Un débat qui a eu lieu à l'émission Pensée libre, sur les ondes de la Première chaîne de Radio-Canada.
(Merci à Eric Millette)
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J’ai perdu un ami à cause du pot. Il n’est pas mort, il est juste devenu tellement « stone » qu’il s’est exclu lui-même de mon cercle d’amis. Il est un esprit vif et rieur mais apràs le pot, il agisait comme un éclopé de la vie. Je l’ai revu dernièrement. Il a quité la mari mais il est encore un peu lent.
C’est facile de dire que tout le monde est dépendant de la nouriture, l’eau et pourquoi pas l’air. Il est plus difficile de justifier les ravages que les drogues (prescrites ou non) font dans la société. Si on parle de dépendance, on doit également parler de la misère qui vient avec la perte de liberté, pas l’associer avec des fonctions biologiques!
Pour certains, c’est l’alcool, pour d’autres le billard ou le bungie. Tout repose d’un choix et le choix de chaque humain est guidé par la recherche du bonheur. Les alcooliques autant que les marathoniens ont leur raison de vouer leur vie à leurs choix. Nous sommes responsables que de nous-mêmes alors pourquoi gâcher notre existence à choisir par les autres? Notre société est droguée depuis qu’elle existe: si ce n’était pas le gin de l’industrialisation, c’était l’opium. Si ce n’était pas l’opium, c’était la littérature romantique. Si ce n’était pas la ferveur religieuse du moyen-âge, c’était les exécutions publiques. Bref, à chacun son hit de bonheur, sa pilule de joie ou sa ligne d’accomplissement, à chacun de choisir en croyant croître, à chaque volonté la mesure de ses choix.
J’ai perdu un ami à cause du pot. Il n’est pas mort, il est juste devenu tellement « stone » qu’il s’est exclu lui-même de mon cercle d’amis. Il est un esprit vif et rieur mais apràs le pot, il agisait comme un éclopé de la vie. Je l’ai revu dernièrement. Il a quité la mari mais il est encore un peu lent.
C’est facile de dire que tout le monde est dépendant de la nouriture, l’eau et pourquoi pas l’air. Il est plus difficile de justifier les ravages que les drogues (prescrites ou non) font dans la société. Si on parle de dépendance, on doit également parler de la misère qui vient avec la perte de liberté, pas l’associer avec des fonctions biologiques!
Pour certains, c’est l’alcool, pour d’autres le billard ou le bungie. Tout repose d’un choix et le choix de chaque humain est guidé par la recherche du bonheur. Les alcooliques autant que les marathoniens ont leur raison de vouer leur vie à leurs choix. Nous sommes responsables que de nous-mêmes alors pourquoi gâcher notre existence à choisir par les autres? Notre société est droguée depuis qu’elle existe: si ce n’était pas le gin de l’industrialisation, c’était l’opium. Si ce n’était pas l’opium, c’était la littérature romantique. Si ce n’était pas la ferveur religieuse du moyen-âge, c’était les exécutions publiques. Bref, à chacun son hit de bonheur, sa pilule de joie ou sa ligne d’accomplissement, à chacun de choisir en croyant croître, à chaque volonté la mesure de ses choix.