C'est bien d'encourager le cinéma fantastique québécois. Nous sommes capable de produire de la science-fiction aussi bien que les américains et les japonais. C'est juste qu'on n'a pas toujours les mêmes budgets. En plus, ce festival encourage la relève, car ce sont souvent les jeunes qui adorent les genres que sont le fantastique, la science-fiction et le dessin animé. Ils essaient alors d'imiter leurs idoles en produisant des oeuvres personnelles du même type, et c'est là qu'on peut admirer leur potentiel créatif.
Le festival Vitesse-lumière permet alors de diffuser devant un plus large public des films qui, sans une telle initiative, resteraient alors inconnus. Cela donne un tremplin aux jeunes artistes qui vont peut-être devenir les étoiles de demain.