Lana Del Rey présente un court-métrage lascif en guise de vidéoclips
Pour « mettre au rancart » Paradise, son maxi paru en novembre 2012, Lana Del Rey met le paquet : imitateurs d’Elvis et de John Wayne, décor de jardin d’Éden, surdose de références bibliques et, comme si ce n’était pas assez, un bikini en fleurs (elle joue Ève, en fait) pour le simple Body Electric. Pour Gods and Monsters, elle joue une danseuse nue. Puis, pour Bel Air, elle gambade dans la nature en robe d’été. Les trois extraits se retrouvent enrobés dans un court-métrage de 27 minutes qui fait très Terrence Malick.
Conseil d’ami : vous devriez peut-être attendre d’être à la maison pour le regarder. C’est un peu lascif…
Sur ce, la vamp va s’attaquer à son nouvel album intitulé Ultraviolence qui devrait paraître en 2014.