Sahara provient d'un roman écrit pas un de mes écrivains préférés et j'ai nommé "Clive Cussler. Ce dernier écrit rarement des chef-d'oeuvres, mais il produit de la bonne littérature d'évasion. Il est vrai que le film "Sahara" ne traduit pas exactement le roman à l'écran, et que c'est inspiré d'Indiana Jones et de James Bond (tout comme les livres de Cussler). J'ai pourtant trouvé ce film distrayant dans une certaine mesure, car j'étais enfin content de retrouver le personnage de Dirk Pitt en chair et en os à l'écran.
The Amitiville Horror est un remake d'un film de la fin des années 70. J'ai trouvé que ce remake était beaucoup plus efficace que le film original. J'admets cependant qu'avec toutes les copies de films d'horreur qu'on a eu droit depuis les années 70 que ce nouveau film n'innove pas beaucoup en la matière. En tout cas, je dirais que le "Amitiville Horror 2005" fait tout de même la "job" qu'il est supposé faire. Peut-on en demander plus à un film d'horreur (exploitation) ?
Les vrais navets de l'année:
Alone in the dark: Il s'agit d'un film de Uwe Boll, et cela veut tout dire. Ce réalisateur est la réincarnation allemande de Ed Wood. Il ne fait que des navets basés sur des jeux vidéos. Mais le pire, c'est qu'il a d'autres films en chantier, et qu'il y a des acteurs connus qui acceptent de tourner pour ce mec. Faites quelque chose, quelqu'un !
Doom: Un autre film basé sur un jeu vidéo mais qui n'est pas une réalisation de Uwe Boll. Si cela avait été le cas, on aurait compris pourquoi Doom est aussi poche. Même la présence de "The Rock" n'arrive pas à sauver ce film.
Be cool: Quand le seul point positif d'un film est la performance d'un lutteur (encore "The Rock") en garde du corps gai, il faut se poser des questions. Cette suite à un film qui ne méritait pas de suite (Get shorty) aurait pu être drôle, mais…
Elektra: En tant qu'amateur de super-héros Marvel, j'avais beaucoup aimé Daredevil, mais Elektra fut une déception.