Un livre qui explore le monde merveilleux des "adulescents", ces adultes qui vivent comme des ados…
Once upon a time, boys and girls grew up and set aside childish things. Nowadays, moms and dads skateboard alongside their kids and download the latest pop-song ringtones.
Captains of industry pose for the cover of BusinessWeek holding Super Soakers. The average age of video game players is twenty-nine and rising. Top chefs develop recipes for Easy-Bake Ovens. Disney World is the world's top adult vacation destination (that's adults without kids).
And young people delay marriage and childbirth longer than ever in part to keep family obligations from interfering with their fun fun fun.
Christopher Noxon has coined a word for this new breed of grown-up: rejuveniles. And as a self-confessed rejuvenile, he's a sympathetic yet critical guide to this bright and shiny world of people who see growing up as "winding down"-exchanging a life of playful flexibility for anxious days tending lawns and mutual funds.
In Rejuvenile, Noxon explores the historical roots of today's rejuveniles (hint: all roads lead to Peter Pan), the "toyification" of practical devices (car cuteness is at an all-time high), and the new gospel of play.
He talks to parents who love cartoons more than their children do, twenty-somethings who live happily with their parents, and grown-ups who evangelize on behalf of all-ages tag and Legos. And he takes on the "Harrumphing Codgers," who see the rejuvenile as a threat to the social order.
L’auteur serait-il un autre de ces ultras catholiques qui prônent les familles nombreuses dès 20 ans? Ca me fait toujours sourire lorsque ces gens nous traitent d’égoïste, d’invidualiste nombriliste, d’irresponsable voir de vaut rien… Alors, je m’interroge sur la place du respect dans l’enseignement de leurs religions…
Vivre et laisser vivre,
Ce que je trouve terriblement démoralisant, dans tout ça, c’est que l’on passe notre temps à vendre l’idée que la vie n’est intéressante que lorsqu’on est enfant, ou lorsque l’on est COMME un enfant. A quand des parents qui apprennent à leurs enfants que d’être adulte c’est merveilleux, c’est riche, c’est agréable?
J’en ai vraiment marre de notre habitude à mettre la jeunesse et l’insouciance sur un piédestal. C’est quoi cette maladie moderne?
Comment voulez-vous que des enfants bercés de mensonges « tolérables » (le père Noel, la fée des dents, Cornemuse!) fassent des adultes assumés et heureux? Pour cela, il faudrait que leurs parents leur apprennent à aimer la vie telle qu’elle est: avec ses laideurs et ses beautés, mais dans la vérité! À l’inverse, ce que l’on fait tous, c’est de les tenir le plus longtemps possible éloigné de la réalité, en leur laissant croire que la réalité est terne, et que seul le rêve est digne d’intérêt.
J’ai choisi d’apprendre à mes fils à aimer la vie comme elle est, et non comme elle devrait être si on était sur la planète Walt Disney.
Scusez-la.
C’est la vie! – Comment rater le virage adulte
Le monde appartient aux adulescents de demain
-Josée Blanchette
http://www.ledevoir.com/2006/05/26/110018.html