Des liens traitant de l'essai Comment le soccer explique le monde…
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2 commentaires
Ça me fait penser à une nouvelle de Bernard Werber dans l’Arbre des possibles dans laquelle le monde se faisait la guerre par des matchs de soccer particuliers… j’ai essayé d’en trouver un extrait sur le web mais en vain. À lire!
Comme la Terre est un ballon, je dis souvent qu’un match de foot est comme une Vie. On y retrouve, pendant 90 minutes seulement, la famille, les amis, les adversaires, le travail acharné, la sueur, la peur, la fierté, la passion, l’erreur, la pression, la tricherie, le désespoir, la honte, la déception, l’exaltation et aussi le deuil. Perdre un match de grande importance, c’est souvent une tragédie intense. Ça fait « très » mal. Le gagner? Indescriptible!! Je vous le jure. C’est mieux que… bref, vous savez quoi… toute ma vie j’ai dit que j’étais née sur le mauvais continent. J’ai le foot dans le sang depuis ma tendre enfance, pas facile des fois pour une Québécoise car la qualité du foot ici est… à venir. Ma carrière est derrière moi de toute façon. Je suis fan-fanatique maintenant en premier lieu. Ce sport que je prends plaisir à qualifier d’Art, parce que les joueurs sont en fait de vrais artistes (faut admirer la technique et la finesse du geste), et bien ce sport est d’une beauté et d’un bonheur à regarder. Un vrai spectacle! Oui, il est tout ce qu’il y a de plus international. Malgré les échanges et les rapprochements, chaque équipe a encore sa signature propre, son identité, son style. Personne n’est encore arrivé à niveler ça. Malgré les millions, je crois encore que les athlètes-artistes font leur entrée sur le terrain avec en tête cette fierté d’un peuple à représenter, d’une nation à transporter.
Il y avait beaucoup de gilets et de drapeaux de la France ce soir à Québec. Peu importe de qui ça venait, on se lançait des « Allez les Bleus! » à la volée. Pendant quelques heures, pendant que les Portuguais pleurent sur leur défaite, les Français et autres supporters sont heureux. Oui… ça rend heureux le foot… JE suis heureuse. Je savoure les bons coups, je tremble sur une attaque sournoise, je peste contre un joueur malhonnête, je hurle sur le but de la victoire.
Oui, la terre est un ballon et un match de foot est comme une vie…
Ça me fait penser à une nouvelle de Bernard Werber dans l’Arbre des possibles dans laquelle le monde se faisait la guerre par des matchs de soccer particuliers… j’ai essayé d’en trouver un extrait sur le web mais en vain. À lire!
Comme la Terre est un ballon, je dis souvent qu’un match de foot est comme une Vie. On y retrouve, pendant 90 minutes seulement, la famille, les amis, les adversaires, le travail acharné, la sueur, la peur, la fierté, la passion, l’erreur, la pression, la tricherie, le désespoir, la honte, la déception, l’exaltation et aussi le deuil. Perdre un match de grande importance, c’est souvent une tragédie intense. Ça fait « très » mal. Le gagner? Indescriptible!! Je vous le jure. C’est mieux que… bref, vous savez quoi… toute ma vie j’ai dit que j’étais née sur le mauvais continent. J’ai le foot dans le sang depuis ma tendre enfance, pas facile des fois pour une Québécoise car la qualité du foot ici est… à venir. Ma carrière est derrière moi de toute façon. Je suis fan-fanatique maintenant en premier lieu. Ce sport que je prends plaisir à qualifier d’Art, parce que les joueurs sont en fait de vrais artistes (faut admirer la technique et la finesse du geste), et bien ce sport est d’une beauté et d’un bonheur à regarder. Un vrai spectacle! Oui, il est tout ce qu’il y a de plus international. Malgré les échanges et les rapprochements, chaque équipe a encore sa signature propre, son identité, son style. Personne n’est encore arrivé à niveler ça. Malgré les millions, je crois encore que les athlètes-artistes font leur entrée sur le terrain avec en tête cette fierté d’un peuple à représenter, d’une nation à transporter.
Il y avait beaucoup de gilets et de drapeaux de la France ce soir à Québec. Peu importe de qui ça venait, on se lançait des « Allez les Bleus! » à la volée. Pendant quelques heures, pendant que les Portuguais pleurent sur leur défaite, les Français et autres supporters sont heureux. Oui… ça rend heureux le foot… JE suis heureuse. Je savoure les bons coups, je tremble sur une attaque sournoise, je peste contre un joueur malhonnête, je hurle sur le but de la victoire.
Oui, la terre est un ballon et un match de foot est comme une vie…