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PLANCHES en lice pour le Prix de la BD Alternative 2017 d’Angoulême

9782924500170-v-revue_planches_09On imagine bien que l’année 2016 s’est clôt agréablement pour l’équipe de la revue PLANCHES.

Pourquoi?

Nomination au Prix de la BD Alternative 2017, dans le cadre du Festival international de la BD d’Angoulême, annoncée le 28 décembre dernier. Rien de moins.

Une nomination qui, il va sans dire, met de l’avant une nouvelle fois la qualité de cette publication québécoise qui l’an dernier, passait le cap des deux ans d’existence. Un moment charnière qui, d’ailleurs, avait été accompagné de quelques mouvements et croissances : agrandissement de l’équipe éditoriale, intégration d’auteurs étrangers – établis ou émergents – aux côtés des créateurs d’ici, nouvelle entente de distribution auprès des libraires québécois, et travail renouvelé de diffusion dans l’Europe francophone.

Évidemment, PLANCHES n’est pas seule en lice : ils sont 30 à être en lice, actuellement, pour ce prix (Zelium, Zebra, Wassup Rocker, La Valle des merveilles, Top! Top!, The Global Kid, Taiwan Comix, Stripolis, Pure fruit, Novland, Mundo Parallelo, MindKuwait, Maria Magazine, Madame, LGBT BD, Komikaze, Gratuit, Gorgonzola, Fenice, Dig, Cosmic Tubes, Comix StreetJournal, Caca : Tell You Jokes!, Cabot Comics, Ça restera entre nous, Bubble gomme, Labouche du monde, Biscoto, Bien Monsieur et Baie des machines sont les autres titres en lice – le détail sur le site du FIBD, accompagnée d’entrevues avec les lauréats des dernières années).

À titre de rappel, depuis 1982, ce prix vise à récompenser « la meilleure bande dessinée non-professionnelle sous forme de fanzine ou de recueil collectif de plusieurs auteurs différents ».

Le lauréat sera annoncé lors de la cérémonie de clôture du Festival, le 28 janvier.

À suivre donc!

Et tiens, pour en savoir un peu plus sur leur travail, et sur les évolutions de la dernière année, vous pouvez toujours consultez (et écouter) cette petite entrevue réalisée l’automne dernière avec sa cofondatrice et directrice générale, Sandra Vilder (si vous l’aviez manquée). C’est ici.