Ca y est, c'est parti! Je vous aurais donné des news plus tôt mais une série de pépins techniques, un accès très difficile aux ordis sur place (5 ordis pour quelques 200 journalistes) et des conférences, interviews, conférences de presse en plus des concerts qui démarrent dès 15h m'ont empêché de le faire plus tôt. Qu'à cela ne tienne, on rattrape le temps perdu vite fait bien fait!
Dejà, on peut dire que le trio britannique Micachu & The Shapes sera certainement une des révélations de cette trentième édition des Trans, sinon un des groupes les plus intriguants. Deux filles, une à la voix et au ukulélé ou alors une petite guitare électrique, une autre aux programmations et aux percus quand ce n'est pas à la guitare électrique et un batteur inventif, ça donne des résultats franchement surprenants. Pour vous situer, pensez à quelque chose qui se rapproche de la no-wave new-yorkaise de la fin des années 70. Pas nécéssairement accessible mais tellement original et tellement unique qu'on ne peut rester indifférent. Pas pour rien que Matthew Herbert ait flashé! Retenez bien ce nom, c'est sans doute ce que feront la centaine de personnes entassées dans la salle de l'Ubu mercredi soir dernier. Comme prélude au festival, on peut dire que ça augure bien!