Selon le magazine Reader's Digest, qui vient de publier les résultats d'une enquête qui s'est déroulée dans 26 métropoles, Montréal est l'une des villes les moins polies au monde.
Sur l'échelle de la courtoisie, nous méritons la 21e place sur 36!
Nous arrivons derrière Toronto, derrière Mexico et derrière Madrid.
Même Paris, qui est pourtant la capitale mondiale de l'air bête, obtient de meilleurs résultats!
Quant à New York, elle est classée la ville la plus polie au monde…
Les Montréalais ont-ils perdus le sens du civisme? La politesse est-elle une valeur en voie de disparition?
Je pensais que Montréal serait en 37e place. La ville n’est pas puante que par sa pollution, ces impolitesses en font une pollution verbale parfois suffocante.
Remarque que la politesse ça peut être relatif, car si tu dis va chier à Guy Fournier, il te répondrais sûrement:
« Avec le plus grand des plaisir « .
Oups! Suis-je impolie? Esce-que ça s’attrape?
Que voulez-vous faut faire avec!
Encore étonnant que Montréal se situe au 21e rang. Il suffit de se promener en ville et d’observer le comportement agressif des chauffeurs sur la route, des cyclistes qui brandissent le doigt d’honneur lorsqu’il nous coupe devant, des piétons qui traversent les feux rouges sans oublier les camions de vidange qui se permettent tout. Avez-vous déjà utilisé le métro ou l’autobus avec une jambe dans le plâtre? Je vous garantie qu’il y a moins de une personne sur deux qui vous laissera son siège par courtoisie.
Quels étaient les critères d’évaluation de cet enquête?
Est-ce qu’on peut douter de la valeur d’une enquête menée par le Reader’s Digest?
Ont-ils collecté des données durant une année entière ou en plein mois de février?
Les questions sont nombreuses…
Salut à tous,
Je suis d’accord.
Je donne une mauvaise note à tous les Montréalais en général et
en particulier aux commerçants italiens et grecs pour qui sourire et dire bonjour semble coûter 5$ à chaque fois.
Une bonne note pour les commerçant d’origine Maghrébine qui sont presque toujours avenants, sympathiques même.
Et je conspue les jolie filles de MTL qui ont toujours le nez en l’air comme si elles étaient des princesses. Les filles de NY sont aussi belles mais BIEN PLUS SYMPA!
Comme l’a si bien dit Eddy Murphey dans :
» Un prince à New York « .
Dire que New York est en première place.
Êtes-vous sûr que ça n’est pas arranger avec le gars des vue?
Bonjour
Je ne suis pas étonné.Je ne saurais dire ce qui s’est passé ces dernières années pour que l’on se retrouve avec une telle situation. On dit que les gens sont plus instruits, mais mieux éduqués,je ne le crois pas.
Comment en sommes-nous arrivés là ? C’est plutôt décourageant, je l’admets.
Va chier et mange de la marde remplacent trop souvent le manque de vocabulaire. Une incapacité d’entrer en contact avec les gens de façon respectueuse. C’est dommage.
D’un bord on se fait dire qu’on craint la polémique pis de l’autre on se fait dire qu’on est impoli.
Je pense que le problème réside juste dans le fait qu’on se ferme la gueule: ça passe autant pour pissou que mal élevé.
M. Martineau, vous oubliez de mentionner que c’est chez les 40 ans et plus que ce problème a été détecté, car chez les moins de 40 ans, Montréal se trouve 11e, ce qui est quand même bien. Alors, c’est encore la faute aux baby-boomers! Ça ne me surprend pas, j’ai pu admirer cette réalité justement hier. Une femme de 45-50 ans est sortie de l’édifice où je travaille sans retenir la porte, alors que derrière elle il y avait une femme agée de 70 ans minimum… Et c’est moi, le bon samaritain de 21 ans qui a tenu la porte pour la vieille dame. La politesse se perd? Ce n’est pas la faute des jeunes en tous cas, et l’enquête du Reader’s Digest le prouve!
Bonjour M. Martineau,
Il n’y a rien de bien etonnant au mauvais classement de Montreal en terme de politesse. Avez-vous oublie le petit reportage que vous aviez fait pour les Francs-Tireurs? Afin de tester la politesse des montrealais, vous teniez la porte d’entree, au centre ville, et attendiez un « merci ». Pas besoin de vous rappeller le genre de « merci » gestuel que vous avez meme obtenu.
En ce qui concerne votre affirmation sur Paris, je ne comprends pas. Lors de mon voyage dans cette ville, j’ai plutot ete surpris par la politesse et la courtoisie des parisiens (alors que je partais avec beaucoup, mais beaucoup, de prejuges defavorables).
Peut-etre puis-je me permettre de vous donner un petit conseil pour votre prochaine visite a Paris? Etant donne que vous etes montrealais, vous ne devez certainement pas connaitre les formules suivantes:
– dites « bonjour » en entrant dans un commerce;
– dites « merci » lorsque l’on vous sert;
– dites « au revoir » en quittant les lieux.
Vous verrez, ca aide….
Plus serieusement, vous etes vous deja demande comment vous vous comporteriez si vous etiez parisien? Paris n’est pas un musee. Et pourtant, elle est envahie chaque jour par des nuees de touristes avec tous les inconvenients que cela comporte pour les parisiens.
Pour revenir a Montreal, je crois que les gens y sont bien trop individualistes et egocentriques pour etre courtois et polis. A Montreal, personne ne respecte rien ni personne. Promenez-vous a pieds dans Montreal et vous verrez de quoi je parle. Vous aurez a eviter les velos qui roulent sur les trottoirs et vous risquerez votre vie a chaque fois que vous essaierez de traverser la route. Prenez le metro et le bus et regardez ces miserables detourner le regard lorsqu’entre une femme enceinte ou agee (ou les 2 a la fois, tout est possible maintenant). Et non je ne l’ai pas vue, et non je ne lui decederai pas mon siege. Pathetique.
Ca, c’est MONTREAL !!!!
Sans vouloir repartir la « gué-guerre » Québec-Montréal je dois dire qu’en tant que capitale de l’air bête Québec ne donne pas sa place! J’y ai vécu deux ans et je crois que Québec bat Montréal. Je préfère Québec à Montréal sur presque tous les points (climat, taille de la ville, pollution, etc.)mais quant à la gentillesse des habitants…euh, on repassera!
Non je ne crois absolument pas à cette étude… Il faudrait vraiment savoir qu’est-ce qu’ils entendent par politesse. Je reviens de New-York et sérieusement j’ai trouvé les gens tellement impolis! À Montréal on te tiens la porte, on s’excuse si on te rentre dedans… à New-York on te laisse te cogner contre la porte, on te pile 50 fois sur les pieds et on fait comme si de rien n’était. Il est certain qu’à Montréal on sacre beaucoup, mais je ne considère pas ça comme des impolitesses mais plutôt comme une marque culturelle.
Moi aussi je suis étonnée que Montréal ait aussi… bien fait. En effet il suffit de prendre le métro et l’autobus pour se rendre compte que la courtoisie minimale (ex. proposer son siège à une personne âgée, enceinte ou avec une jambe cassée) est devenue une rareté. J’ai déjà dû aider une femme en béquille dans un autobus à se rendre au siège que j’occupais… à l’arrière (car personne d’autre à l’avant n’a proposé le sien). J’ai aussi vu en plein été une femme TRÈS enceinte être obligée de rester debout dans un wagon bondé alors que le métro s’était immobilisé entre deux stations (un homme, n’en pouvant plus, s’est mis à injurier les gens assis pour leur faire comprendre que c’était franchement ridicule). Non vraiment, les exemples pleuvent et il commence à être temps qu’on corrige cela!
On peut lire l’article à cette adresse ( http://www.selection.ca/mag/2006/07/politesse.php ).
En gros le Reader’s Digest a effectué 3 tests dans 36 villes.
* Voir si les gens tiennent la porte lorsque quelqu’un les suis de près.
* Voir si les commerçants remercient les clients après un achat d’environ 2$.
* Voir si les gens s’arrêtent pour aider quelqu’un qui a échappé des documents.
L’on dit souvent que les jeunes québécois sont impolis. Et bien les québécois de moins de 40 ans se sont classés au 10ième rang contrairement au plus vieux qui se sont classer au dernier rang. Je sais que cette enquête n’a rien de scientifique mais ça fait quand même du bien à mon égo de jeune homme. 😉
les criteres si je me souviens bien etaient si on tenait la porte pour quelqu’un, si le vendeur disait merci apres une vente et si on aidait une personne qui fait tombe ses papiers.
je sais pas a quel point ca reflete bien la politesse des gens
Je vais souvent à N-Y et oui les gens sont gentils en majorités..Poli, avenant, et respectueux de mon accent.
Les chauffeurs de taxi, sont si charmant et gentils.
J’aime les gens de New York. Quand je vais à Montréal, je suis toujours étonnée de constater la froideur et le manque de politesse de certaines personnes.
Nous méritons notre place… Premièrement dans les transport en communs il n’y a aucun civisme que de l’individualisme. Les jeunes ne cède pas leur place et semble faire semblant que les gens qui ont besoin de s’assoir n’existe pas. L’autre jour j’ai vu une dame demander a une jeune fille si elle voullait bien lui céder sa place, elle l’a regarder avec une air bête et c’est levé en soupirant très fort. C’est quand même épouvantable et ce n’est qu’un exemple sur plusieurs autres.
Aucunement surprise. Mais qu’on ne vienne pas nous baratiner que c’est à cause de cette maudite jeunesse, que tout fout le camp, que les jeunes d’aujourd’hui sont des monstres d’impolitesse ! Combien de fois me suis-je étonnée de voir des personnes d’un certain âge à qui je tenais la porte entrer dans un commerce en faisant la gueule ? Pas un merci, pas un sourire, queue dalle ! J’ai souvent observé des gens qui couraient après l’autobus, et quand le chauffeur avait la bonté de freiner pour les laisser entrer, il n’avait droit ni à un merci, ni à un sourire, les retardataires entrent dans le bus en faisant la gueule, comme si c’était de la faute du chauffeur ou du monde entier s’ils se sont levés en retard.
Nombreux sont les vendeurs, et surtout les vendeuses, souvent très jeunes, qui ont l’air incroyablement bête et vous donnent le sentiment que vous les emmerdez. Ça tutoie les vieux, ça vous toise du haut de leur minois percé.
J’en ai visité des grandes villes, en France, en Angleterre, en Allemagne, ailleurs. Seules les grandes villes américaines m’ont donné le sentiment d’être aussi peu accueillantes que Montréal…
Ouais, j’avoue que j’ai été surprise. On dit souvent que le Québec est un pays…enfin un endroit chaleureux ou les gens sont accueillants et toujours souriants. Bref, j’habite Montréal depuis peu et je n’ai pas encore eu de mauvaises expérience. Par conséquent, je peux vous dire que la FRANCE ne donne pas sa place sur la politesse. J’adore pourtant ce pays, surtout le sud où j’ai eu la chance d’habiter près de trois ans, mais je n’ai jamais rencontré de vendeuses aussi bêtes. Dans les grandes surfaces, elles travaillent assises, chose rare au Québec, elles ont l’air trop fatiguées pour nous dire bonjour ou encore nous dire le montant total de la facutre. Elles sont fades, donnent l’impression que la fin du monde est arrivée et, trop souvent, parlent au cellualire en meme temps qu’elles nous servent! Rien de plus impoli! Franchement, peu importe l’endroit, un petit sourire fait de mal à personne et ça égaie les coeurs…tout simplement!
Je pense que cela a commencé quand, pour se rapprocher des élèves, les profs se sont laissés appeler par leur prénom et tutoyer. Le tutoiement était autrefois au Québec, comme c’est toujours le cas en France, réservé aux intimes. Une distance respectueuse était gardée envers les étrangers par le vouvoiement. Quel manque d’éducation que de tutoyer les employés au service à la clientèle que ce soit au restaurant, dans les boutiques ou ailleurs. La hiérarchie intergénérationnelle était aussi sauvegardée par l’usage de « papa », « maman », « grand-papa », « grand-maman ». Aujourd’hui c’est très courant d’appeler les parents et grand-parents par leur prénom. Imposer l’intimité en tutoyant ca passe au Québec mais pas à l’extérieur. Le vouvoiement atténue les excès de langage. Au Québec on sacre, pis on se tutoie. C’est un manque de classe qui n’est pas à notre honneur!
C’est malheureusement vrai, je séjourne à Toronto une couple de fois par mois et il n’y a pas photo, j’apprécie la courtoisie de mise dans la ville reine. Cette civilité compte d’ailleurs pour beaucoup dans l’attrait de cette métropole, même en laissant de côté les avantages économiques.
Pire, cette constatation je ne l’ai pas faite seulement à Toronto, mais aussi (récemment) à San-Diego, San-Jose, Buenos-Aires, Charlotte, Londres… name it. La cerise sur le sundae: un voyage à Paris avec une amie l’année montréalaise pur jus l’année dernière, au retour duquel cette dernière s’est exclamée que c’était « incroyable » comme les gens étaient polis à Paris! Faut le faire…
C’est dommage pour Montréal: on y trouve des gens charmant (comme partout), mais tout se passe comme si le joual des années 70-80 et la réaction contre un certain colonialisme culturel européen avait définitivement classé la politesse comme « out », « pas cool », « ringarde » chez les faiseurs de tendance. Hors du style « québécois baveux », « tasse-toi mon oncle », « ça sra palon picéçakiéça », « anwouèye estie », etc., popularisé « à TV » par d’aucuns-que-nous-ne-nommerons-pas (on pourrait y passer la nuit), point de salut.
Pourtant la politesse est le lubrifiant d’une civilisation, le facilitateur des échanges, et un art tellemetn agréable à cultiver… est-ce pour cela que le Québec fait du surplace depuis un certain temps? Quand on est plus capable de se parler gracieusement, on finit par n’avoir plus rien à échanger.
Une étude faite par le Reader’s Digest qui classe Montréal loin en arrière en termes de courtoisie…
Depuis quand le Reader’s a de la crédibilité?
Y a-t-il quelqu’un dans la salle de réellement ébranlé par cette révélation?
On passe à un autre appel.
Pas besoin d’un faux sondage pour constater que les gens autour de nous manque de civisme, y compris moi parfois Mea-Culpa. La cause de cette tare : la technologie, sutout le cellulaire. La rue Sainte-Catherine est bondé de passants, un abruti vous écrase le pied sans même s’excuser. Il s’éloigne en parlant seul. Non, il n’est pas schyzophrène, il s’est plutôt fait greffé un cellulaire sur la tempe droite. Vous boitez jusqu’au bureau et vous apercevez une vedette de la «tivi» devant l’édifice il s’agite et il parle seul. Vous passez votre chemin sans même le féliciter pour son beau programme car il est trop occupé à gérer les conversations de ses deux cellulaires.
Mme Brodeur, attention de faire votre jugement de NY à partir d’un film d’Eddie Murphy 😉
Pour ma part je n’ai jamais vécu à NY, mais j’ai vécu à Québec, Montréal et, depuis quelques années, Seattle. Et je dois vous dire que de tous les chocs culturels qui m’ont frappés à mon déménagement aux États-Unis, le plus surprenant fut justement le caractère polis et respectueux des gens d’ici. Prenez une marche n’importe où à Seattle, et tous ceux que vous croiserez vous lançeront un large sourir et un « good morning » ou autres « hi! ».
Sur les routes, il suffit qu’un piéton nese retourne face à la route qu’aussitôt les voitures s’immobilisent, juste AU CAS où le piéton désir traverser la route. Et comme conducteur, aucune peine à m’infiltrer sur une autoroute bondé ou tourner sur une rue achalandé: dès mon clignotant enclanché les voitures ralentissent pour m’assurer une place.
Mais toute cette politesse a un gros défaut: à chaque noël lorsque je reviens au Québec, et qu’avec ma voiture louée je sort du parking de l’aéroport P.E.T. je dois ré-apprendre le combat et l’aggression en voiture. Retrouver le « Road Warrior » qui ne m’as pas suivit jusqu’à Seattle. Car sinon, je passerait le temps des fêtes à clignoter pour entrer sur la 20 …
Essayez, pour voir, de tenir la porte à quelqu’un, à Montréal.
C’est à peine si on vous dit merci… C’est à enlever le goût d’être sympa.
On va quand même pas accorder de la crédibilité au Reader’s Digest.
Peut-être que la politesse devrait être témoignée par le visage des gens. Dans les grandes villes aujourd’hui, tout le monde ne peut-être polies parce que la plupart des gens parlent au téléphone ou ont des écouteurs blanc dans les oreilles, moi le premier. Les gens ne se parle plus, du moins d’étranger à étranger. Il est normal que les rudiments de la politesse verbale tendent à s’évaporer dans les échanges verbaux quotidiens. Si vous ne voulez plus parler à votre prochain, au moins souriez-lui.
Il s’agissait d’une plaisenterie bien sûr. Faut pas tout prendre au pied de la lettre. Mais dans les faits ,je prends cette enquête avec un grain de sel (humour).
Ca fait du bien de savoir que l’impolitesse vient rééquilibrer les choses!
On a pas tellement de gros problèmes ici, au Québec. Pas de guerre civile, pas de mines antipersonnelles, pas d’enfants-soldats, pas de mur de la honte… Alors heureusement qu’on a l’impolitesse, parce que sinon, il ferait trop bon vivre, ici, n’est-ce pas?
Monsieur Rivard, votre argumentation me fait penser au père de famille qui se ferait reprocher de n’avoir pas accordé beaucoup d’attention à ses enfants et qui leur répondrait : « Ben au moins, j’vous ai pas abusé sexuellement, non? »
Crime, on se sent tellement mieux.
Pendant les années que j’ai demeuré à Laval et travaillé à Montréal, à chaque fois que j’ai fait preuve de courtoisie j’avais toujours l’impression de faire « téteux ». Si c’était une vieille dame à qui je cédais ma place elle me disait naturellement merci mais mon (jeune) entourage me regardait en samblant « Regarde le! Pour qui y se prend? ». Et quand c’est avec les jeunes femmes/filles qu’on est courtois, alors là, la plainte pour harcèlement n’est pas loin!
Au point où l’on se sent carrément libre d’être poli à notre guise quand l’on est en voyage à l’étranger! On sait que la plus élémentaire courtoisie est la norme que l’on soit en Europe où n’importe où hors-Québec… J’exagère?
Pas du tout! A preuve, je travaille à Ottawa et il est arrivé que j’ai été courtois avec deux jeunes collègues québécoises, hors elles ont été bêtes avec moi pour le reste de la journée!
Un an plus tard, avec deux jeunes collègues anglophones, j’ai été courtois et j’ai eu droit à de gentils « Thank you » et elles sont restées aimables le reste de la journée…