Bertrand Busson remporte la 12e édition du Grand Prix littéraire Archambault
Archambault décernait hier soir son Grand Prix littéraire à Bertrand Busson pour son roman Le phyto-analyste, publié aux Éditions Marchand de feuilles.
C’est au Loft Hotel que M. Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Québecor, a procédé à cette annonce officielle en présence des autres finalistes, de la porte-parole de la 12e édition du Grand Prix littéraire Archambault, Kim Thúy, des membres du jury et de nombreuses personnalités du monde littéraire.
Le récipiendaire du Grand Prix littéraire Archambault Bertrand Busson s’est vu remettre une bourse de 20 000 $ pour cet ouvrage, un thriller botanique d’une belle fantaisie littéraire sur la destruction humaine et végétale de la planète, mais aussi sur l’amour, l’amitié et la fidélité.
Bertrand Busson et Le phyto-analyste
Le premier roman de Bertrand Busson est avant tout un thriller botanique rempli d’humour. Le jeune auteur est bachelier ès arts de l’Université de Montréal et diplômé en création littéraire de l’UQÀM. Botaniste amateur, il vit à Montréal avec sa femme primatologue et leurs 65 plantes. Le phyto-analyste, c’est l’art topiaire en son plus majestueux déploiement. Un roman pour ne pas oublier que nos mères nous ont toutes donné comme limite la clôture du jardin.
Des finalistes talentueux
Cette année, 10 auteurs québécois étaient en lice pour l’obtention du Grand Prix littéraire Archambault. Un jury composé de personnes reconnues dans le milieu littéraire et de spécialistes en littérature chez Archambault s’est acquitté de la lourde tâche de désigner le lauréat, un choix difficile en raison de la grande qualité des oeuvres reçues. Les finalistes étaient Stéphane Choquette pour La romance des ogres, Emmanuelle Cornu pour Jésus, Cassandre et les demoiselles, Bruno Crépault pour La mémoire du funambule, Olivier Demers pour L’hostilité des chiens, Vickie Gendreau pour Testament, François Gilbert pour Coma, Judi Quinn pour Hunter s’est laissé couler, Alexandre Soublière pour Charlotte before Christ et Claire Vigneault pour Le fou d’la pointe.
Archambault récompense, depuis plus de 12 ans, la qualité et l’originalité des auteurs québécois en présentant le Grand Prix littéraire Archambault. Depuis sa toute première édition, ce généreux prix a mis en lumière près de 190 oeuvres québécoises et a permis de soutenir de nombreux auteurs d’ici grâce aux 230 000 $ remis en bourses.
C’est BERTRAND Busson… et non Bernard.
Effectivement, il y a eu erreur. On lui a attribué les deux prénoms, en alternance, dans l’article! Merci de l’avoir noté.