L'écrivain russe Alexandre Soljenitsyne s'est éteint dans la nuit de samedi à dimanche, à l'âge de 89 ans. Auteur de L'Archipel du Goulag, dans lequel il montrait l'horreur des camps d'internement de l'époque stalinienne, il était l'un des dissidents les plus célèbres de l'ère soviétique. Il avait d'ailleurs été expulsé d'URSS, en 1974, et n'était retourné vivre en Russie que vingt ans plus tard, après avoir vécu en outre en Suisse et aux États-Unis. Il avait reçu le prix Nobel de littérature en 1970.
J’ai té trés touché par la rediffusion d’une interwiew de Bernard Pivot datant du 9 décembre 1983 dans laquelle A.S. exprime simplement à la question : « Croyez vous écrire sous le regard de Dieu » , comment pour lui cela était de l’ordre de l’intime, du ressentit personnel et que l’isolement qu’il avait choisit(à VERMONT -USA à l’époque) favorisé ce qu’il appellait une connexion avec un intuition qui est en chacunet dont on se sent enveloppé, puis guidé par elle vers ce qui est bon , ce qu’il faur faire et qui est pour lui , quelque chose dont il a fait l’expérience debute sa plus tendre enfance …..
B.Pivot assène alors la question , »quand est-il alors de ces horreurs que nous connaissons …, « sous entendu , l’abandon de Dieu ….
A.S. se lance alors dans le descriptif de l’époque avant 1914 et du luxe matérialiste (même en Russie)qui ne sera plus jamais connut depuis … »et de la nécessité de passer par la « porte étroite »
Réponse à la question qu’il s’est posée pendant des années face à toutes ses souffrances et horreurs connues(14-18 + La Révolution )Cette « porte étroite » est la seule manière de retrouver le chemin de la spiritualité qui est la seule voie.et chaque pays d’Europe devra y passer », d’ajouter A.S…..
D’autres questions du même genre « orienté »furent posées par un Bernard Pivot qui reçut( d’un sage de soixante cinq ans à l’époque ), des réponses dans lequel le souffle de la Foi et de l’homme qui a survécut aux formes les plus dures du totalitarisme ,le laissèrent tout petit monsieurface à ses repères de jeune intellectuel parisien.
J’ai té trés touché par la rediffusion d’une interwiew de Bernard Pivot datant du 9 décembre 1983 dans laquelle A.S. exprime simplement à la question : « Croyez vous écrire sous le regard de Dieu » , comment pour lui cela était de l’ordre de l’intime, du ressentit personnel et que l’isolement qu’il avait choisit(à VERMONT -USA à l’époque) favorisé ce qu’il appellait une connexion avec un intuition qui est en chacunet dont on se sent enveloppé, puis guidé par elle vers ce qui est bon , ce qu’il faur faire et qui est pour lui , quelque chose dont il a fait l’expérience debute sa plus tendre enfance …..
B.Pivot assène alors la question , »quand est-il alors de ces horreurs que nous connaissons …, « sous entendu , l’abandon de Dieu ….
A.S. se lance alors dans le descriptif de l’époque avant 1914 et du luxe matérialiste (même en Russie)qui ne sera plus jamais connut depuis … »et de la nécessité de passer par la « porte étroite »
Réponse à la question qu’il s’est posée pendant des années face à toutes ses souffrances et horreurs connues(14-18 + La Révolution )Cette « porte étroite » est la seule manière de retrouver le chemin de la spiritualité qui est la seule voie.et chaque pays d’Europe devra y passer », d’ajouter A.S…..
D’autres questions du même genre « orienté »furent posées par un Bernard Pivot qui reçut( d’un sage de soixante cinq ans à l’époque ), des réponses dans lequel le souffle de la Foi et de l’homme qui a survécut aux formes les plus dures du totalitarisme ,le laissèrent tout petit monsieurface à ses repères de jeune intellectuel parisien.