Le Festival de la BD francophone de Québec, c’est le plaisir des spectacles et événements, évidemment. Et c’est aussi le plaisir des rencontres – notamment avec des invités internationaux qu’on a que peu d’occasions de voir chez nous.
Il s’agit donc de profiter de l’occasion pour effectuer de brefs échanges. J’aurai l’occasion, au fil des prochains jours, de vous partager cinq de celles-ci.
Et, pour commencer le bal, je me lance avec un bref échange (une vingtaine de minutes) avec Étienne Davodeau.
Un échange que j’ai choisi d’orienter sur le côté « inclassable » de l’auteur. Sur son désir apparent d’aller de style en style, d’univers en univers, au fil de ses albums. D’éviter les « recettes » si l’on peut dire. On parle donc de bande dessinée de fiction et de non-fiction. De sa volonté de donner la parole à divers intervenants et aux enjeux qu’ils portent, tant dans les univers réalistes que réels. On jase également de ce qui l’attire dans cette sphère de la BD – bien loin du fantastique, bien ancré dans le quotidien.
De Lulu femme nu à Rural!, en passant par Les Mauvaises gens, Les Ignorants ou encore Cher pays de notre enfance.
Une occasion d’échanger, bref, autour du médium – de cet outil – que sait si bien utiliser Davodeau.
C’est ici :