À découvrir: les chansons aigres-douces de La Valérie
La Valérie, c’est une fille de Varennes qui s’appelle en fait Valérie De Niverville. Candidate au concours Ma Première Place des Arts comme Klô Pelgag et Peter Peter l’étaient avant elle, l’auteure-compositrice-interprète donne dans le folk un peu grunge.
La multi-instrumentiste, parolière et chanteuse a téléversé son premier EP sur Bandcamp mardi dernier. Un premier maxi joliement arrangé qui plaira aux fans de Safia Nolin et Maude Audet.
D’ailleurs, c’est Charles Robert-Gaudette (collaborateur de Dumas et Nevsky) qui l’a réalisé.
La musicienne viendra présenter ses chansons empreintes de mélancolie et de sensualité à La Ninkasi de Québec le mardi 24 novembre prochain en formule 5 à 7. Elle sera aussi au Major Tom de Montréal le 10 décembre.
D’autres dates seront bientôt annoncées pour St-Hyacinthe, Sorel et Trois-Rivières.
Ça fait deux-trois fois que je lis le qualificatif « grunge » dans vos articles pis que ce l’est pas pantoute à l’écoute. Savez-vous c’est quoi au juste?
Par grunge, j’entends la mélancolie dans les textes. C’est dans l’attitude. Bon week-end à vous et merci pour votre contribution.
Je confirme, elle a une attitude assez grunge aussi.