Deux extraits «fou fou fou» pour Chocolat
Moins garage que sur Rencontrer Looloo, presque disco, mais toujours aussi psychédélique. Voilà ce comment on résumerait, et à chaud, nos impressions à la première écoute de Fou fou fou mon minou. Les segments chuchotés de la fin, assurés par un Jimmy Hunt très en forme, nous rappelle d’ailleurs le bon vieux Gainsbarre.
Clairement, les fans de Le Couleur ou L’Impératrice devraient trouver leur compte avec cet exercice de style fort réussi.
Généreux, les gars de Chocolat nous dévoilent deux chansons du même coup. Heavy, la seconde, s’impose comme une bombe plus musclée doublée de paroles salaces qui font l’éloge du sexe sans protection. Apparemment, rien n’est plus rock et fou fou fou que le risque de contracter une MTS dans un élan de passion sauvage, au son d’Illégal de Corbeau.
Quelque part, Pierre Harel en rougit d’envie.