent bien ressembler les « espumas d’oursin et de nectarine marinée au mirin » (?), le » saumon bonbon » avec gelées diverses, le « gravlax de flétan avec aïoli à la citrouille (!), salade Granny Smith, betterave Chioggia (Provenant directement de la vénétie on suppose) et graines de tournesol » (rien que ça…) on peut conclure que la seule chose qui ne soit pas résolument effrayante dans ce foutoir prétentiard, est la coupe de champagne Feuillatte! Une maison certes pas au sommet de la hiérarchie, mais dont la production se laisse boire…
Si les chefs en question pouvaient seulement être capables de nous servir, qui des oursins frais au naturel, qui un beau saumon fumé, simplement moelleux et goûteux (voir Petrossian) , et tel autre un tronçon de Flétan de bonne provenance exactement rôti à point, c’est à dire peu, sans s’encombrer de tout ce fatras d’ingrédients superflus, voire nuisibles et qui sombrent dans le ridicule, ils auraient bien mérité de la gastronomie montréalaise, en voie de perdition accélérée.
Si seulement l’Atelier de Robuchon, qui doit ouvrir prochainement, pouvait être à la hauteur de ce que sont ses homologues ailleurs, nous aurions, enfin dans notre ville, un restaurant digne de ce nom, où tous ces expérimenteurs au petit pied, à qui l’accumulation de saveurs résolument antagonistes tient lieu de talent, pourraient venir prendre leur leçon… En attendant, qu’ils relisent donc celui qui reste le plus grand cuisinier moderne à ce jour: Fernand Point.