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Que Roland Emmerich veut détruire l’humanité, mais on le savait déjà.
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Qu’un film donnant un rôle de cinglé à Woody Harrelson ne peut pas vraiment être sérieux.
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Que le cinglé (voir point numéro 2) finit par être celui qui a raison.
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Qu’il y a toujours quelqu’un qui sait piloter un avion lorsque c’est nécessaire.
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Qu’il y a toujours un avion disponible lorsque c’est nécessaire (référence au point numéro 4).
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À défaut d’avion, on peut toujours se rabattre sur une automobile.
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Que l’automobile trouvée a toujours une excellente suspension (référence au point numéro 6).
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Que le chien est toujours sauvé.
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Que les catastrophes naturelles semblent toujours être à la poursuite de quelqu’un (au lieu d’arriver partout en même temps).
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Lorsque le ou les héros sont sauvés, c’est toujours à la dernière seconde.
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Qu'après 2012 qui nous démontre la catastrophe ultime, il est impossible de faire un autre film de catastrophe.