En Europe, on va ouvrir une clinique pour soigner les gens qui souffrent de dépendance aux jeux vidéo! Eh oui, des programmes de désintox pour les accrocs de PlayStation!
"Je m'appelle Jean-Paul Choinière, et je suis accroc à Sim City…"
Video games may look innocent, but they can be as addictive as gambling or drugs – and just as hard to kick, says Keith Bakker, director of Amsterdam-based Smith & Jones Addiction Consultants.
Bakker already has treated 20 video game addicts, aged 13 to 30, since January. Some show withdrawal symptoms, such as shaking and sweating, when they look at a computer console.
À mon avis, c’est une drogue comme une autre. J’ai vu dans un documentaire que l’effet au cerveau d’un joueur (réel/physique, dans notre monde) compulsif lorsque celui-ci arrive à améliorer son personnage (virtuel..) est similaire à un « drogué » usant de substances illicites. Ceux-ci éprouveraient une satisfaction immédiate ne durant pas très longtemps. Le « drogué » reprend de la drogue alors que le joueur lui, joue 4 heures de plus enfin d’améliorer encore son personnage.
Ce documentaire nous montrait la vie d’un jeune homme qui annonce à ses parents son intention de prendre une année sabbatique pour se consacrer entièrement à everquest. Il jouait 12 heures et plus par jour.
Everquest est ce qu’on appelle, dans le jargon des jeux vidéo, un jeu massivement multijoueur.
Ce type de jeu possède des millions d’adeptes jouant interactivement l’un contre l’autre ou en équipe. À chaque « méchant » ou « monstre » que vous abattez, vous gagnez des points d’expériences. Après un certain nombre de points, votre personnage gagne des niveaux et devient plus fort, ainsi de suite, sans fin..
Ces jeux attirent des gens compulsifs. Cela a même créé un nouveau marché, la vente d’objets virtuels. Des gens paient des centaines de dollars pour acheter un personnage virtuel de l’un de ces jeux dits massivement multijoueur…