Ainsi, Véronique Cloutier a acheté l'entreprise de son père. Vous ne trouvez pas que ça sent le roussi? Si j'étais accusé d'un crime et que je sentais la soupe chaude, c'est exactement ce que je ferais: je vendrais mon entreprise à un membre de ma famille. Ainsi, si ma «présumée» victime me poursuivait au civil après avoir gagné au criminel, je pourrais dire que je ne suis plus président de quoi que ce soit…
Je ne sais pas ce qui se passe dans le clan de Guy Cloutier, mais de loin, comme ça, ça n'augure rien de bon. On dirait qu'on se prépare à une défaite…
C'est comme un président de compagnies qui met ses entreprises au nom de sa femme un mois avant de déclarer faillite.
Ça sent le brûlé
Richard Martineau