On apprend aujourd'hui que l'Orchestre symphonique de Trois-Rivières vient d'essuyer son déficit accumulé. Mieux, il profite maintenant d'un excédent d'un peu plus de 25 000$. Pas mal pour une institution dont on doutait de la survie il n'y a pas si longtemps.
Il est clair que l'arrivée de Jacques Lacombe à la direction artistique n'est pas étrangère à ce succès. Avec lui, l'organisation a fait un bond dans les ligues majeures comme on dit. Sans vouloir critiquer le travail magistral de Gilles Bellemare, je remarque que le maestro Lacombe a su cerner les intérêts des Trifluviens. Il arrive avec une vision neuve.
Après une telle nouvelle, je ne veux plus jamais entendre que la culture est née pour un petit pain!