[Photos] Osheaga: NAS: Time is Illmatic + The Posterz au Centre PHI
Troisième party de suite à errer dans les After d’Osheaga. La soirée Brodinski s’est étirée jusqu’à 6h30 le lendemain matin – on s’est organisé un after de l’after chez nous – video projecteur allumé, vidéoclips psychédéliques, musique enivrante, voisins sourds, on était bien, très bien, voir même trop bien!
On se sentait un peu moins bien au réveil par contre – du coup, une journée Vitamine Water / pamplemousse / PS4 s’est imposée par elle même. Mon consultant personnel m’assista tout au long de la journée afin de s’assurer de mon bien être. Merci Célien!
Bon allez! Il est maintenant 19h, l’orage post-apocalyptique vient de s’achever – on pense aux wawashs d’Osheaga en train de se noyer debout – on file vers une session Subway avec ma gang de bixi-rider extrémistes!
Ce soir on y va relax – tranquilou bilou – avec la projection du docu sur la vie de NAS (parfois appelé également Nasty Nas, Nastradamus et anciennement Nas Escobar), de son vrai nom Nasir Bin Olu Dara Jones. Oui oui, rien que ça! Bon, le mec est tout de même considéré comme un demi-dieu – il mérite ses 25 sobriquets – juste pour dire, le gars nous a pondu Illmatic à même pas 20 ans, il y a déjà 21 ans. Bref, vivement un featuring avec les Anticipateurs. Rencontre de dieu sur terre, ça va faire mal! J’ai hâte!
On en revient à notre mouton noir: «Le documentaire est présenté sous forme artistique, ça coule comme de l’eau. L’oeuvre fait preuve d’une attention particulière quant aux archives choisies, autant audios que vidéos.» Un documentaire très soigné, des témoignages marquants, de la grosse émotion, ça frôle le chef-d’oeuvre. Yo! NAS: Time is Illmatic. Check it out.
On enchaîne avec un rapide Q&A – fort intéressant – avec le réalisateur One9 et le scénariste Erik Parker, animé par The Narcicyst, puis la montée sur scène de The Posterz.
Une belle brochette de jeunes survoltés. Belle ambiance. J’ai même dit «merci» au petit DJ qui m’a jeté sa bouteille d’eau à la face. Ça lui a fait plaisir – et moi aussi!
Pas grand chose à dire sur leur prestation, un show comme celui-ci, ça se vit. Alors file te renseigner et cours à leur prochain concert en ville.
Bref, c’était bien mais on n’a pas vu NAS.
Une prochaine fois. Bizoux.
– Un texte de Thomas Camus