Depuis sa brouille avec ses anciens camarades, Roger Waters tient à prouver à tous que le cerveau de Pink Floyd, c'était lui. Et c'est probablement vrai après tout: Syd Barrett n'a jamais eu la chance de prouver son génie autrement que sur le brillant Piper at the Gates of Dawn avant d'être viré parce qu'il était complètement déconnecté. Ensuite, c'est Waters qui a pris toute la place, faisant ainsi un peu trop d'ombre à David Gilmour, l'autre principal compositeur du groupe. Le concert que viendra (re)présenter Roger Waters à Montréal est du bonbon pour les fans puisqu'il interprète dans un premier temps plusieurs classiques du Floyd avant de s'attaquer durant toute la deuxième partie du concert à l'intégralité du monument qu'est Dark Side of the Moon. Plein les yeux, plein les oreilles le 7 juin au Centre Bell.
The Police se réunit, Ziggy Marley chante les chansons de feu son papa, Rage Against the Machine continue son chemin sans De la Rocha, Lou Reed fait du Velvet, et quoi encore?
Pink Floyd roule sur l’or, Syd Barret est pas fin: ils le mettent à la porte, David Gilmour arrive, Waters pique la place à Barret en leadant l’affaire, il se met aussi à écrire…et ça marche (résultat: Dark Side of the Moon, Wish you were Here, The Wall), 6 ans après The Wall, Waters déclare le groupe mort, Gilmour l’écoute pas, il prend les reines et Pink Floyd fait des tounes et des spectacles, Roger Waters est choqué et ils viennent à bout de s’entendre sur l’utilisation du nom. Pendant ce temps il atteignent le Rock N’ Roll Hall of fame, Waters se pointe pas. L’argent rentre plus trop, ils sortent The Wall live. C’est winner mais pas assez, ils retontissent avec Echoes sur lequel les 4 hommes ont collaborés…ensemble. 2003, c’est la fête de Dark side, on sort une galette. Leur manager crève, ils se réunissent mais sans Waters parce que lui est plus dedans. Ils atteignent enfin le UK Music Hall of fame, Wright peut pas y être à cause d’une opération et Waters prend la peine de se filmer avec un air ému. 20 ans après avoir sacré le camp, Roger Waters s’y remet en 2005 pour le Live 8, ils dédient un autre spectacle à Syd Barret qui est pas mort mais qui est pas fort. En fait, Gilmour, Wright et Mason jouent ensemble alors que Waters fait la baboune et joue tout seul. Gilmour continue sa carrière solo, il joue des tounes de Pink Floyd avec Wright, David Bowie s’en mêle, Bowie s’en mêle plus et c’est Mason qui prend la relève et on en fait un DVD. Waters pouvait jamais venir parce qu’il était en tournée. Cette tournée où il fait Dark Side. Mason l’a accompagné justement. En plus de ce projet, Waters serait aussi en train de bûcher sur un Broadway de The Wall et puis voyant les effets ultra-bénéfiques de Live 8, ils considéreraient se lancer pour Live Earth.
C’est moi ou…?
Je portais peut d’attention au spectacle de Roger Waters au Colisée. En fait, j’aimais je n’aurais payé plus de 35$ pour ce spectacle alors imaginez 100$. Pour moi, Pink Floyd est un super bon groupe mais si l’ensemble n’est pas complet ca ne veut rien dire. J’irai donc pas voir un spectacle d’un gars en solo qui chante les succès de son vieux groupe. Bref, une chose m’a fait réagir! Les gens de Québec devront payer pour une errueur qui a eu lieu a Anaheim. En effet, la direction des Ducks d’Anaheim a repoussé le début de la finale de la LNH a cause d’un cirque qui avait la priorité. Cela a retarder les dattes de présentation de cette même finale à Ottawa et dû à cela la partie des Sénateurs a été placé au 4 mai. Conflit d’horaire les Sens ont la priorité, le clan Waters ne fait rien et Québec écope. Je trouve que cela est un non-sens, Ottawa aurait dû écopé ou Waters aurait du déplacer son show d’Ottawa. Des gens de partout au Québec ne pourront peut-être plus assisté à ce concert et bien que je ne sois pas un fan de Waters je les comprend d’être furieux. Je ne voudrais pas que cela arrive avec un groupe que j’aime !
Et en plus je verrai le specatcle de l’ancien membre de Pink Floyd à la télévision lors du Live Earth à East Rutherford au New Jersey, cette prestation du chanteur me suffira …
À la différence d’une carrière dans le domaine sportif, où l’âge et la forme physique revêtent une importance primordiale, une carrière en musique n’a pas vraiment de limite. Tant que l’artiste demeure motivé et que le public se montre intéressé, il n’y a aucune bonne raison pour tout arrêter.
Mais on prête souvent de viles motivations pécuniaires à ces artistes qui continuent, malgré les années, à sillonner les continents et à se produire en spectacle. C’est dommage et le plus souvent mal fondé. Pense-t-on réellement que Roger Waters, dont il est ici question, se tape les voyages, les pratiques et tout le tralala pour les dollars pouvant ainsi être empochés? Alors qu’il pourrait tout bonnement s’affaler dans sa chaise longue à siroter un Mint julep bien glacé à l’ombre, sur une plage, son magot déjà accumulé lui permettant de faire durer la grosse vie jusqu’au terminus?
Il continue parce qu’il en a encore le goût, chers amis! Quand cela ne l’amusera plus, alors seulement ira-t-il vers sa chaise longue. Et même chose pour d’autres, tel Paul McCartney ou les Rolling Stones, par exemple, et tous ceux dont la retraite dorée est depuis longtemps assurée. Mais d’ici là, tant que le feu sacré brûlera…
Dans un monde idéal, c’est une tournée Waters-Gilmour qu’il faudrait. Mettre leur égo de côté, un peu comme l’ont fait Page et Plant. Sauf qu’à Live 8, la sauce n’a pas levé avant la dernière chanson qu’ils ont joué.
Cependant, si on me donne le choix entre un spectacle solo de Roger Waters et un concert de Pink Floyd avec David Gilmour seul (comme lors de la tournée de 94), je prends le premier. Bien que la guitare de Gilmour soit reconnaissable entre toutes, il faut admettre que Waters a monopolisé le processus et le travail de création des meilleurs albums du groupe (Animals, The final cut). Cela a causé la rupture du groupe et une aversion des autres membres pour ces albums. En effet, aucune chanson de ces albums ne fut jouée lors des tournées subséquentes, soit Delicate sound of thunder et Division Bell.
Dans mes rêves les plus fous, c’est Animals que Waters présenterait dans son intégralité lors de son concert cette semaine. Il faut cependant avouer qu’il gâte déjà son public, de par le répertoire qu’il propose.
Juste un simple commentaire sur Roger Waters,sûrement qu’il y a des gens comme moi qui possède les albums The Wall (original) et Live In Berlin.Après la chute du mur de Berlin,Waters donnera le concert The Wall devant 300 000 personnes,à peine croyable, encore aujourd’hui!!!!U gros show avec un nombre de prestigieux invités, entre autres The Scorpions, Sinéad O’Connor, Van Morrison, Cyndi Lauper.
J’ai tous les albums du Pink,et ceux que j’écoute le plus,comme la plupart des gens sont dans l’ordre:Dark side of the moon,The Wall et Animals.Ce sont des albums,crée et signé Roger Waters.Sans rien n’enlever à Syd Barrett,à ce visionnaire.Les autres membres du groupe lui doit beaucoup.Son influence aura conduit en quelque sorte au Pink Floyd expérimental avec animation d’avant-garde,laser,sonorisation quadriphonique,cochon,avion téléguidés.Mais c’est avec Waters que le groupe est devenu une grosse machine commerciale.Le Pink a connu une deuxième vie.Sans lui,le monde en général aurait probablement oublié ce groupe.
Un spectacle qui n’aura certe pas la même magie qu’avec Wright,Mason et Gilmour. En faisant une recherhe sur le Réseau Admission.Les bons billets on trouvés preneurs malgré les prix de 150$ et plus.En somme,il reste que des billets très mal situés.
On peux conclure que les Québécois aime la musique du Pink Floyd sous le leadership de Waters.Les spectateurs auront droi,j’en suis sûr,à tout un show.On s’attend probablement à beaucoup de surprises.Iln’y a pas de doute,Waters en donnera pour son argent.
Il ne faut pas oublier que Dark side of the moon,eut des ventes gigantesques.Le groupe accoucha de cet album après neuf long mois de travail méticuleux et soigné.Un incontournable du rock contemporain,près de 35 ans plus tard.
Un beau cadeau de Waters à ses fans.
Il y a quelques mois, j’ai vu LE MEILLEUR spectacle au monde. Mais oui, j’étais à la Place Bell lors de la première venue de monsieur Roger Waters. Roger était en pleine forme et nous en a fait voir de toutes les couleurs. Un génie à l’oeuvre; tout simplement. Il nous a fait revisité plusieurs albums de Pink Floyd ainsi que l’album Dark Side of The Moon; au complet. Ces musiciens sont impeccables. Heureusement, il va jouer dans mon coin (The ScotiaBank Place à Kanata) demain soir….j’y va y être avec un grand plaisir…
Je suis allé voir les Pink Floyd à Paris quand j’avais quinze ans, il y a environ trente ans. C’était une question de hasard, mon grand frère m’avait refilé sa place je ne suis plus pourquoi. C’était le premie groupe que je voyais. Cela m’avait transformé. Et puis j’ai continué à écouter leurs musique jusqu’au Wall. Leur musique m’a suivi dans les moments difficiles. Quelques années ont passé et il y a un an environ je me suis remis à écouter Pink Floyd, et aussi à en savoir un peu plus sur ce groupe à travers Internet, des DVD, des bouquins. Ce que j’ai vu hier soir ne m’a pas plus. Bien sur, c’est lui, Roger Waters, mais je peux très bien imaginer et comprendre les vrais raisons des disputes entre David Gilmour et Roger Waters. Waters est un gars obsédé par la guerre, pas mal pessimiste. Si vous voyez le DVD de Pink Floyd à Pompei, vous verrez que David Gilmour est tout le contraire. On peut le voir par son sourire, sa bonne humeur, sa manière de jouer. C’était comme le rouge et le noir. Ils se sont servis de leur complémentarité pour réussir à créer leurs oeuvres. C’est leur différences qui a créé leurs différents. Hier, le noir était tout seul, et il n’a pas brillé. Il sautillait un peu sur scène, mais il n’a pas brillé. Si je pouvais inspirer quelque chose à Roger Waters, je lui chuchoterais dans ses rêves de faire apparaitre dans son show l’holographie de Davis Gilmour, oh non pas dans tous les morceaux de musique, mais juste dans un, Confortably numb par exemple. Et puis un soir, dans un pays que l’on connait pas, dans une ville que l’on ne connait pas, sans que Roger Waters ne le sache, sans que personne ne le sache, David Gilmour se subsiturait à l’holographie, et reprendrait sa place. C’est ce que je dirais à Roger Waters si je le connaissais.
Non je ne m’attendais pas à vivre une telle expérience. Je m’étais levé le matin avec une migraine d’enfer et passé la journée à tenter de reprendre des forces pour affronter l’événement avec la lucidité nécessaire et en me présentant au show, je ne savais plus trop quoi espérer mais … j’espérais. Et voilà qu’un Roger Waters se ballade en saluant l’immensité qui le scrutait avec béatitude, une légende, décontracté, t-shirt noir, jeans noirs, souliers noirs, mince, la crinière grise et l’oeil moqueur. Ma blonde trouve qu’il ressemble à Richard Gere … moi aussi, un peu je l’aurais frenché sans gêne. Ostie c’est Pink Floyd ! Mes neurones lévitent, j’ai le vertige. In the flesh so ya, thought ya might like to go to the show … et voilà c’est lancé. Mother, Wish you were here, remember when you were young ? You shone like a stone … avec des images de Syd Barrett défilant au ralenti. Une nouvelle chanson Back to Beyrouth supporté par une trame BD où Waters en profite pour écorcher Bush et ses apôtres, brillant et incisif, c’est british et tellement son genre, moi j’adore, et là devant moi j’allume … Waters est Pink Floyd point à la ligne tellement l’absence de Gilmour n’écorche en rien le gigantesque de toute la machine qui s’éclate devant moi. Et la foule est en transe, une fumée opaque s’élève en même temps que les âmes et voilà, je crinque le joint lorsque Waters s’avance vers nous en disant , quinze minute de pause et après …The dark side of the moon.
Et là … l’évènement, devant moi, en moi, chaque note viens me brasser les sens, je suis paralysé par la beauté de l’oeuvre, bien sûr on connait l’album par coeur, on a grandit avec, on a frenché nos blondes sur breathe in the air don’t be afraid to care … il a fait de nous des hommes … des bums … il nous a mis du brain dans la cervelle. Les guitares sifflent de partout, parfais. Nous sommes sortis avec des lunes dans les yeux. The dark side of the moon a encore une fois changé ma vie.
Ça été le meilleur show de ma vie et pourtant Dieu sait que j’en ai vu plusieurs!!!
L’hommage à Syd Barret « Set the control for the heart of the sun » capotant!!!
L’astronaute qui flottait au dessus de nos têtes,le cochon avec l’inscription dans le derrière « What an asshole » et le logo Peace and love avec une flèche en direction du nom « Bush ».Le message a été passé,nos politiciens devraient tous aller voir ce show,question de réfléchir dans le gros merdier ils nous engouffre.
Qualité sonore époustouflante!!!
Et que dire de ses choristes noire qui ont su reprendre les voix d’origine avec brio sur « Dark Side Of The Moon ».
C’est un show de qualité inégalé,on en a pour notre argent et plus!!!
En souhaitant voir un DVD naître de cette tournée,je suis resté accroché!!!
J’aurais adoré y être, mais je n’ai malheureusement pas pu… mon ami m’a tout raconté par contre: Selon lui, le prix en valait nettement la chandelle, puisque, à la fine pointe de la technologie, le spectacle de Roger Waters a été un évènement grandement marquant pour lui et pour la plupart des spectateurs, qui avaient les yeux illuminés de béatitude.
Mon ami m’a dit que le morceux l’ayant le plus marqué lors de ce spectacle, c’est… On The Run, probablement celui qu’il aime le moins sur Dark Side Of The Moon, et peut-être même de tous les albums des Pink Floyd… Il dit que jamais il n’aurait pensé « tripper » autant sur ce titre. Il raconte que des sons étranges et dément provenaient des profondeurs de l’immense salle et que des images folles et rapides étaient diffusés sur les écrans géants! Des cochons volants et atronautes étaient aussi de la partie, paraît-il. Et c’est sans compter que le vieux Waters avait encore toute son énergie, et qu’il le montrait bien!
Mais qu’est-ce que j’ai manqué? Qu’est-ce qui m’a prit de ne pas y aller, moi aussi?
J’espère que les autres qui l’on vu ont autant « tripper » que mon ami, et qu’ils en sont repartis ébahit comme lui!
À la prochaine occasion, je n’hésite pas,
J’Y VAIS!