Réaction d'YVES BOLDUC au témoignage de DANIEL GAGNON (voir entrée précédente):
"Comme c'est intéressant de voir qu'il y a des gens, des jeunes en plus, qui osent dénoncer l'innacceptable. Dénoncer les abus, les tricheries, les bougonneries de toutes espèces n'est pas un droit. C'est un devoir.
C'est comme ça qu'on arrrive à percer ces murs épais qui cachent des groupes organisés qui nous volent toute la marge de manoeuvre dont devrait disposer nos gouvernements pour régler des problèmes criants comme la santé, l'éducation, la criminalité et la pauvreté.
Ces groupes qui opèrent comme de véritables mafias se cachent, se terrent, pour échapper à la vue des honnêtes citoyens qui paient de leurs taxes et de leurs impôts tout ce système d'arnaque qui se fait passer pour de la gauche.
Pour des syndicats démocratiques et qui ne sont en fait que le reflet de la gau-gauche caviar qui a mené l'URSS à sa perte et qui continue d'abuser d'un peuple pris en otage dans la spirale de la corruption.
Il faut dénoncer tous les criminels organisés, qu'ils aillent à moto, en limousine ou en autobus.
Celui qui vole du temps de travail pour lequel il est rémunéré, vole celui qui le paye. C'est un délit, un crime. Là, c'est nous qu'on vole, nos institutions, nos appareils publiques.
C'est un travail destructif qui annule tous nos efforts pour nous donner collectivement une qualité de vie meilleure.
On peut gueuler contre tous les gouvernements. Je vois pas pourquoi des fois, on ne gueulerait pas contre ceux qui travaillent contre nos gouvernements et qui lui nuisent ouvertement?"
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Autre réaction, de MARC-ANDRÉ LAVIOLETTE, cette fois-ci:
"La lecture du message de monsieur Gagnon m'a rappelé les récits d'un ami qui, à titre d'étudiant, a occupé un poste au service de l'entretien de la STCUM il y a plusieurs années.
Il était affecté à l'entretien des stations de métro et ses collègues affectionnaient particulièrement les chambres situées sous les escaliers mobiles pour prendre de longues pauses et s'adonner à toutes sortes d'autres activités…
Une idée vient de me traverser l'esprit… Que diriez-vous de lancer un appel à tous afin que les gens qui en savent beaucoup sur l'art de se pogner le cul, tel qu'il est enseigné par nos centrales syndicales, partagent leurs expériences et leurs connaissances a«vec tous les lecteurs de votre blogue?
Je sais que c'est délicat, mais bon, n'avez-vous pas déjà dit un jour que nous étions pour nous «parler dans le blanc des yeux»?"
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Le message est lancé. Bougon de tous les pays, écrivez-nous et faites-nous part de vos trucs!