Le Conseil des arts du Canada dévoilait ce matin le nom des finalistes des Prix littéraires du Gouverneur général. Du côté francophone, les heureux sont:
Catégorie Romans et nouvelles
– Jean-François Beauchemin pour Ceci est mon corps (Québec Amérique)
– Marie-Claire Blais pour Naissance de Rebecca à l’ère des tourments (Boréal)
– Guillaume Corbeil pour L’art de la fugue (L’instant même)
– Monique Proulx pour Champagne (Boréal)
– Jean-Pierre Trépanier pour Colomia (Sémaphore)
Poésie
– Steve Auger pour Le rosier incendiaire (Éditions d’art Le Sabord)
– François Charron pour Nous aurons tout vécu (Écrits des Forges)
– Henri Chassé pour Morceaux de tempête (Écrits des Forges)
– Michel Pleau pour La lenteur du monde (Les Éditions David)
– Michel A. Thérien pour Du vertige et de l’espoir: Carnets africains (Éditions David)
Théâtre
– Yvan Bienvenue pour La vie continue (Dramaturges Éditeurs)
– Carole Fréchette pour Serial Killer et autres pièces courtes (Leméac / Actes Sud)
– Catherine Mavrikakis pour Omaha Beach (Éditions Héliotrope)
– Wajdi Mouawad pour Le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face (Leméac / Actes Sud)
– Jennifer Tremblay pour La liste (Les Éditions de la Bagnole)
Études et essais
– Adèle Lauzon pour Pas si tranquille (Boréal)
– Georges Leroux pour Partita pour Glenn Gould : musique et forme de vie (Presses de l’Université de Montréal)
– André Major pour L’esprit vagabond (Boréal)
– Pierre Ouellet pour Hors-temps: poétique de la posthistoire (VLB éditeur)
– Louise Warren pour La forme et le deuil: archives du lac (L’Hexagone)
Littérature jeunesse – texte
– Camille Bouchard pour Trente-neuf (Boréal)
– Sylvie Desrosiers pour Les trois lieues (Les éditions de la courte échelle)
– Charlotte Gingras pour Ophélie (Les éditions de la courte échelle)
– François Gravel pour Sales crapauds (Québec Amérique)
– Carole Tremblay pour Fred Poulet enquête sur une chaussette (Dominique et compagnie)
Littérature jeunesse – illustrations
– Philippe Béha pour Les pays inventés, texte d’Henriette Major (Hurtubise HMH)
– Stéphane Jorisch pour Un cadeau pour Sophie, texte de Gilles Vigneault (La Montagne secrète)
– Marie Lafrance pour Le sorcier amoureux, texte de Mireille Levert (Dominique et compagnie)
– Caroline Merola pour Quand le chat est parti, texte de Caroline Merola (Les éditions de la courte échelle)
– Janice Nadeau pour Ma meilleure amie, texte de Gilles Tibo (Québec Amérique)
Traduction de l’anglais vers le français
– Dominique Bouchard pour Les grands lacs: histoire naturelle d’une région en perpétuelle mutation (Fides), traduction française de The Great Lakes – The Natural History of a Changing Region de Wayne Grady (Greystone Books)
– Claire Chabalier et Louise Chabalier pour Tracey en mille morceaux (Les Allusifs), traduction française de The Tracey Fragments de Maureen Medved (House of Anansi Press)
– Jean Marc Dalpé pour Roc & rail : Trains fantômes suivi de Slague : l’histoire d’un mineur (Prise de parole), traduction française de Rock’n Rail: Ghost Trains and Spitting Slag de Mansel Robinson (Thistledown Press)
– Lori Saint-Martin et Paul Gagné pour Big Bang (Les Allusifs), traduction française de Bang Crunch de Neil Smith (Alfred A. Knopf Canada)
– Sophie Voillot pour Logogryphe (Alto), traduction française de The Logogryph de Thomas Wharton (Gaspereau Press)