BloguesLe Cayer du cinéma

Le silence ne gagnera pas.

Pourquoi emprisonner des journalistes si ce n'est pour cacher des vérités qu'on ne voudrait pas voir divulguer au grand jour. Les seuls crimes commis par ces reporters, c'est de ne pas avoir eu peur de l'autorité en place, d'avoir voulu utiliser leur talent et leur plume pour essayer de changer les choses. C'est plutôt noble de leur part, mais cela ne fait pas toujours l'affaire des dictateurs en place. C'est la preuve que la plume peut être aussi forte que l'épée. Cette plume fait fichtrement peur aux abuseurs de pouvoir qui ont énormément de torts à se reprocher.

Cela n'arrive pas seulement dans les pays du tiers-monde. Ici, en Amérique, plutôt que de les emprisonner, on cherche plutôt à discréditer les journalistes qui ne suivent pas l'opinion des partis au pouvoir. Ou alors, si le journal est associé à un parti en particulier, le journaliste réactionnaire peut se voir remercier sous de faux prétextes. Je vous rappellerais que de telles choses se sont produites lors de la guerre en Irak au printemps 2003.

Revenons tout de même aux journalistes emprisonnés, il ne faut pas les oublier comme leurs geôliers le souhaiteraient. Nous pouvons tenter de faire passer le message à leur place.

Brisons les chaînes de l'oppression et ne restons pas silencieux.