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Le racisme de Lise Payette

Lise Payette en rajoute.
Dans sa chronique du Journal de Montréal d'aujourd'hui, l'auteure des Super Mamies traite de l'Affaire Julie Bureau, la jeune adolescente qui est disparue dans la nature pendant trois ans. «Quand une fille de 14 ans disparaît, écrit madame Payette, toutes les mères et toutes les grands-mères ont le coeur qui se serre.»
Et les pères et les grands-pères, eux, ils dansent le mambo? Ils sont contents, les hommes, quand une jeune fille disparaît? Ils vont à la taverne et célèbrent ça en calant une grosse bière?
Il n'avait pas le coeur serré, le père de Julie Bureau? Il la croyait morte, calvaire!!! Il est sur toutes les tribunes, afin de répéter comment il est heureux de la revoir vivante, comment il ne veut pas la juger, comment il a hâte de la serrer dans ses bras.
J'ai deux filles, moi, et chaque fois que j'entends une histoire du genre, j'ai, moi aussi, le COEUR qui se serre, ô madame la féministe.
Il n'y a qu'un mot pour définir la pensée de Lise Payette: du racisme.
Si l'ex-ministre n'a pas été chanceuse dans ses relations avec les hommes, c'est bien dommage. Mais qu'elle cesse de cracher son venin sur tous les gars, et de nous répéter semaine après semaine que seules les femmes ont une âme.