Le rockeur Michel Pagliaro recevra le Prix du gouverneur général pour les arts de la scène (PGGAS) le vendredi 2 mai à Ottawa. La distinction soulignera l'importante carrière de Pagliaro qui célèbrera son 60ième anniversaire cette année. En plus du compositeur de J'entends frapper, le pianiste et compositeur Anton Kuerti, l'acteur et humoriste Eugene Levy, le danseur et chorégraphe Brian Macdonald, l'acteur et dramaturge John Murrell et la cinéaste autochtone Alanis Obomsawin seront aussi honoré par la gouverneure générale Michaëlle Jean en mai.
Le Prix du Centre national des Arts (CNA) sera remis la même fin de semaine à The Tragically Hip, groupe originaire de Kingston en Ontario.
Avant l’ère des rockers,Lapointe et Deschamps, il y avait Pag.Malheureusement plusieurs personnes ont tendance à l’oublier. Les grands académiciens et historiens de la musique rock moderne situeront ce patriarche rocker québécois,et ses premières apparitions,à quelque part,vers le milieu des années soixante.Et les neophytes en musique diront qu’il a uste popularisé ‘J ‘entends frapper’ ou même quelques-uns oseront même dire, qu’il a reprit la chanson de Rock Voisine.
Comme le king, Michel Pagliaro aura touché à plusieurs styles musicaux, de la pop avec ses Chanceliers,au new wave au début des années 80.Il s’est même permit de jouer du country,en nous chantant Ti-Bidon,entre autre.Pag a aussi chanté dans la langue Shakespeare.Et même que Le temps presse de l’album Aujourd’hui est devenu »Time race », en anglais.
»Rainshowers », »What the hell i’ve got » ont connu un succès plus que méritoire du côté du Canada anglais dans les 70’s.
Que je me rappelle d’avoir usé le 45 tours, Il y a une emeute dans la prison. Un bon »cover » version Pag, du groupe The Robbins( Riot in cell block # 9).
Pag le ‘Romantique’, ‘Heros’, ‘ L’espion’ et surtout le rocker mérite amplement le prix du Gouverneur pour son excellence dans son travail et ses réalisations exceptionnels envers la musique contemporaine.
Dans les années 70-80, le Québec rock avait Gerry Boulet et Pag. Deux patriarches, et leurs fils sprirituel,Martin Deschamps et Eric Lapointe en acquitte bien la succession en 2008.
Longue vie au rock québécois.
Avant l’ère des rockers,Lapointe et Deschamps, il y avait Pag.Malheureusement plusieurs personnes ont tendance à l’oublier. Les grands académiciens et historiens de la musique rock moderne situeront ce patriarche rocker québécois,et ses premières apparitions,à quelque part,vers le milieu des années soixante.Et les neophytes en musique diront qu’il a juste popularisé ‘J ‘entends frapper’ ou même quelques-uns oseront même dire, qu’il a reprit la chanson de Rock Voisine.
Comme le king, Michel Pagliaro aura touché à plusieurs styles musicaux, de la pop avec ses Chanceliers,au new wave au début des années 80.Il s’est même permit de jouer du country,en nous chantant Ti-Bidon,entre autre.Pag a aussi chanté dans la langue de Shakespeare.Et même que Le temps presse de l’album Aujourd’hui est devenu »Time race », en anglais.
»Rainshowers », »What the hell i’ve got » ont connu un succès plus que méritoire du côté du Canada anglais dans les 70’s.
Que je me rappelle d’avoir usé le 45 tours, Il y a une emeute dans la prison. Un bon »cover » version Pag, du groupe The Robbins( Riot in cell block # 9).
Pag le ‘Romantique’, ‘Heros’, ‘ L’espion’ et surtout le rocker mérite amplement le prix du Gouverneur pour son excellence dans son travail et ses réalisations exceptionnels envers la musique contemporaine.
Dans les années 70-80, le Québec rock avait Gerry Boulet et Pag. Deux patriarches, et leurs fils sprirituel,Martin Deschamps et Eric Lapointe en acquitte bien la succession en 2008.
Longue vie au rock québécois.