Il y a de ces court-circuits dans le cerveau parfois qui demeurent inexplicables… Et dans le métier que j'exerce, ce n'est jamais trop flatteur d'avoir ce genre de court-circuitage (parce que nos erreurs sont publiées, torieux!).. Je m'explique… Il m'arrive de confondre des noms. Heureusement, ce n'est pas trop récurrent pour le moment, mais quand ça me tombe dessus, je m'en mords les doigts!
En assistant à la pièce de théâtre J.F. cherche homme désespérément, j'ai croisé Sylvie Dufour, digne successeur de Gilles Provost à la barre du Théâtre de l'Île et ex-directrice du Théâtre du Trillium… «As-tu vu l'erreur dans le journal?», qu'elle me demande tout gentiment. «Non», que je lui réponds… Personne n'avait effectivement attiré mon attention sur ma mégarde. Mon pré-papier sur ladite pièce, mise en scène par Magali Lemèle, contenait une de ces erreurs de nom à rougir d'embarras… J'évoquais l'enthousiasme qu'avait Magali Lemèle à se trouver dans l'entre-deux des directeurs artistiques avec la dernière saison de Gilles Provost et la première de Sylvie Dufour. Mais j'ai écrit Sylvie Gravel! Sylvie Gravel est la sympathique adjointe à la direction du Salon du livre de l'Outaouais, qui se charge des relations de presse et avec laquelle je communique de manière plutôt régulière tout au long de l'année. Rares ont été les occasions où j'ai publié son nom dans un de mes articles, contrairement à Sylvie Dufour qui se retrouve dans mes papiers au moins 3 fois par année!
Mea culpa, Mea culpa, Mea maxima culpa, Sylvie Dufour! Tu peux te rassurer: ce genre d'erreur, on ne la fait qu'une seule fois! Ouf!