Un peu plus tôt cet été, l’auteur BD Lewis Trondheim était de passage à Québec, à l’occasion d’une résidence de création organisée par le Festival de la BD francophone de Québec.
J’ai donc saisi l’occasion pour rencontrer l’auteur, et échanger avec lui, au fil d’une entrevue d’un peu plus de 45 minutes. Le temps, d’un côté, de porter un regard sur la production BD actuelle, de mettre en parallèle le travail de jeunes éditeurs aujourd’hui et celui mené par L’Association, il y a de ça plusieurs années… De réfléchir au positionnement des auteurs et des éditeurs dans la réinvention et l’évolution de leur pratique artistique… De porter un regard sur la fin de la série Donjon sur laquelle Trondheim a planché aux côtés de Joann Sfarr, et sur la série Ralph Azham qu’il a lancé dans la foulée de la fin (annoncée) de l’imposant univers dessiné. Cela, en parlant également de l’influence du numérique sur le médium, des méthodes et approches de travail de l’auteur, des Petits riens. Et bien d’autres sujets.
Alors voilà, sans plus de détours, la petite conversation qui a résulté de cette rencontre :