Un texte à lire.
Faut-il retirer le sapin de Noël des écoles et le mot « Dieu » de tous les chants? La question n'est pas anodine. Nicole Le Bihan, conseillère pédagogique à la Commission scolaire Lester-B.-Pearson, témoigne de la demande de « deux mères qui voulaient supprimer non pas tous les chants de Noël, mais les textes trop religieux de Noël "parce que ce n'est pas notre Dieu" ».
La directrice, en accord avec le professeur de musique, a accepté la demande. Au début de la déconfessionnalisation des écoles publiques, « des directeurs ont voulu supprimer le sapin de Noël ». Et Mme Le Bihan a suggéré de fêter Noël et les autres religions.
Je me souviens aussi, qu’il y a quelques années. Les dirigeants de la ville de Montréal avaient proposé de changer le nom du fameux sapin de Noël qui est érigé chaque année à la place Vauquelin. Pour que ce soit nommé « l’arbre de vie ».
Voir le lien:
http://www.vigile.net/ds-societe/docs3/02-12-6-lp-sapin.html
Quel cafouillis! Je retiens un passage du texte. « Par leur tradition, les écoles anglophones sont mieux préparés à la gestion de la diversité. Chez les francophones il y a défaut d’orientation et de principes communs qui uniformisent le règlement des demandes d’accommodement. » soulève Madame Tanya St-Jacques. Tiens donc! C’est pas demain la veille qu’on s’entendra sur la gestion de la diversité! Le débat sur la souveraineté n’a pas réussi vingt-six ans plus tard à rallier les Québécois sur une orientation et des principes communs. C’est à en perdre son latin!
C’est à se demander où on s’en va. Ils veulent déconfessionaliser, d’accord. Sous principe d’égalité, encore d’accord. Il faudrait retirer Dieu de tout ce qui a trait à l’école, toujours d’accord. La religion, c’est l’affaire des parents.
Il faudrait quand même faire preuve d’un peu de discernement et quant à pousser, pousser égale.
Enlevez Dieu des chansons, fêtez Noël, l’Hannoukah (pas sûre de l’ortho exacte), le Ramadan si ça vous chante.
Tout le monde est content? Non.
Mais en faisant ça, en pensant bien agir, pour le bien de tous, pour le droit à la diversité de culture, de religion ou de pas-de-religion, il se pose un problème plus grave. Où est-ce que ça s’arrête, ce cirque?
Qui va décider ce qui est fêté et pas, ce qui est permis et interdit? Et si on commence à ajouter des fêtes à fêter pour agrémenter le paysage culturel et saupoudrer généreusement la tolérance qui passe par la connaissance de la différence, on ne risque pas de devenir débordé et de reconfessionaliser-toutes-confessions-confondues. Allo le « mess »!
Ça y est, juste penser à la valse du droit à la déconfessionalisation spolié et le tango éreintant du politically-correct-pour-satisfaire-tout-le-monde-et-rendre-personne-vraiment content.
Je trouve ce type de réaction assez extrémiste: des mères qui refusent (probablement un groupe minoritaire) et on les écoute. Pourquoi que les enfants ‘offensés’ ne s’abstiennent-ils pas tout simplement de chanter ou d’écouter?
Cela me rappele quand mon fils était en 2 ou 3ième année. Pour devoir, il devait faire un dessin selon ce qu’il avait choisi d’écrire, plusieurs exemples étaient donnés. En voici un: Le père Noël avec les cadeaux et à coté il y avait le dessin correspondant. Tous sous le jolie thème du Père Noël. Je dis alors à mon fils, tu vas écrire ¨Le Père Noël a disparu dans la tempête de neige¨ et comme ça tu n’auras pas de dessin à faire. Celle-là je l’ai rie pendant très longtemps et j’en rie encore parfois comme aujourd’hui.
Parce que je ne voulais pas que ces inventions mensongères lui entre dans la tête. Donc, tous les cadeaux qu’il recevait, je lui disait qu’ils venaient de moi parce que je l’aimais. Ainsi, il avait l’heure juste et du même coup je lui apprenais la reconnaissance à avoir envers celui ou celle qui t’a vraiment fait le cadeau.
La maîtresse n’a pas appréciée, mais cela je m’en balançais royalement. Il n’a pas eu une bonne note à l’école mais à la maison oui, car c’est moi qui était remercier au lieu d’un Père Noël qui n’existe pas. Je pense que si on éduquait nos enfants dans la vérité, ils apprendraient moins à être menteur.
Yahou! Le Père Noël a disparu.
Un cuisinier a-t-il besoin de traîner ses livres de recettes et ses casseroles avec lui pour nous convaincre qu’il est un cordon-bleu ? C’est pareil à l’école.
Affirmer sa foi, c’est beaucoup moins compliqué. C’est d’aimer Dieu (ou Allah, Mahomet, etc.) en Le reconnaissant en chaque être humain : ainsi, on essaie d’offenser l’autre le moins possible pour ne pas offenser Dieu.
Même si j’admire les musulmans à ce chapitre, je ne crois pas qu’il soit essentiel de prier face contre terre toute la journée : il suffit d’ESSAYER de plaire à Dieu. Que nos actes deviennent prière : pardonner, écouter l’autre, se mettre dans ses souliers pour le comprendre, l’aider parce qu’on ne peut pas tolérer qu’il souffre, etc.
Le fait de traîner son crucifix ou son kirpan ne fait pas de soi un meilleur disciple non plus. Mère Teresa, l’abbé Pierre, le dalaï-lama, Pops, Soeur Emmanuelle, Gilles Kègle et de nombreux autres ont-ils eu besoin de ça pour nous convaincre de croire davantage ? Non, leurs actions ont témoigné de leur foi. C’est amplement suffisant… et moins mêlant.
Je suis d’accord à ce que nous nous adaptons à toutes ses religions et savoir faire, à titre de respect pour les nationalités différentes. MA question est : POURQUOI que si nous humble Canadien allons demeurer ou même visiter certains pays nous devons obligatoirement nous conformer à leur politique et à leur religion. Au risque d’y laisser notre vie, dans certain cas. POURQUOI? il ne s’adapterait pas à nous? Ils sont bienvenue au Canada et ils ont même le choix de vivre de notre facon ou bien même de prendre notre religion ou pas. Ils imposent leur facon de vivre chez nous*** C’est quoi cela? le gouvernement ne voit pas ce qui se passe. Ou somme nous trop bon pour se laisser marcher dessus. Je pense que depuis qu’ils on retirer Dieu des écoles et tout le reste ca va de pire en pire. OUI il y avait eu du mauvais en la religion Catholique par contre, la philosophie de cette religion était quand même respecter même des bullies à l’école et tout ce qui s’en suit. Le sapin de Noel tradition à faire rêver à même un désir d’avoir un voeux réaliser un rêve se matérialiser. Qui n’a pas un jour rêver d’avoir un peu plus dans sa vie? Hey bien! sans le sapin et Dieu qu’aurions nous appris de la vie?
Voilà ce que je voulais partager.