Comme vous le savez sans doute, une Québécoise, Louise Desnoyers, aurait vraisemblablement noyé son fils aux États-Unis.
Avez-vous vu la couverture de La Presse de cette sordide histoire?
Révoltant.
Le titre du texte publié à la une était déjà tout un programme: "Quand la détresse pousse à tuer son enfant."
Mettons que la nouvelle concernait un homme qui avait tué sa femme. Pensez-vous que La Presse aurait titré: "Quand la détresse pousse à tuer sa femme"? Bien sûr que non.
Mais chaque fois qu'une femme tue son enfant (ou son mari), c'est toujours la même chose: on la victimise, on minimise son geste, on le met "en contexte". Elle était dépressive, malade, elle avait besoin d'aide…
Alors que l'homme qui tue sa femme ou son enfant, lui, est un monstre, un malade, un psychopathe…
La Presse a publié un texte sur les parents qui tuent leurs enfants. Hallucinant. Lisez cet extrait.
Entre 1986 et 1994, soit en huit ans, Suzanne Léveillée, professeure en psychologie à l'Université du Québec à Trois-Rivières, a répertorié 75 cas de parents qui ont été reconnus coupables de filicide au Québec.
«Pour les femmes, les motivations sont souvent liées à des aspects dépressifs, explique la spécialiste en homicides familiaux. C'est fait par altruisme. Les femmes souffrent et veulent épargner à leurs enfants de telles souffrances. Elles sont obnubilées par leur détresse (…)»
«Chez les hommes, c'est plus souvent par mesure de représailles, certains tuent les enfants pour faire souffrir leur conjointe (…)»
Vous avez bien lu: quand un homme tue son enfant, il veut faire souffrir sa conjointe, mais quand une femme tue son enfant, c'est de L'ALTRUISME!!!!!!
Hello?????
Ça me fait penser à l'affaire Yates.
En juin 2002, Andrea Yates, une Américaine de 37 ans, a noyé ses cinq enfants dans son bain. Après avoir calmement tué ses bambins de sept ans, cinq ans, trois ans, deux ans et six mois, madame Yates a signalé le 9-1-1 et demandé à la police de venir la chercher.
Devinez qui lui est venu en aide, lors de son procès? Des groupes féministes! Le chapitre texan de la National Organization for Women, le lobby féministe le plus puissant aux États-Unis, a en effet organisé une vigile aux chandelles afin d'apporter son soutien à l'accusée. La raison: la pauvre madame Yates n'est pas un méchant bourreau qui a assassiné ses enfants, mais une innocente victime qui souffrait de dépression post-partum. Si elle a commis ce crime atroce, c'est parce que la société ne lui est pas venue en aide.
Quand un homme abat ses enfants dans un moment de folie, c'est un salaud de la pire espèce qui mérite toute notre haine. Mais quand une femme commet le même geste, c'est une pauvre victime du système patriarcal qui n'offre aucun soutien aux mères de famille.
Deux poids, deux mesures.
Vous trouvez que j'exagère? Du tout. Pendant le procès, Katie Couric, la célèbre journaliste du Today Show, présentait une entrevue avec la mère d'Andrea Yates. Non seulement l'entrevue était-elle indulgente envers l'accusée (après tout, elle a seulement tué ses cinq enfants…), mais à la fin du topo, on a affiché le numéro de téléphone de l'avocat de madame Yates, au cas où des téléspectatrices veuillent lui envoyer des sous.
Imagineriez-vous l'inverse, vous? Dépeindre un homme qui a abattu sa femme sous un jour positif, puis demander aux téléspectateurs de contribuer financièrement à sa défense? Aucun journaliste digne de ce nom n'accepterait d'agir ainsi. Mais quand c'est une femme qui a commis le crime, soudainement, notre vision des choses change. On essaie de comprendre, on explique, on met en contexte… "Elle était malade, fatiguée, dépressive."
Je ne dis pas qu'Andrea Yates ne souffrait pas de dépression. Mais pourquoi les hommes qui commettent des gestes violents n'ont-ils pas droit au même traitement? Pourquoi ne les dépeint-on pas eux aussi comme des victimes du système, des malades qui ont besoin d'aide et qui canalisent leur désespoir dans la violence, au lieu de toujours les montrer comme des monstres en pleine possession de leurs moyens?
Les maladies psychiatriques ne toucheraient-elles que les femmes?
Rosie O'Donnell, la célèbre animatrice de talk-show, a affirmé sur les ondes qu'elle ressentait énormément d'empathie pour madame Yates. Vous imaginez comment les Américains réagiraient si David Letterman osait avouer qu'il ressent une certaine empathie pour un homme qui a tué sa conjointe? "Je peux comprendre le calvaire qu'il a traversé, la pression qu'il subissait au travail, la peine qu'il a ressentie lorsque sa conjointe l'a quitté, la crainte de perdre ses enfants… Il a craqué, le pauvre, il mérite toutes nos prières."
Pas sûr qu'il se ferait des amis!
Tenez, c'est comme l'inceste. Notre société condamne sévèrement (et avec raison) les pères qui abusent de leurs enfants. Mais qu'en est-il de leurs femmes, qui, souvent, savent fort bien ce qui se passe mais choisissent de ne rien dire? Qu'attend-on pour les condamner, elles aussi? Les citoyens ne sont-ils pas tenus de signaler les crimes dont ils sont témoins et de venir en aide aux personnes en danger?
Ah oui, j'oubliais: ce sont des femmes donc, de pauvres victimes innocentes. Elles ont peur de leur mari, elles pourraient perdre leurs privilèges, alors elles ferment les yeux et enjoignent à leurs enfants de se taire… Qui sommes-nous pour juger?
Les femmes ne sont jamais des bourreaux. Lorsqu'elles dérapent, elles ont toujours une bonne raison: le post-partum, le syndrome prémenstruel, la société patriarcale.
Point n’est besoin de vous dire que la femme est différente de l’homme !
Les mobiles de crimes sont différents pour les hommes que pour les femmes (Boisvert, 1996). En général, les hommes tuent pour contrôler, les femmes pour échapper à une situation dangereuse (Frigon, 1996).)
Aussi, les données canadiennes du Programme de déclaration uniforme de la criminalité montrent que 91% des personnes accusées en 1991 de crimes de violence étaient de sexe masculin.
Ce n’est tout simplement pas dans les gênes de la femme que d’être agressive (5% des femmes auraient en elles des gênes d’agressivité).
Voilà pourquoi on excuse, peut être à tort – faudrait savoir – une agression commise par une femme.
Au plaisir,
Ah oui les fameuse gënes, celle qui il ya de cela 15 ans était responsable de l’homosexualité. Et vlan les gênes, quel preuve iréfutable.
Parfait, que vous prenier votre place dans la socièté aucuns problème je suis même entièrement d’acord, mais au moins assumé-en pleinement le rôle, les bons et les mauvais côté. Des »criss » de folle sa l’existe, et des »criss » de fou aussi POINT FINAL.
Je ne suis pas certaine que les femmes obtiennent un tel traitement de faveur dans des causes criminelles. Après tout, nous venons tout juste de voir dans les médias le cas de Peter Whitmore, le pédophile qui avait enlevé deux petits garçons jusqu’en Saskatchewan, libre comme un oiseau alors qu’il avait été trouvé coupable de crimes sexuels deux fois auparavant.
Comme les femmes, ces criminels peuvent se prévaloir d’une « défense Twinkies » qui explique leurs gestes par des facteurs émotionnels ou circonstanciels.
Quant à Andrea Yates, malgré sa défense, elle ne s’en est pas sortie, elle est en hôpital psychiatrique à sécurité maximale probablement jusqu’à la fin de ses jours. Il a été démontré qu’elle souffrait d’une psychose post-partum qui n’a jamais été correctement traitée.
Tout est affaire de poids et de mesures. Le point de vue, qu’il soit journalistique, populaire ou même, comme dans ce cas, professionel, souffre d’un regard biaisé.
Et c’est impossible de s’en défaire. Chacun prend une nouvelle, un événement, sous l’angle qui le confortera dans ses opinions établies. On ne s’en sort pas. Sauf quand on est touché personnellement.
Anecdote: je suis aux États, pour le travail, et dans un ascenseur, je discute racisme avec un collègue de là-bas. Un ardent gauchiste, viril défenseur de l’égalité de tous les être humains, de la parité des salaires, du droit universel au respect et à l’emploi. Bref, tout le monde est pareil, tout le monde est gentil.
Le soir même, je doit prendre l’avion avec lui pour le retour à Montréal. Eh bien, il a vigoureusement refusé de monter dans l’avion parce qu’un groupe de trois Pakistanais étaient assis à côté de nous. Je lui ai dit bye bye, et j’ai du expliquer la raison de son retard.
Deux poids, deux mesures. Tout le monde est ben fin, sauf s’il est Pakistanais, dans mon avion.
Quand le doc Mailloux sort des études pour « prouver » que les races diffèrent, on veut lui couper la jambe qui lui reste. Quand les psychologues nous sortent des études pour « prouver » que les femmes sont moins pires que les hommes, on veut se couper une jambe pour s’excuser d’être des maudits hommes.
Deux poids, deux mesures. Tout le monde est ben fin, sauf le doc Mailloux.
Cher jacques,
Bien que cela soit gênant à confirmer en si peu d’espace, les études citées par Mailloux étaient non seulement validées par la communauté scientifique, mais encote bien connues dans le milieu médical (et ce depuis des décennies) en ce qui concerne la sous-performance des noirs À TOUS les tests QI (depuis 1917).
Ce qui était plus que douteux dans l’usage que le doc unijambiste a fait de ces études (irréprochables sur le plan scientifique) dans le cadre (vraiment très) restreint d’une tribune «grand public» fut de relier cela à un obscur processus de «sélection naturelle» (du Galtonisme en fait – un cousin de Darwin-) alors que dans les faits il aurait dû plutôt expliquer que ce sont les conditions de vie des noirs des USA qui sont biaisées, et non les études dont les résultats sont scientifiquement «politiquement incorrects».
Pour bien faire, Mailloux aurait pu ajouter que les asiatiques surpassent les blancs par un facteur de 15% dans les mêmes tests mais que ceci s’explique par des facteurs n’ayant rien à voir avec la génétique.
Pour en revenir maintenant au sujet principal, à savoir le meurtre de ses propres enfants, je crois que nous avons affaire à la même détresse s’exprimant de façon différente selon que l’on soit père ou mère. Porter un jugement sur semblable dérive m’est impossible car cela n’est en aucune façon mesurable (contrairement au QI) de manière scientifiquement démontrée.
Je conçois que le traitement journalistique est biaisé selon que l’assassin soit mâle ou femelle, mais entre nous le résultat est le même et est parfaitement contre-nature!
Qui sommes-nous pour juger de semblable détresse ? Tuer ses propres enfants est parfaitement inexpliquable et impossible à mesurer scientifiquement, ce qui laisse libre cours à un certain jaunisme dans le traitement de la nouvelle que Richard dénonce avec beaucoup d’à propos car semblable horreur ne mérite AUCUNE excuse peu importe le sexe ou la couleur de qui la commet !
Bravo M. Martineau d’avoir relevé cette perle dans l’article de La Presse. Je me demandais si quelqu’un allait la soulever. Lorsque j’ai lu cet article hier, j’ai tiqué immédiatement et j’ai dû le relire pour bien m’assurer que c’était bien ce que la psychologue disait : les femmes qui tuent leurs enfants le font par altruisme, et les hommes qui le font, eux, c’est par mesures de représailles. Et on dira ensuite que les scientifiques sont toujours objectifs.
Personne n’est dans le corps d’une autre qui commet un crime. Peu importe quel genre de crime. Toute action humaine est poussée par des motivations inconscientes, cachées par un alibi qui vient de notre conscience « logique » qui selon-nous, explique bien souvent tout. Mais tout crime, bien qu’inexcusable, est biologiquement compréhensible.
Le problème des scientifiques, c’est qu’ils sont, pour la plupart, spécialisés dans leur matière. Or, c’est en comprenant l’ensemble des éléments qui sont en relation dans un ensemble plus grand, qu’on peut finir par comprendre qu’est-ce qui s’est passé. Le psychologue peut comprendre au niveau psychologique, le psychiatre au niveau de la psyché, le biologiste au niveau des organes… Mais pour comprendre exactement, il faut relier tous les facteurs en cause, allant de psycho jusqu’au bio.
Je ne suis pas prêt à baser ma compréhension du crime en question ici, par les simples déclarations des spécialistes… Y’a quelque chose d’historique, de mental, de physiologique, de biologique, qui pousse quelqu’un à commettre un filicide. C’est grave, extrèmement grave.
La dame en question devait avoir développé une grave psychose, qui mène vers deux possibilités d’actions inconscientes: la fuite, ou la lutte. De ces deux cas, naît ce qu’on appelle « l’agressivité ».
La Presse manque, mais c’est l’habitude, d’objectivité oui, mais aussi de compréhension. Rester à un seul niveau ne permet pas de comprendre les autres niveaux d’organisation d’une action, et pourtant…
Mieux vaut ne pas juger, mais essayer de comprendre, sauf qu’il faut admettre que de telles histoires sont toujours désolantes, déchirantes, et nous font voir qu’on peut être à la fois si faibles, tout en étant si forts… Psychologie et Physique ne s’entendant pas toujours bien, dans notre corps.
Tellement important M.Martineau votre questionnement:
[ Tenez, c’est comme l’inceste. Notre société condamne sévèrement (et avec raison) les pères qui abusent de leurs enfants. Mais qu’en est-il de leurs femmes, qui, souvent, savent fort bien ce qui se passe mais choisissent de ne rien dire? Qu’attend-on pour les condamner, elles aussi? Les citoyens ne sont-ils pas tenus de signaler les crimes dont ils sont témoins et de venir en aide aux personnes en danger? ]
Oui, si vraiment la société était cohérente avec son beau discours:
» Le Québec fou de ses enfants »….souvenez-vous!
La responsabilité de l’entourage…. tant du père incestueux que du pédophile serait connue et punie très sévèrement.
Ce silence de l’entourage est le premier complice du crime.
Pour ma part je ne comprends même pas pourquoi ces meurtres sont publiés dans les journeaux. Qu’ils soient le résultat de follie, de rage, ou de quoique ce soit, il s’agit pour les journeaux de reportage-spectacle de mauvais goût. Pourquoi devrions-nous être informé de la bien triste histoire d’un parent qui mets un terme à la vie de son enfant? Il semble que pour certain le spectacle de la déchéance d’un de leur congènaire leur remonte le moral sur leur propre condition ou leur donne un sujet de conversation. Alors la façon dont le journal traite la nouvelle, c’est bien la dernière de mes préoccupation, parce que c’est déjà du reportage-spectacle.
Pour ce qui est des raisons, des maladies, etc. qui poussent un individu à commettre un meurtre c’est une question qui doit être évaluée sur une base individuelle par les tribunaux. Et c’est ce qui est fait et plutôt bien.
Maintenant, il reste le dernier bout de texte de Monsieur Martineau qui est tellement abjecte qu’on ne saurait ou commencer. Les tribunaux jugent aussi des crimes féminins et on n’y assiste pas à un traitement de faveur. En fait, il restait encore un juge à la cour fédérale dans les années 90 pour dire que les femmes étaient capable des plus grandes choses mais aussi des crimes les plus abjectes.
Monsieur Martineau semble aussi ignorer qu’il existe une différence physique entre homme et femme (l’homme est en général plus musclé que la femme, et son taux de testostérone est plus élevé). Une femme qui assiste silencieusement à l’agression physique de son enfant est en général elle même victime d’agression de la part de son mari. Mais ce sont encore des cas qui doivent être jugé au cas par cas comme il est fait en cour. Il existe par exemple des décision condamnant des femmes pour violence physique sur leur mari. Il reste que nous vivons, malheureusement pour les théories de Martineau, encore dans un monde qui penche en faveur de l’homme et ceci à des conséquences.
Drôle de voir ta réaction à cet article vu que je me suis dit la même chose quand je l’ai lu. Nous sommes bel et bien au Québec où les femmes, peut importe ce qu’elles font ou ne font pas sont belles et victimes… Non mais, quelle conne cette journaliste! Aux amoureux des statistiques, je tiens à rappeler qu’au Québec, 49% des actes filicides sont commis pas des femmes. La femme est bien l’égal de l’homme là-dessus aussi, malheureusement.
Évidemment, comme comme elle l’a pas tiré avec une arme à feu épeurante, bruyante, salissante et procurant plus certainement une mort instantanée que de lui garder la tête dans l’eau, elle était en détresse… Quel altruisme!!!
Ce qui est dégoûtant ici, c’est qu’elle parle de la détresse de madame alors que c’est le petit qui est la victime!!!! Hello? Il a été victime d’une folle qui n’as pas plus de justifications qu’aucun autre humain, homme ou femme, d’enlever la vie de qui que ce soit pour quelque raison que ce soit. Il serait à propos de le rappeler.
Miss Malorie Beauchemin est-elle si aveuglée par son féminisme qu’elle en perd son jugement au point de nous faire passer cette meurtrière pour une VICTIME ?
Mais qu’est-ce qu’on attend pour donner une médaille à cette pauvre tueuse d’enfant !!
Altruisme mon oil ! Un assassin, mâle ou femelle, reste un assassin ! Et un tueur d’enfant, mâle ou femelle, reste la pire catégorie d’ordure qu’on puisse imaginer ! Point final !!
on vit encore dans un monde bourre de prejuger et de stereotype qui, en 2006, ne sont plus valide. Si tu es noir tu es automatiquement un voleur, si tu es jaune tu fais du karate, juif, tu fais de l’argent, si tu es une femme tu est une victime du systeme.. ah oui, si tu es un homme de couleur blanche entre 18 et 50 ans tu es le MAL.
Pour en revenir au sujet, on juge les gens sur leur motivation et non le moyen et cela est une grosse erreur. Que l’on tue une personne par compassion, par vengeance, ou pour le fun, le resultat est le meme, que le meurtrier soit une homme blanc, un homme noir, une femme, un enfant, le resultat est le meme aussi, alors pourquoi des jugements differents ? Peu importe qui commet l’action, il devrait tous avoir le meme jugement, les gens vont devoir recommencer a etre responsable de leur actions…
Bon, certes, il y a des études qui démontrent que les femmes sont moins agressives, c’est génétique, bla bla. Il n’empêche que même si elles sont moins nombreuses, il y a des femmes qui tuent, et parfois de façon aussi barbare que les hommes. Prenons l’exemple d’Aileen Wurnos. Son parcours meurtrier était tout aussi édifiant que celui de bien des hommes, mais dans son cas, on cherche à comprendre, on trouve des circonstances atténuantes, on fait un film dans lequel on étale ce qui a pu la mener à tuer : enfance malheureuse, manque d’amour…
Lorsqu’un homme commet les même crimes pour exactement les mêmes raisons, la réaction des médias est totalement différente : Wurnos était une pauvre victime qui mérite clémence, aide et réhabilitation. Lui, c’est un salaud qui ne mérite rien d’autre que la corde au cou !
Quand une femme tue ses enfants, ce ne sont pas pour les enfants qu’on est bouleversé, c’est d’abord pour elle. On pense aux raisons qui l’ont menée là, à l’incroyable détresse qu’elle a dû connaître, on s’interroge sur ce que la société aurait pu faire pour l’empêcher de commettre ces crimes. Quand un père tue ses enfants, c’est le sort des enfants qui nous bouleverse. Pour lui, on n’a que haine et désir de vengeance. Il a été malheureux dans son enfance ? Et alors, d’autres le sont aussi et ne tuent pas pour autant ! Ce que la société aurait pu faire pour lui avant ? Mais rien, c’est un monstre, point !
Dans notre société ou l’on ne prends plus le temps de connaitre son voisin, de surveiller sa maison pendant son absence, de l’aider quand on le peut, de lui tendre la main ou d’appeler la police pour signaler quelque chose de peur de nous en mêler, nous sommes un peu tous coupables de tels atrocités.
Je mets de côté l’info-spectacle et les raisons x et y de tels gestes et ce qui me reste ce sont des gens qui sont tellement dépourvus de réseau social qu’ils en arrivent à commettre ces actes irréparables. Hey, faut être dépourvu d’options pour en arriver là, comment des gens en apparences normaux peuvent-ils se sentir à ce point coupés du reste du monde et désespérés pour en arriver là? Moi c’est ce qui me passe par l’esprit quand j’entend ce genre de trucs et quand je souris a quelqu’un sur la rue, quand j’aide une personne agée a traverser un banc de neige ou que j’aide une maman avec son carosse je me dis que j’ai un petit peu, à ma façon avec ce que j’ai, aidé à ce que de tels gestes ne se produisent pas.
Quand nous assistons à de tels drames notre premier réflexe ça devrait de crier « Garçon, mirroir! »…
D’un autre côté il faut aussi faire attention avec le cas Andrea Yates, vous oubliez sans doute qu’une partie du cas est reliée au fait que cette femme aurait eu une réaction de psychose après avoir pris un médicament. Il y a toute une controverse la-dessus et c’est un cas plutôt complexe.
Mais si un père avait aussi eu une réaction de psychose, l’aurait-on traité de la même manière ?
Richard, auras-tu le « guts » de publier ton commentaire dans la version papier du VOIR ?
Et tiens, pourquoi pas dans ELLE Québec ?
Je n’ai pas lu l’article. Par contre, le titre ne me choque pas. Ça dit ce que ça a à dire… Elle a tué son fils. Elle ne l’a pas endormi pour toujours, non, elle l’a tué. Un homme aurait probablement eu le même titre « En détresse, il tue son fils ». Je ne sais pas si vous écoutez les mêmes postes que moi, mais on dit autant de l’homme que de la femme qu’ils sont en détresse lorsqu’ils tuent leur conjoint(e) ou leur(s) enfant(s). Je me souviens un homme ayant tué sa fille paralysée ou malade à vie et ils avaient clairement statués que c’était par compassion! Alors traitement privilégié? Vous pouvez le penser si vous le voulez. Toutefois, il est plus facile de dénoncer un biais dénoté chez d’autres(et non pas les autres, car ils ne sont pas tous biaisés… les hommes ont la même couverture dans les médias que j’écoute) que de corriger ses propres biais.
Je crois que dans l’extrait la chercheuse s’est mal exprimée. La femme fait de la projection sur son enfant (elle s’y voit). Ce n’est pas de l’altruisme, plutôt une défaillance mentale dû à une détresse aigue. Le mot est effectivement mal choisi. De toute façon, ce sont encore là des généralités et des propos choisis par un/une journaliste. Qui sait s’il n’y avait pas des « mais » et des bémols dans ces propos. Si ce n’est pas le cas, ce n’est de toute façon pas digne d’une chercheuse (ou d’un chercheur).
Le problème avec la constante victimisation des femmes est que les gens ne se rendent pas compte qu’il s’agit du nouveau visage du sexisme. En blâmant constamment le contexte social et leur entourage, on infantilise la femme et on contribue à présenter une image de sexe « faible » qui ne supporte pas aussi bien les difficultés.
C’est comme si certaines féministes, qui veulent pourtant être reconnues comme égales à l’homme, n’acceptaient les nouvelles responsabilités qui viennent avec ce statut.
Votre remarque est la définition la plus pertinente que j’ai lue de ce qu’est devenu la condition féminine après trente années de lobbying.
Il y a trente ans, les femmes avaient largement de quoi se plaindre, et elles se sont plaintes largement!
Elles ont protesté, dénoncé, manifesté, exigé, revendiqué. Elles ont obtenu gain de cause dans la majorité de leurs revendications.
Mais chaque gain qu’obtenait le mouvement Féministe était (et est encore) suivi du même exaspérant discours, celui des « grandes batailles qu’il nous reste encore à remporter »!
Jamais un mot sur la responsabilisation, jamais un mot sur les contraintes qui viennent avec l’égalité. Uniquement les privilèges et les droits.
Ce monde de deux poids, deux mesures est désormais la norme en ce qui concerne toute question de condition féminine.
Voilà ce qui explique pourquoi on reclame à grands cris l’égalité à gauche, mais qu’on exige le maintien de programmes de discrimation positives à droite.
Je trouve que votre commentaire est très pertinent, mais dans votre paragraphe sur l’inceste, je trouve que vous dérapez un peu. La conjointe qui se tait n’est pas toujours la seule à le faire. Devrais-t-on poursuivre aussi l’ami de la famille ou l’oncle qui était aussi au courant? Et si on accuse ceux qui se taisent, doit-on également accuser ceux qui ne cherchent pas à en savoir plus, comme l’éducateur de garderie ou le professeur qui ne cherche pas à savoir pourquoi la jeune fille agit différemment depuis quelques temps? Ou même ses amis(es)qui n’ont rien dit ou rien vu?
Dans le cas de l’inceste, c’est la personne qui commet le crime qui est responsable. Le fait qu’on ne poursuive pas les femmes qui se taisent ne tient pas de la façon différente dont on traite les meurtres chez les hommes et les femmes, mais de la difficulté à prouver qu’une personne savait. (Ou d’un trou dans la loi, dépendant de vos opinions…)
Premier détails : Personne ne semble se rendre compte qu’un garçon de 9 ans, visiblement heureux de vivre, sur sa photo avec son chandail hockey, a été odieusement assassiné:tout est fini pour lui maintenant. Tout. Pensez-y, c’est un enfant.
Cela me semble être la version extrême des luttes dégueulasses pour les gardes d’enfants, un funeste « tu l’auras pas, l’enfant ».
Tenez, cela me fait penser à un voisin divorcé, 4 enfants, qui s’est fait arrêter x fois devant ses enfants à cause d’allégations de sa femme. Même après qu’un juge ai sommé madame (après preuve policière formelle des allégations inventées), qui a d’importants trouble de la personnalité, de cesser ce manège fondé sur des propos mensonger, monsieur doit encore se battre pour avoir la garde des enfants, résister aux manoeuvre de l’avocat pour le faire craquer, le plumer et lui ôter complètement les enfants. D’un côté, une folle en train de détruire ses enfants, le tout étant maintenant connu et établi médicalement, sans emploi et dépendante et inconsciente (?) de tort qu’elle cause aux enfants, de l’autre un gars équilibré qui pense aux enfants,
responsable et avec une job, mais il doit encore se battre pour les avoir ! Imaginez pour le gars avec une conjointe normale…
J’étais plutôt doutatif en ce qui regarde ces histoires de pôoovres monsieur aux prise avec une ex dégueux, mais force est de constater, plusieurs histoires prouvées à l’appui, que oui, c’est deux poids deux mesures.
Le système de justice a été conçu à une époque où les femmes dépendaient de l’homme, mais complètement inadapté à une époque ou ces dernières mènent la même vie que nous, avec souvent les mêmes revenus, voir parfois plus, et avec une organisation de personalité qui s’éloigne de plus en plus de ce qu’elles étaient. Cette déresponsabilisation, cette victimisation me pue au nez, c’est de l’infantilisation, une forme de négation de l’égalité. Quand t’es égal, t’assume.
Tuer, c’est tuer !
Vous savez monsieur Martineau. Je crois que nous décortiquons, analysons et interprétons tous à notre manière ces drames qui se produisent trop souvent.
La société d’aujourd’hui véhicule les mauvaises nouvelles à la vitesse de la lumière. Et je crois que nous n’avons même pas le temps d’assimiler un drame…qu’un autre arrive…
T’allumes la télé, la radio, ton ordinateur et HOP! V’là ce qui te saute au visage : Monsieur Untel vient de massacrer à coup de crobar sa femme pour ensuite faire exploser la maison contenant ses quatre enfants : Louis Pascal 6 mois, Jonathan 3 ans, Alicia 6 ans et Pierrette qui demain allait avoir 8.
Ensuite monsieur Untel a pointé un 357 Magnum sur sa tête qu’il a fait volatiliser. Présentement des spécialistes en neurologie analyse la matière grise de monsieur Untel est répandu sur 5 pieds de distance sur l’avenue Pasvuvenir en face de sa maison exploser.
Moi j’en ai marre d’entendre parler de drame comme ça! Je n’ai pas besoin de ça pour savoir que notre société est malade. L’on ne devrait jamais porter de jugement sur des situations de meurtre, c’est du cas par cas. Au même titre que la femme peut souffrir de ménopause, l’homme peut se prévaloir de son andropause.
Mais à quelque part. Les vraies victimes sont ceux qui n’y sont plus.
Et je ne souhaite que le châtiment juste pour les assassins. Mais existe-t-il vraiment ce châtiment?
Denise Girard
(Soupir)
Sam, je ne vois pas d’attaque de la part de monsieur Martineau envers les femmes mais plutôt une revendication des droits de l’homme pour qu’il soit jugé comme celles-ci. Il veut simplement nous faire comprendre que les hommes peuvent être aussi dépressif que les femmes lors d’une crise de folie ou la perte de contrôle mène à une tuerie.
Voilà une simple façon d’interpréter les choses.
Denise Girard
Vous parlés dans votre texte des femmes qu’on pardonne presque leur geste, pourtant, de l’autre côté de la fontières, ont a fait à peu pres la meme chose avec de grands criminels. Certains sont célèbre pour leurs livres, d’autre pour leurs peintures. Vous avez déjà ecrit un text sur cette question la. Peut-etre qu’on pardonne plus facilement a une femmes, mais d’un autre cote, encouragé un criminel en achetant son livre, c’est presque la meme chose. Meme si pour son arrestation, l’homme n’etait pas traitée de la même façon, il est reste qu’on aime bien les criminels et leur histoire.
Mais bon, meme s’il y a trois hommes qui tuent leur femmes ou leur enfants pour une femmes qui tuent leur enfants ou leur maris, pourquoi l’un serait plus grave que l’autre? juste a cause de la proportion??? en somme, aucun geste n’est pardonnable.
Ai-je bien lu?
Martineau serait maintenant du côté des États-Unis?
Attention, cela frise la diffamation.
Vous avez absolument raison, monsieur Martineau. Votre texte me fait aussi penser aux tyrans qui massacrent des milliers d’innocents durant une guerre et qui ne sont pas souvent accusés de crimes contre l’humanité. Ce sont pourtant des meurtres. Le pire, c’est qu’ils continuent à être « respectables ».
Pour mieux pardonner à ceux qui commettent ces atrocités, il faudrait qu’ils donnent au moins la preuve qu’ils veulent sincèrement réparer leurs méfaits. Mais comment voulez-vous qu’ils le fassent si la société leur donne l’impression de ne pas être plus coupables que ça ?
Ben oui! ben oui!
La différence entre les hommes et les femmes existe dans nos têtes depuis toujours! Un homme qui se soûle ne fait que s’amuser avec ses « chums » et on trouve ça ben drôle, même si il se retrouve les culottes à terre sur le « stage » dans un bar de danseuse!!! Par contre, une fille un peu pompette sur une caisse de son dans une discothèque, elle, c’est une charrue!!! (Clind’oeil à Kathy Gauthier, humoriste)…
Chacun, qu’il soit homme ou femme, a droit à ses excuses – tout dépend de la situation!
hein!?!
Les femmes au Québec et au Canada sont encore largement victimes de violence conjugale, de viols et de discrimination en tout genre. Elles sont aussi à la tête de 80% de foyer monoparentaux qui vivent dans des conditions de pauvreté déplorables. Votre texte me rappelle un cour que j’avais suivi à l’université par une dame aux convictions féministes. Elle avait pour les fins de son cours préparé ses exemples pour qu’autant d’homme que de femme sy figurent. Elle les avait compté et avait donné autant des rôles positifs que négatifs aux deux sexes. Et bien TOUTE la classe, femmes et hommes confondus, on avait l’impression qu’elle ne faisait que nous parler de femmes, et de femmes et de femmes. On est tellement habitué de vivre dans une société patriarcale qu’on ne réalise même plus la discrimination constante que les femmes ont encore à subir de nos jours.
Le masculinisme, hyper en vogue depuis quelque temps, qui fait le genre de topo que propose votre intervention sur une supposée représentation négative de l’homme, part du principe qu’il y a désormais une égalité entre les femmes et les hommes dans notre société et qu’il faut donc contrer les discriminations vécues par les hommes en tant qu’homme. Et comme on le voit de certaines des réponses de vos (en grande majorité) répondant masculin, il semble que la faute soit dues au excès du féminisme qui aurait pour résultat de « victimiser » les femmes (d’ailleurs, au lieu de raconter des sornettes, pourquoi ne pas réellement aller lire un ou deux ouvrages de féministe, ça ferait pas de mal à personne). Mais les femmes ne sont pas victimisée par les médias ou les féministes. Les femmes SONT encore largement des victimes dans cette société. Seulement maintenant on réponds à leur réclamations en leur mettant devant le nez les supposées préjugés dont souffre, bouhou, pardon si j’en ris, les pauvres hommes, comme supposément de se faire décrire comme des monstres dans les journaux.
Non seulement je doute de la véracité de tel propos, mais le système de justice n’accorde certainement pas un traitement privilégié à l’un ou à l’autre. En fait, c’est plutôt le contraire. Le droit de la femme et le droit des enfants n’a que très tardivement été pris en compte par les tribunaux et il reste encore bien du chemin à faire.
Il faut probablement toujours y aller au cas par cas. Personne ne dit que la dépression excuse ou rend « moins grave » le meurtre. Il est quand même important de comprendre ce qui se passe dans la tête de ces gens-là afin d’éviter que ces choses se reproduisent.
Je trouve très intéressant les propos de la psychologue sur les motivations qui poussent les hommes et les femmes à tuer leurs enfants. Je crois que « l’altruisme » dont elle parle vient strictement du point de vue de la mère, qui ne peut imaginer que son enfant ne souffre pas autant qu’elle. L’étude qu’elle a faite est purement statistique et n’implique pas que cet « altruisme » soit impossible pour les pères. Pour critiquer son étude, il faudrait premièrement la lire, regarder son échantillonnage, les méthodes utilisées (comment a-t-elle pu déterminer les « motivations » des tueurs? Comment peut-elle faire la différence entre représailles et « altruisme »? etc.). Décider que cette étude ne vaut rien sous prétexte qu’on n’aime pas ses conclusions, ça ne mène nulle part.
Six mois de probation devrait être suffisant pour sa punition.
Après tout, c’est un homme qu’elle a tué pas une femme. Alors ce n’est pas vraiment grave, n’est-ce pas ?
Je ne suis pas une victime des hommes. Je me sens l’égale de l’homme en bien et en mal. Pour moi c’est normal que l’homme soit plus agressif, mais violence et agressivité sont 2 choses très différentes. Je connais autant de femmes que d’hommes violents et violentés. Ce n’est pas toujours frappant comme violence et pour moi la violence psychologique est pire encore que la violence physique.
J’ai lu un rapport sur la violence familiale et j’ai été très surprise d’apprendre que les femmes étaient plus violentes physiquement que les hommes. Oui vous avez bien lu. Il y a certaines personnes qui voudraient parler que de violence conjugale, mais lorsqu’on regarde toutes les violences y compris celle contre les enfants et les personnes agées, les femmes exercent plus de violences envers les êtres plus faibles qu’elles que les hommes envers les femmes.
Je sais que pour plusieurs femmes (ou féministes) je brise la solidarité féminine. Mais je suis tannée de constater toute la propagande haineuse envers les hommes. Les hommes ne sont pas nos ennemis !
Tout comme les hommes nous sommes capables du meilleur comme du pire.
p.s.
Selon une étude américaine, les hommes se font systématiquement imposer des peines plus sévères que les femmes pour exactement le même crime. J’aimerais bien savoir si c’est la même chose ici.
J’ai été éduqué par les femmes,pour les femmes,
je les adores toutes,mais vous avez raison et je
sais de quoi je commente…
Et pourquoi, au lieu de décrier la compréhension de la société envers les femmes qui commettent de tels gestes, on ne pourrait pas plutôt simplement avoir la même compréhension envers les hommes? Cessons de rabaisser les femmes parce que les hommes le sont, et employons-nous plutôt à faire preuve de compréhension envers toutes ces personnes si souffrantes, peu importe leurs sexes. C’est du cas par cas quant à moi, on ne peut pas mettre tout le monde dans le même bâteau. Mais je suis trop naïve me répondrez-vous….Dommage.
Ouai et si la madame en question aurait simplement tué son fils pour blessé sont mari qui l’aurait quité quelques jours avant le drame. Simplement pour lui faire mal, pour lui ôter ce qu’il a de plus cher au monde, par désir de représaille…
Vous avez des enfants? Que vous soyez homme ou femme, imaginez que vous prenez votre enfant, que vous lui plongez la tête sous l’eau et que vous le maintenez fermement jusqu’à ce qu’il cesse de se débattre…
Quelqu’un capable d’un geste semblable ne mérite aucune sympathie, qu’il soit homme ou femme. C’est un monstre point et cette femme qui a tué son enfant mériterait la prison à vie (si j’écoutais la rage qui m’envahit lorsque je pense à son meurtre, bien que je sois contre la peine de mort, je lui souhaiterais une exécution sommaire et sans compassion, genre une balle dans la tête).
10h06 les nouvelles à TQS. Je viens de voir une femme démolie qui a l’air de se brailler toutes les tripes qu’elle a dans le ventre. Elle aurait noyé son fils dans un lac avant de tenter de mettre fin à ses jours en s’ouvrant la gorge dans une cabane qu’elle aura trouvée autour. Elle était entourée d’avocat, de fonctionnaires et de policiers qui avaient tous les bras croisés. Wow! et je n’hallucine même pas. Live! Comment est-ce qu’on fait, si on a cinq cents de conscience, pour continuer à vivre quand on a fait quelque chose comme ça? Pensez-y, quelle sorte de châtiment vous ferait mal, vous? Ils ont montré une photo de la dame, une madame Tremblay comme des millions d’autres. Il est ou le piton qui fait virer quelqu’un en monstre comme ça? Ça prend combien de temps pour le mettre sur « on »? Est-ce que c’est elle? Une prédisposition quelconque, un évènement déclencheur dans sa vie? Ou, est-ce qu’on a tous en nous cette petite bibitte là qui attend l’instant qu’on ne surveillera pas assz attentivement la porte de sa cage? Je fais juste penser aux militaires qui pètent les plombs parce qu’ils ont vu ou fait des trucs qu’ils sont incapables de se rentrer dans la conscience. Pensez-y, d’un côté des bonhommes dans la fleur de l’âge super-entrainés et, autant que possible, préparés et de l’autre une madame Tremblay! Je n’ai même pas été capable de la regarder et pourtant j’en ai vu d’autres, j’ai un ordi, une télé et comme tout le monde, des images macabres, j’en ai vu.
J’ai été incapable de la regarder. Une madame Tremblay: un monstre capable de commettre la plus abominable des atrocités. Et on nous montre ça à la télé comme si c’était une attraction dans un cirque. J’ai ça en moi? Il y a des jours que ça me fait mal d’être qui nous sommes.
La détresse n’ayant évidemment pas de sexe, ce qui m’intéresse dans votre propos c’est combien peut vous avoir outré l’affirmation de Louise Léveillée. Elle ne nie pourtant pas la violence des femmes mais bien plutôt les motivations qui poussent l’un ou l’autre des parents à commettre un filicide. Nul ne nie le fait que tuer son enfant est un geste de désespoir et de détresse. Que ce soit par «représailles» ou «altruisme».Ce que suggèrent les conclusions de Suzanne Léveillée c’est que le sentiment motivant l’acting out dans une situation de détresse pourrait varier d’un sexe à l’autre.
Dans cette étude exhaustive concernant les caractéristiques de tous les parents qui ont tué leur-s enfant-s entre janvier 1986 et mars 1994 au Québec, j’aimerais reprendre les données sur lesquelles la chercheure appuie ses conclusions.Celle-ci a répertorié 39 mères et 36 pères qui ont tué leur-s 105 enfant-s. Sur ce nombre 20 hommes ont été violents envers leur conjointe et neuf femmes ont été abusées par leur conjoint avant le filicide. Je vous ferais remarquer que c’est une proportion de plus de 80%.Je ne vois pas là de double standard en faveur des femmes. C’est aussi pratique courante qu’autant homme et femme soient soumis à une évaluation psychiatrique dans de tel cas. Je ne vois pas de double standard, là non plus, en faveur des femmes.
Même si rien n’indique que madame Desnoyers fait partie de cette sinistre statistique,ce sont ces chiffres qui ont permis à la chercheure d’en tirer ses conclusions.
Ce ne sont pas tant les conclusions de la recherche qui m’étonnent, mais votre précipitation à condamner un titre empreint de sensibilité qui évite le lynchage public à une femme qui n’était apparemment pas dans son état normal lors de son crime. Et qui subira son procès dans le pays ayant des peines plus sévères qu’au Canada. Même si le Vermont a aboli la peine de mort, un tel choix ne se prémédite pas. Là non plus, le double standard ne joue pas en sa faveur.
Si tu veux insulter quelqu’un il faudrait que tu ais un minimum de courage en signant ton véritable nom.
Ce n’est pas parce que certaines féministe exagèrent que les masculinistes peuvent cracher leur venin et leur haine en toute liberté. C’est vraiment d’entendre les mascu dirent que les féministes font la promotion de la haine des hommes, alors que tous le discours de ces messieurs est plein de haine et de violence envers les féministes.
Afin de rétablir une certaine égalité, il faudrait tout d’abord retourner à la base: Tuer est immoral. Tuer hors d’une situation de danger extrême (auto-défense) est jugé illégal. Bon… on se sent donc bien quand le fait le plus simple au monde est clairement établi: un meutre est un meutre, et ce n’importe où, quand, comment… Arrêtons de mettre des qualificatifs inutiles à «meurtre», sa propre définition le sert déjà assez bien.
Je déteste la façon avec laquelle les médias traitent les cas d’homicides. Après «voici l’ambulance» et «jasons avec les voisins», c’est toujours «comment l’assassin doit se sentir?»… On s’en t*******… Ben oui pauvre petit, cache ta face devant les caméras, ça doit être plate de se faire regarder croche au dépanneur après avoir tuer ses enfants… On devrait lui envoyer Dr Clown en prison pour qu’il passe par dessus cette vilaine déprime! Bon! Maintenant, comment la VICTIME se sent-elle? Peut importe, elle, elle n’est pas traumatisée en voyant ses mains tachées de sang…
Bon, revenons au sujet principal: en considérant ce que je viens de dire (avant de déraper pour une quelconque raison…), il serait bien plus facile de considérer les «criss de fous» et les «criss de folles» de la même façon, pour ce qu’ils sont vraiment: des criminels et des déséquilibrés. Foutez-moi le camps mesdames les féministes zélées, ce n’est pas le moment!
Si tu n’as pas peur de signer ton véritable nom fais-le donc. C’est facile de traiter des femmes de « féminazies » sous le couvert de l’anonymat!
Parlons-en de double standard. Un homme qui aime le sexe et qui collectionne les aventures est considéré comme un tombeur et un « courrailleux », une femme qui fait la même chose est une « salope »! Je l’ai très souvent entendu, y compris de la part de mâles chauvins frustrés. Un homme qui élève la voix est considéré comme quelqu’un qui s’affirme, une femme qui le fait est une « hystérique »! Un homme vulgaire est beaucoup mieux considéré qu’une femme vulgaire.
Quand Belinda Stronach, malgré tout ce que je pense de ses idées politiques, a changé de parti en 2005, les commentateurs politiques ont parlé de ses cheveux blonds et l’ont traité de « bombe blonde », etc. Si un homme avait fait ça on aurait dénoncé, avec raison, son opportunisme, mais on n’aurait pas parlé de son physique et de la couleur de ses cheveux.
M. Pouliot,
« Parlons-en de double standard. Un homme qui aime le sexe et qui collectionne les aventures est considéré comme un tombeur et un « courrailleux », une femme qui fait la même chose est une « salope »! Je l’ai très souvent entendu, y compris de la part de mâles chauvins frustrés. »
Pas nécessairement. Moi, j’ai déjà connue une femme qui baisait à gauche et à droite. Jusque la aucun problème, si c’est ce qu’elle désire faire.
À un moment donnée cependant, elle a décidé qu’elle voulait une relation stable avec un homme. Encore la, pas de problème, c’est SON choix. Lorsqu’elle a commencé à crtitiquer les hommes parce ceux-ci ne voulait que baiser avec elle, c’est à ce moment qu’elle a cessé d’être une personne dont je respectais les choix pour devenir une crisse d’hypocrite.
Le rapport avec le féminisme ? Les femmes en général et les féministes en particulier sont très habitués à ce genre d’hypocrisie. On ferme le salon des messieurs au Club de Golf de Laval sous prétexte que c’est discriminatoire et on crisse dehors des hommes de leur gymnase pour faire place à une clientèle féminine.
Les femmes brandissent bien haut des études scientifiques qui prouvent que les femmes sont supérieures aux hommes en communications et traitent de misogyne et de phallocrates les scientifiques qui disent que les hommes sont supérieures aux femmes en mathématique.
Si vous trouvez que la société québécoise est misogyne, déménagez donc en Angleterre. La-bas, lorsqu’une femme met le feu à son mari et le tue durant le sommeil de celui-ci, Cheryl Blair, la femme du Premier Ministre, donne à cette « pôvre fefemme » une médaille pour son « courage ».
J I commence donc par signer tes threads, après ça tu pourras dire n’importe quoi !
JI, comme la tienne, la méthode d’analyse d’Élisabeth Badinter est simple, efficace et malhonnête. Il s’agit de faire dire à l’ensemble des féministes, et parfois à quelques-unes d’entre elles censées représenter un courant féministe majoritaire, ce qu’elles n’ont jamais dit. Et d’ajouter quelques insultes bien senties du genre «féminazie», «vaginocrate» ou «lesbienne frustrée»
C’est justement chez cette universitaire (mais non scientifique) que des hommes appartenant au courant masculiniste trouvent appui. Ce sont également ces mêmes hommes qui prônent une idéologie «essentialiste», à savoir, souhaiter le renforcement des stéréotypes de virilité et de féminité. Mais qui s’offusquent que la même grille d’analyse soit appliquée dans la recherche de Louise Léveillée.
Nonobstant ce que disent les masculinistes enragés, les préjugés sexistes contre les femmes existent encore et sont très forts. Ce n’est pas une question de dire que les femmes sont mieux que les hommes, ou qu’elles sont plus « humaines ». Regardez Condoleeza Rice, Golda Meir, Indira Gandhi, Margaret Thatcher, etc et vous verrez que ces femmes ont agi de la même manière que les hommes au pouvoir.
Ce n’est pas une raison pour injurier les féministes et les traiter de tous les noms. Je le répète le fait que certaines féministes ne donnent pas le droit aux mascus frustrés de diffamer les femmes qui se battent pour que les droits des femmes soient pleinement reconnus. On croirait entendre parfois Marc Lépine.
Simplement pour spécifier ceci.
JI n’a pas choisi un pseudo, mais, un profil doit être validé avant d’être accepté. En attendant validation du profil en question, seules les initiales apparaissent au public. Aussi simple que cela.
Pour en revenir au sujet principal.
Un meurtre est un meurtre. Point à la ligne.
(N’abordons pas le sujet du suicide assisté)
Mais, un meurtre est un acte criminel et moralement incorrect. Une meurtrière, aussi dépressive et triste soit-elle ne m’attire aucune sympathie.
Absolument aucune.
La différence entre les masculinistes et les féministes est simple :
Les masculinistes ne sont PAS à Ottawa en train de faire du lobbying pour que le Gouvernement du Canada utilise les lois sur la propande haineuse pour fermer la gueule à toutes celles qui ont une opinion différente de la leur. Une femme peut vomir tant qu’elle veut sur les hommes, le pire qui puisse lui arriver, c’est qu’on lui offre un travail au Ministère de la Condition Féminine.
Les masculinistes n’envahissent PAS le domicile du Plateau Mont-Royal d’une réalisatrice, ne commettent PAS de méfait public et ne font lui PAS de menace de mort ainsi qu’à sa famille. C’est peut-être pour cela que certains masculinistes préfèrent demeure anonymes.
Les masculinistes ne font PAS fermer les endroits ou les femmes qui le désirent peuvent être en elles.
Les masculinistes n’organisent PAS une semaine de perturbation féministe lors de la fête du 8 mars.
Les masculinistes ne vont PAS saccager l’UQAM et y mettre le feu lorsque les femmes y tiennent un congrès.
Les masculinistes n’ont PAS raconté des mensonges sur le nombre de d’hommes battus à toute la population du Québec afin d’obtenir plus de subvention pendant 24 ans, pour ensuite prétendre que c’était une « erreur d’impression ».
Homme et fier de l’être.
À Sophie Racine : «Pour en revenir au sujet principal.» Je croyais que c’était le titre de l’article dans La Presse et ce qui l’avait motivé qui était le sujet principal. Non pas le meurtre. Il va y avoir un procès pour le meurtre de l’enfant. Pour moi, c’est un autre débat.
Les masculinistes ne font pas de lobbying ?!
Les masculinistes font du lobbying et utilisent toutes les tribunes à leur disposition. Vous n’avez pas de leçon à donner à qui que ce soit. En passant, les féministes n’ont jamais perpétré de tuerie dans un lieu d’enseignement et n’ont dressé de liste d’hommes à abattre.
L’UQAM n’a jamais été incendié par les féministes. Le ridicule ne tue pas!
Quant aux femmes battues, c’est une réalité et les mascus n’aident pas leur cause en la niant ou en cherchant à atténuer son impact. Un de mes soeurs a travaillé pour des centres de femmes battues et ils manquent bel et bien de places.
Quant à JL, j’ai bien hâte de voir s’il va oser tenir le même langage avec son vrai nom. Ça me fait penser à un certain Antimisandries qui envoyer des messages incendiaires sur le site du CMAQ et qui était incapable de signer de son vrai nom. Quel courage!
Pour finir, tous les mascus que j’ai rencontré étaient sexistes, mysogines, homophobes et pleins de haine et de frustration.
Un homme anti-patriarcat et fier de l’être.
Wow! vous me faite découvrir un petit monde que je ne connaissais pas encore. Des féminazies, des hommes contre le patriarcat…Vous êtes ben « cutes »!
Vous auriez pas l’impression d’avoir un grand vide à remplir, des fois?
Ha oui, ma question: si je deviens un féministe-radical est-ce que je vais pouvoir faire mon ménage et ma vaisselle plus vite?
Milles pardons, M. Pouliot, ce n’est pas l’UQAM que les féministes ont incendié et vandalisé lors du congrès Parole d’Homme. C’est l’Université de Montréal.
Subtile distinction.
« Les masculinistes ne font pas de lobbying ?! »
Je voulais dire, Mme Proulx, que les masculinistes n’ont pas recue 75,000$ du Conseil du Statut de la Femme pour produire un rapport dont une des conclusions est que le Gouvernement du Canada devrait fermer la gueule sur l’Internet à tout ceux et celles partout dans le MONDE qui ont une opinion différente à celle des féministes.
De plus, ce rapport contenait des propos diffamatoires à l’égard de plusieurs groupement d’hommme.
Pas surprenant que la chercheuse responsable de ce rapport, Mme. Pierrette Bouchard, ainsi que les autres chercheuses de l’Université Laval. le Conseil du Statut de la femme et le Gouvernement du Canadan ait été trainé en justice par un homme de la Colobie-Britannique.
Soyez assurés que j’attend impatiement le mois d’avril 2007 pour savoir l’issue de leur procès.
Ce que j’aime de ce blogue, c’est que j’apprendes des choses sur moi. Une fois je suis agent du Mossad (les services secrets israéliens), une autre fois je suis un agent du président iranien et maintenant je suis membre d’un groupe que je ne connais pas Hommes contre le patriarcat. Dis-moi Jonathan, toi qui a l’air tellement au courant, depuis quand suis-je membre de ce groupe?
L’Université de Montréal incendiée? Pourtant elle est toujours en place. Tu as le sens de l’exagération.
Comme ça je suis un militant anti-homme tout en étant un homme? A moins que tu ne veuilles dire que je ne suis pas un « vrai homme ». Il est vrai que je suis homosexuel.
J’ai oublié de mentionner tantôt que la Fédération des femmes du Québec a reçu des menaces de mort de la part d’un de vos membres. Toute une modération!
…un amalgame du genre «des féministes radicale anti-mâle comme vous».
Pas de lobbying, les masculinistes ? !
Jean-Claude Saint-Amant, chercheur en sciences de l’éducation à Québec étudie depuis quelques années l’impact du discours masculiniste:
« Au Québec les masculinistes sont finalement très peu nombreux, personnellement je les évalue à une vingtaine d’ actifs et autant qui gravitent autour. Mais ils sont extrêmement actifs grâce aux médias électroniques, ils mettent sur pied des sites Internet et investissent massivement les forums de débats. Ils ont ainsi construit tout un système de référencement, mais très vite les liens vous renvoient vers des sites antiféministes, tels que « Content d’être un gars », au Québec, qui déverse une propagande haineuse contre les femmes.
On a pu constater, ici, à l’Université de Laval, qu’ils n’hésitent pas à reprendre des textes d’analyse féministes réalisés par exemple par notre propre faculté et à remplacer le mot homme par femme ! On observe aussi que certaines personnalités, dans les médias et certains hommes et femmes politiques sont ciblés de façon très précise.
Il y a enfin un ciblage constant de certains ministères, qui sont bombardés littéralement de messages. Et quand je dis bombarder je parle de 10,15,20 messages par jour, que le personnel politique reçoit de la part de ces gens là. Cette pression constante des masculinistes les plus bruyants, type « L’Après-Rupture » au Québec ou « Sos Papa » en France, crée en définitive une place pour des masculinistes dits « modérés » : mais attention, si la forme employée change (ils ne grimpent pas sur les palais royaux, [ni sur les ponts] n’insultent pas les ministres, ne vocifèrent pas dans les manifestations), le fond du discours malheureusement reste le même. »
Dans l’intérêt de la transparence, Mme Proulx, vous devriez peut-être mentionner que M. Jean-Claude Saint-Amant est le conjoint de Mme Pierrette Bouchard, responsable du rapport diffamatoire dont je vous parlais précédemnt.
Mme Bouchard désirait que le Gouvernement du Cznada utilise les lois en vigueur sur la propagande haineuse afin de baillonner tous les hommes (et femmes)sur l’Internet qui expriment une opinion déplaisante à celle des féministes.
Ainsi, une personne demeurant à l’extérieur du Canada et publiant des opinions contrevenant à la « norme féministe » sur un site WEB aurait pu être arrêté s’il mettait les pieds au Canada.
Mettons que cela a provoqué un certain brouhaha au Canada Anglais et chez nos voisins du Sud. Il y a même eu une député Conservateur, l’Honorable Betty Hinton, de Kamloop qui s’est levé en Chambre des Commmunes pour demander pourquoi le Conseil du Statut de la Femme avait financé un rapport dans lequel était calomnié un organisme d’homme respectable de son compté.
Comme vous pouvez le constater, la liberté d’expression est une priorité des féministes, en autant qu’on se contente bien entendue de passer des commentaires dérogatoires sur les hommes.
[Tellement important M.Martineau votre questionnement:]
En effet!
[Tenez, c’est comme l’inceste. Notre société condamne sévèrement (et avec raison) les pères qui abusent de leurs enfants.]
Et voulez vous bien me dire pourquoi notre société ne condamne jamais la DPJ et sa bande? Surtout, pour les régimes de terreurs imposés ? Ma preuve c’est du béton!
[Mais qu’en est-il de leurs femmes, qui…savent..ce qui se passe mais choisissent de ne rien dire?]
Et vous faite quoi des autoriés compétentes qui ferment les yeux, et abondonnent les Enfants aux régimes de terreurs ? Avez vous dit « fémi-nazisme » ? Je vous assure que je connais ça! Et à ce sujet je connais même la BNEI BRIT!
[Qu’attend-on pour les condamner…]
La DPJ et sa bande aussi?
[Les citoyens ne sont-ils pas tenus de signaler les crimes dont ils sont témoins et de venir en aide aux personnes en danger?]
C’est ce que je tente désespérément de faire depuis plus de six ans, dans les entraves de la DPJ et sa bande qui s’y opposent farouchement!
[« Le Québec fou de ses enfants »….souvenez-vous!]
La DPJ et sa bande fous de nos Enfants vous voulez dire ?
[La responsabilité de l’entourage…. tant du père incestueux que du pédophile serait connue et punie très sévèrement.]
Et vous faite quoi de la DPJ et ses complices qui cachent sciemment de véritables horreurs aux tribunaux ?
[Ce silence de l’entourage est le premier complice du crime.
Claudette Lippé
18 août 2006 8h29]
Dans ces conditions, devons nous comprendre que si vous ne donnez pas suite au présent message, vous êtes la première complice des pires terroristes que je connais, en l’occurrence ceux et celles qui ne s’attaquent surtout pas aux Super-puissances mais aux Enfants ? Pour en savoir plus, suivez le lien ci-après :
http://www.politiquebec.com/forum/viewtopic.php?p=391875&highlight=#391875
Jacques Richard, alias pour la protection de qui ?
N.B. Mes mots en bleu sur le forum se sont d’autres liens p
Andréa Yate en psychose. Louise Desnoyers en psychose. C’est l’excuse habituel pour les femmes violente. Mais j’y pense, Marc Lépine avait des problèmes psychiatrique depuis l’âge de 12 ans, pourtant il est devenu le fer de lance des groupes féministe pour justifier leurs besoins en argent. Ils a tuer des femmes en tant qu’homme disent-elle! Mais que font les québécoises en tant que femmes?
La violence, un geste violent, est encore extrèmement tabou lorsqu’il est question de l’attribuer à une femme. Notre société ne veut rien entendre et s’oppose farouchement au fait de responsabiliser les femmes lorsqu’elles sont violentes.
On constate un grand malaise collectif lorsqu’une mère tue son enfant, les gens ne savent pas comment réagir devant ce qu’il leur a toujours été enseigné comme étant de la fiction. Donc, c’est irréel, une mère ne peut pas être violente, c’est IMPOSSIBLE… et là, commence une grande et fausse et interminable recherche de justification de son geste. Pour se rassurer, nous trouvons des raisons (très émotives et bien peu rationnelle) qui permettent de penser qu’au moins un parent agira toujours »pour le bien de son enfant ». S’il fallait qu’un jour nous ne puissions plus croire en cette mère pure et parfaite… où irons-nous?
Et je trouve particulier que personne ne mette l’emphase sur le fait que malgré le geste violent et cruel de Louise Desnoyers, son conjoint est présent et semble la soutenir. Personne ne souligne que cet homme, malgré la douleur qu’il ressent dûe à la perte de son enfant, est encore là pour soutenir sa conjointe. Un méchant geste de don de soi, une preuve qu’un homme est capable de compassion et de compréhension.
J’ai écrit un texte sur Entregars.com sur le sujet et je reçois des courriels qui DÉNONCENT le fait que je déforme la réalité au profit des hommes. J’ai plutôt l’impression contraire… certaines s’accrochent à la fiction au profit des femmes.
Premièrement le prénom Hugo n’est pas exclusif à moi. Deuxièment il n’y a aucun groupe qui représente la « communauté homosexuelle ». Pas plus ceux qui dénoncent le féminisme « radical » que ceux qui sont pour. En passant tu utilises facilement le mot extrémiste. Tu m’associes à des évènements auxquels je n’ai pas participé, même si je suis viscéralement anti-patriarcat, ce système qui a généré le sexisme et l’homophobie. J’ai connu des masculinistes qui étaient profondément homophobes. Je ne prétends pas que vous l’êtes tous, mais il y en a dans votre mouvement. De plus je ne connais aucun groupe mascu qui a condamné le geste du fou qui a menacé la FFQ.
Le double standard, pratiqué de manière routinière par les politiciens, juristes et autres chantres de l’idéologie fémisexiste, vient tout juste de bénéficier d’une autre application. Après le meurtre ‘par compassion’ pour lequel il nous faudrait maintenant éprouver de la pitié pour la meurtrière, voilà que la France exerce des pression pour libérer cette femme, Nathalie Gettliffe ( http://www.cyberpresse.ca/article/20060821/CPACTUALITES/60821008/5019/CPSOLEIL&cp_adsublabel=rss), enceinte de 8 mois et incarcérée en B.C. pour avoir enlevé ses 2 enfants.
Dans le premier cas, il faut absolument relever le fait que la SPVM n’avait pas levé d’alerte Amber sous le faux prétexte que la vie de l’enfant n’était pas en danger. ALLO! L’enfant est mort, assassiné de sang froid par sa mère, alors que les services de police, clairement informé de la situation, ont tout simplement refusé d’agir en dépit de la dénonciation du père. Souvenons-nous également ici de Richard Laverdure, cet estrien qui, en janvier 2003, avait prolongé de quelques jours ses vacances de Noël avec son fils. Dès que les officiers de la SPVM eurent en main la dénonciation de la mère, l’alerte Amber fut immédiatement déclenchée sans aucun argument au sujet de la sécurité de l’enfant. Dans les mois qui ont suivi son arrestation, il eût à faire face à toute la rigueur des tribunaux, sans passe-droit
Deuxio, il faudrait maintenant implorer la clémence de l’état à l’égard d’une femme criminelle, enceinte de surcroît. Cette pression indue ne peut s’expliquer autrement que par l’application du double standard, dans le style que la FFQ nous a habitué depuis 30 ans : l’égalité certes, mais pour femmes seulement!
I’m ready to give up my liberty in order to get freedom!
Georges Orwells n’aurait pas fait mieux…
Jusqu’à ce jour, bien peu de citoyens, et encore moins de personnalité publique, ont ressenti suffisamment d’indignation devant l’odieux de ces pratiques inquisitoriales pour s’en insurger publiquement. Ces mesures arbitraires, illégales et totalitaires, portent atteinte à notre dignité collective à titre de citoyens vivants dans une société élaborée sur des principes de droit. Elles méprisent ouvertement nos institutions et contreviennent directement aux droits réputés inaliénables énoncés dans la Charte, notamment ceux qui concernent les hommes et leurs enfants. Combien de temps encore allons-nous collectivement observer un silence complice devant pareil détournement de justice?
Andrée Proulx, mon point était vague, je vous l’accorde, j’ai du partir en toute hâte et n’ai pas eu le temps de me clarifier. Ni de me corriger. Mes plus plates excuses.
Ce qui me dégoute, c’est la couverture journalistique. C’est un fait divers dégoulinant d’hémoglobine digne du JdM. Qui a eu un traitement royal. Qu’il ne méritait pas.
Je veux l’égalité des sexes. Si madame chose fait pitié parce que dépressive, monsieur machin doit faire pitié aussi. Ou, s’il est un trou de cul, elle aussi, d’abord.
Une fois de plus, mes excuses pour la confusion.
Michel Thibeault, je suis navrée de votre situation. Selon votre dernier commentaire, votre point de vue semble lucide, éclairé et réflète ma pensée, en tant que jeune femme moderne(sic).
Triste de voir que des gens pensent qu’une femme ne peut pas faire le mal autour d’elle.
Cher Monsieur Martineau,
Saviez-vous que de plus en plus de femmes féministes réputées et modérées de la première heure tel qu’Élizabeth Badinther, Francine Leduc, Denise Bombardier, Barbara Kay, Lise Bilodeau etc. dénoncent les mensonges et les exagérations féministes et avancent à peu près les mêmes propos que les masculinistes. Toutes ces femmes féministes et tous ces hommes ne sont pas contre les femmes mais bien contre la religion féministe qui est un véritable cancer social et qui détruit les hommes, les femmes, les garçons, la famille, les saines relations homme femme. Plusieurs experts et expertes honnêtes avancent que le féminisme est la principale cause des divorces, suicides, dénatalité/vieillissement de la population, décrochage scolaire des garçons, mauvaises relation homme femme etc.
Il serait important que vous compreniez que je ne suis pas un masculiniste mais un humaniste qui prends à cour et de façon égale les intérêts légitimes des femmes et des hommes.
Le mouvement féministe se préoccupe uniquement d’avantager les femmes à tout prix peu importe les conséquences sur les hommes et sur la société. Le mouvement féministe est devenu une attaque envers tout ce qui est masculin et plusieurs experts et expertes avancent qu’un conseil du statut de l’homme est nécessaire pour établir un équilibre entre les besoins des hommes et des femmes.
Pourquoi ne pas faire des émissions sur ce sujet très intéressant et inviter des experts dans ce domaine tel que Yvon Dallaire, Yves Pageau, Gilles Rondeau, Francine Leduc, Denise Bombardier, Élizabeth Badinther etc…
Il est vraiment scandaleux de constater à quel point la population est mal renseignée sur ce sujet très important pour l’avenir de notre société. Les médias n’en parlent presque jamais et propagent l’idéologie féministe extrémiste anti-homme.
Pour plus de détails: http://www.egalitariste.org/\incroyable_injustice_envers_les_hommes.htm
Louis Tremblay
Humaniste
. Pierrette Bouchard est mariée, je croyais que les féministes radicales étaient anti-hommes J
En effet Fathers4Justice n’existait qu’en Angleterre au moment de l’article.
Les féministes sont sensibles envers les hommes qui souffrent et n’ont aucun mal à reconnaître les injustices qu’ils subissent. Elles ne s’en prennent pas aux hommes, mais à leurs propos haineux. Leur discours mensonger et revenchard basé sur le postulat que l’égalité est atteinte pour les femmes et que les féministes sont responsables de tous les maux qui frappent la société. Le suicide chez les jeunes hommes et leur problèmes de santé, le décrochage scolaire chez les garçons à cause du succès des filles, la garde des enfants et la remise en question des organismes d’aide aux femmes ainsi que le versement de la pension alimentaire et le partage des biens.
En ce qui concerne le décrochage scolaire chez les garçons que les masculinistes attribuent à la mixité dans les écoles, comme leurs pressions ne datent pas d’hier, ils ont réussi il y a 10 ans à faire instaurer des classes non-mixtes en Australie. Le rapport gouvernemental vient de tomber : les résultats scolaires des garçons sont encore plus bas qu’avant la non-mixité. La demande de garde partagée a doublé depuis l’instauration des régimes des pensions alimentaires. Hé ! Hé! Je ne dis pas que les hommes ne font pas de bons pères, je dis seulement que ceux qui demandent la garde l’obtiennent dans 50% des cas. Les autres ont des handicaps sérieux ou ne la désirent pas.
Rien ne sert de blâmer les féministes radicales pour la faillite du système patriarcal qui depuis 2 millénaires a établi les règles des rapports hommes/femmes. Malgré les progrès accomplis de haute lutte, faut-il le préciser, c’est compréhensible que certains hommes regimbent et y voient une attaque à leur intégrité et à leur prérogatives. Vous êtes nombreux ? Normal. Vos propos haineux font simplement partie d’un ressac (backlash) bien compris des féministes.
Poursuivre votre campagne de déformation des faits dans les cinémas Guzzo et oser affirmer que vous ne faites pas de lobbying, c’est de la mauvaise foi.
Je ne tiens pas à poursuivre cette discussion parce que ce n’était pas le but de ce fil que les masculinistes ont fait déraper en attaques pesonnelles et en dénigrement.
Les femmes que vous citez pour appuyer le discours anti-féministe sont toutes des femmes ayant atteint un statut social privilégié et servent d’alibis aux anti-féministes.
Élizabeth Batinder, entre autre, qui affirme pourtant que 90% des violences conjugales proviennent des hommes, occupe une place de premier ordre dans les médias comme héritière-actionnaire et présidente du directoire de Publicis, quatrième groupe de communication mondial. Baignant dans les milieux masculins néo-libéraux, elle reprend à son compte les arguments masculinistes et les douteuses conclusions de «l’état des lieux masculins ». Douteuses et mysogines.
Pas seulement les femmes qui ont droit à ce traitement de faveur.
Changez le mot » Femme » pour » terroriste Islamique »
et changez le mot » Homme » pour USA ou Israel et vous avez EXACTEMENT la même chose.
Tuer cinq enfants c’est pas encore assez pour qu’une femme soit traitée comme un homme.
Et tuer 3000 civils innocents dans des attaques terroristes c’est jamais assez pour traiter les terroristes Islamique comme on traite George Bush et les autres.
Participer à une démonstration pro-Hezbollah est l’équivalent de supporter une femme qui a assassiné ses cinq enfants; c’est bien, c’est respectable, c’est aider les « démunis ».
Supporter les USA ou le droit d’Israel de se défendre est mal, cela fait de vous un monstre comme si vous supportiez un batteur, un violeur ou un tueur de femmes en série.
Pourtant c’est Israel qui est persécuté comme une femme battue depuis 60 ans par les arabes, mais on traite Israel comme le bourreau – pas la victime.
Mais tout ça n’est pas surprenant, la gauche les féministes (tout ça c’est la même chose) ce sont des gens qui ont remplacé quelques injustices par des injustices bien plus grandes, ce sont des gens qui voient le monde à l’envers et qui souffrent d’un dérangement mental.
Il faut être dérangé mentalement pour supporter et défendre le meurtre d’enfants juste parce que c’est une femme qui l’a commis.
DÉRANGÉ MENTALEMENT.
Cette façon de voir le monde a infecté les médias et la moitié du monde.
Oubliez un vaccin contre le SIDA, c’est un vaccin contre la gauche qu’il faut , la gauche encourage indirectement les femmes et les terroristes à tuer en leur disant qu’ils sont victimes même lorsque’ils tuent des innocents.
Et pour mon commentaire les gauchistes me traiteront comme un monstre.
Allez-y mes gauchistes/féministes, crachez votre venim sur moi et gardez vos fleurs pour ces femmes qui tuent des enfants et ces terroristes qui tuent des innocents à chaque jours.
Les propos qu’on entend sur ce blogue sont ahurissants. On compare les féministes avec les islamistes!
Il faut être dérangé mentalement pour appuyer le terrorisme d’État des États-Unis et d’Israël, qui sont tous les deux soutenus par le Canada et une bonne partie de nos médias. C’est Israël qui occupe illégalement des territoires arabes depuis presque 40 ans, qui possède un arsenal nucléaire et des armes de destruction massive. Pour libérer deux soldats israéliens l’État sioniste a détruit sans retenue un pays et massacré près d’un millier de civils, sans compter tous les Palestiniens tués à Gaza.
Il faut être dérangé mentalement pour saluer les tueries massives et disproportionnées au nom de la « lutte contre le terrorisme ». Quand on sait maintenant que les troupes américaines ont utilisé du phosphore blanc, une arme chimique, contre des manifestants à Falloujah.
Ce qu’il nous faut c’est un vaccin contre la droite et l’extrême-droite qui encouragent les impérialistes et les terroristes d’État à tuer impunément des civils pour accomplir leurs buts de domination mondiale.
« Les féministes sont sensibles envers les hommes qui souffrent et n’ont aucun mal à reconnaître les injustices qu’ils subissent. Elles ne s’en prennent pas aux hommes, mais à leurs propos haineux. »
Eh, oui, si on écoutait Mme. Bouchard, le Gouvernement du Canada financerait un organisme composé de féministes qui surveillerais les sites WEB des organismes d’hommes et déciderait ce qui est ou n’est pas de la propagande haineuse.
Permettez moi, Mme Proulx, de douter de la partialité d’un tel organisme.
J’ai une idée. Dans l’intérêt de la productivité et de l’efficacité, évitons beaucoup de travail et de paperasse inutile. On envoie tous de suite un gros chèque à plusieurs féministes et on ferme tous les sites WEB des hommes.
« Leur discours mensonger et revenchard »
Eh oui, Mme Proulx, les féministes n’ont pas envahie le domicile de Serge Ferrand et n’ont pas mis à sac l’Université de Montréal. C’est une conspiration masculiniste, une hallucination provoqué par un empoisonnement de l’eau du robinet avec de la testostérone.
« basé sur le postulat que l’égalité est atteinte pour les femmes »
La, Mme Proulx, vous avez raison. Ce n’est pas toute les femmes qui recoivent une médaille lorsq’elles tuent leur mari. Aille, ils y en a même qui vont en prison.
Il fallait lire:
Permettez moi, Mme. Proulx, de douter de l’IMpartialité d’un tel organisme.
Je crois que les gens ont figurés tout seul ce que je voulais dire.
À lire certains commentaires anti-gauche ou anti-droite, on se demande si ceux qui les écrivent savent de quoi ils parlent. Juste pour faire le point, voici deux courtes définitions tirées du Petit Robert.
Être de gauche en politique: celui qui professe des idées avancées, progressistes. (Ça veut pas dire que c’est toujours des bonnes idées)
Être de droite en politique: celui qui professe des idées conservatrices, réactionnaires. (Souvent en réaction aux idées progressistes. Les gens de droite sont en général satisfaits du fonctionnement actuel de leur système politique et ils ne veulent surtout pas que ça change.)
Pour ma part, je suis de gauche sur certains sujets et de droite sur d’autres. Un centriste quoi.
Merci Hugo de me donner raison en agissant exactement comme j’ai dis que les gauchistes agissaient.
Tu a ignoré les crimes des arabes envers Israel comme les féministes ignorent les crimes des femmes sur les enfants.
Après des siècles de persécution, après l’extermination de 6,000,000 des leurs dans les chambres à gaz et dans les laboratoires Nazis, et après que les Nazis se soient même faits des abats-jours en peau de Juif( archives disponibles sur film noir et blanc ), ils sont allé se faire un refuge à Israel EXACTEMENT comme des femmes battues se font un refuge dans une maison non identifiée en quelque part dans un quartier.
Si des hommes, des maris frustrés attaquaient cette maison et ces femmes qui ont fuit la persécution, cela serait un crime, tu serais le premier à le dire, mais attaquer Israel est OK selon toi.
Et si ces femmes engageaient des guardiens de sécurité armés, tu serais entièrement d’accord,
mais tu est contre le fait qu’Israel amasse des armes pour se défendre contre plusieurs nations qui jurent de le faire disparaitre dès qu’ils en auront la chance.
Comme des femmes qui ont fuit un homme violent tout ce que Israel veut est vivre en paix et qu’on le laisse tranquile, mais plusieurs nations arabes veulent faire disparaitre Israel, comme un mari frustré devenu fou de rage qui jure qu’il tuera sa femme dès qu’il en aura la chance.
Amahdinejad ne cesse de répéter qu’il va faire disparaitre Israel de la mappe.
Des nations arabes se sont alliées en 1967 et 1973 si je me souviens bien et ont attaqué Israel.
Mais ça t’est d’accord avec ça.
En bon gauchiste tu est aveugle devant ces faits.
Merci d’avoir prouvé que les gens comme toi – de la gauche – sont exactement comme je dis ; incapables d’être inpartials, incapables de prendre du recul.
Que c’est plaisant de se faire aider comme ça!
Merci Hugo
Merci Christian d’ignorer les crimes des États-Unis et d’Israël envers les Arabes.
En 1967 c’est Israël qui a attaqué en premier. En 1948, plus de 750 000 Palestiniens ont été brutalement expulsés par les sionistes et des massacres ont été perpétrés par ces derniers, notamment à Deir Yassin et Tantura.
En 2002 la Ligue Arabe a entériné un plan de paix, connu sous le nom de Plan Saoudien qui offrait à Israël la reconnaissance diplomatique en échange du retrait des territoires occupé, de la création d’un État palestinien viable et souverain aux côtés d’Israël et d’une solution au problème des réfugiés palestiniens. Quelle fût la réponse d’Israël? Un rejet pur et simple.
Merci d’avoir prouvé que les gens de droite et d’extrême-droite comme toi sont incapables de toute impartialité et de prendre du recul.
En passant tes amis israéliens ont détruit une usine pétrolière près de Beyrouth et le résultat est que la plage est souillée et contaminée et ça prendra des années à la nettoyer.
Et toi en bon droitiste tu es aveugle devant ces faits.
Continue à saluer les massacres israélo-américains.
Que c’est plaisant de se faire aider par des gens comme toi.
Juste mentionner que je suis entièrement d’accord avec le billet qui souligne que les femmes ont toutes les bonnes excuses pour tuer…mais pas les hommes ! pkoi pas…elles peuvent tuer avec de bonnes raisons, elle peuvent envahir nos tavernes et nos clubs de golf…et pkoi pas notre 100 % ! ouf…ça manque d’imagination au niveaux féminins ! Quand un homme tue …pas d’excuses…mais une femme qui pleure ou enceinte elle ont des raisons…et ne font pas de prison…allo l’équité…ou sont nos bonnes femmes féministes…? Mme Payette…Mme Plourde…Mme de Québec Solidaire ??….pas fort…
La vérité sur Israel,
1. Nationhood and Jerusalem. Israel became a nation in 1312 B.C.E., TWO
THOUSAND ( 2000 ) years BEFORE the rise of Islam.
2. Arab refugees in Israel began identifying themselves as part of a
Palestinian people in 1967, two decades after the establishment of the
modern State of Israel.
3. The Jewish have had a continuous presence in the land
for the past 3,300 years.
4. The only Arab dominion since the conquest in 635 C.E. lasted no more
than 22 years.
5. For over 3,300 years, Jerusalem has been the Jewish capital.
Jerusalem has NEVER been the capital of any Arab or Muslim entity even when
the Jordanians occupied Jerusalem, they never sought to make it their
capital, and Arab leaders did not come to visit.
6. Jerusalem is mentioned over 700 times in Tanach, the Jewish Holy
Scriptures.
Jerusalem is NOT mentioned ONCE in the Koran.
7. King David founded the city of Jerusalem. Mohammed NEVER came to
Jerusalem.
8. Jews pray facing Jerusalem. MUSLIMS PRAY with their BACKS toward
Jerusalem.
9. The number of Arab refugees who left Israel in 1948 is estimated to be
around 630,000. The number of JEWISH REFUGEES from Arab lands is estimated
to be the SAME.
10. Arab and Jewish Refugees: In 1948 the Arab refugees were encouraged
to leave Israel by ARAB leaders promising to PURGE the land of JEWS.
Sixty-eight percent ( 68% )left without ever seeing an Israeli soldier.
11. The Jewish refugees were forced to flee from Arab lands due to ARAB
brutality, persecution and pogroms.
12. Arab refugees were INTENTIONALLY not absorbed or integrated into the
Arab lands to which they fled, despite the vast Arab territory.
13. The Arabs are represented by eight separate nations, not including the Palestinians. There is only one Jewish nation.
The ARAB nations INITIATED ALL FIVE WARS and LOST. Israel defended itself each time and won.
PS; Si il y a des interessés je peux traduire en quelques minutes.
M. Leblanc, je serais intéressé à connaître la source de cette liste sur Israel et le monde arabe. Merci à l’avance.
Tu oublies une grande quantité de faits cher droitiste. Il y a avait plusieurs centaines de milliers d’Arabes en Palestine au début du siècle contre 56000 Juifs.
Plus de 750000 Palestiniens ont été brutalement expulsés par les milices juives. Menahem Begin s’est vanté dans ses mémoires que le massacre de Deir Yassin en 1948, dont il est largement responsable et qui a causé la mort de plus de 250 civils palestiniens, a semé la terreur parmi les Palestiniens et en a contraint un grand nombre à s’enfuir. Il y a eu d’autres massacres perpétrés par les sionistes, dont celui de Tantura.
En 1953, l’unité 101 dirigée par Ariel Sharon, a massacré 69 civils palestiniens dans le village de Qibiya en Jordanie. Un massacre similaire a été perpétré en 1956 à Kafr Kassem.
La guerre de 1967 a été déclenché par Israël et a permis a cet État de s’emparer de territoires arabes où un régime colonial brutal a été instauré.
Le fait que Jérusalem soit mentionné ou non dans le Coran n’enlève rien aux droits des Palestiniens d’y habiter à moins que Christian Leblanc ne prône leur extermination ou leur expulsion massive. Il faut dire que le gouvernement israélien et la Ville de Jérusalem font tout pour vider Jérusalem-Est de sa population palestinienne, en détruisant des maisons, en construisant des colonies juives dans les quartiers arabes, en refusant d’accorder des permis de construire, etc.
Les colons juifs, avec l’appui de l’armée, sèment constamment la terreur parmi leurs voisins palestiniens, commmettent de multiples actes de violence, déracinent des oliviers, etc, et ce en toute impunité.
Je te conseille de lire les rapports d’Amnistie Internationale et de Human Rights Watch qui sont très accablants pour Israël.De nombreuses résolutions de l’ONU, dont la 242 et la 1338, ont demandé à Israël de se retirer des territoires occupés et se sont heurtés à un refus implacable.
Israël a rejeté du revers tous les plans de paix qui lui ont présenté, que ce soit le Plan Rogers en 1969, la proposition de paix de Sadate en 1971, le Plan Fahd en 1981 et le Plan Saoudien en 2002.
Les nouveaux historiens israéliens dont Benny Morris et Ilan Pappe ont démontré, preuves à l’appui qu’il y a eu un nettoyage ethnique en 1948 perpétré par les milices juives.
Si on suit la logique de Christian Leblanc, les Palestiniens devraient expulsés des territoires palestiniens, comme le prône de nombreux partis israéliens d’extrême-droite (Union Nationale, Israel Beitenu, Parti National Religieux, Front National Juif, etc).
Merci pour ton message qui démontre clairement le fanatisme et le fondamentalisme des pro-israéliens enragés et obtus.
Bon bon bon….je sais, c’est devenu difficile d’être un homme de nos jours et il y a une profusion de clichés sexistes à leur endroit…homme = violence etc. Toutefois bémol sur le deux poids deux mesures s’il vous plaît. Il y a beaucoup plus là-dessous qu’il n’y paraît et ce serait trop simpliste de s’arrêter à ce triste mais hélas non-exagéré résumé de la situation. Mais peut-on oublier le chemin parcouru par la femme moderne ? Celle-là même qui, il y a à peine 50 ans,n’avait même pas le droit de vote…qu’en 2000, j’ai reçu (enfin)de mon employeur 10 ans d’équité salariale et surtout que les statistiques démontrent clairement et hors de tous doutes que les femmes ayant tué leur conjoint avaient au préalable subit des sévices indescriptibles de la part de la victime.
Ne croyez pas que j’endosse toute la mièvrerie journalistique autour d’un fait divers où une femme fait la une,dont le cas Yates par exemple, et je profite de l’occasion pour rappeler le peu de sympathie octroyé (et pour cause) à notre Karla nationale …Et pui,l’histoire démontre qu’en effet la solidarité fait peur. Les femmes,après des années de répression ont adopté des comportements pas toujours jolis mettons …pourtant ce sont les hommes qui agissent en opprimés appeurés.
Prenez- vous en main. Proposez de nouveaux codes, enclenchez, développez une solidarité unisexe et universelle bref, montrez-nous comment trouver votre point G plutôt que vous ingéniez à nous donner raison…
Au fond, nous le savons toutes, si les petits garçons puent il n’est pas nécessaire de leur lancer des roches.
L’ONU qui a été la cause du plus gros scandale jamais vu
( Appellé » oil for food » mais qui en réalité était » oil for fraud » ) dans lequel des tas de gens – de l’ONU, de la France et même des québécois reliés à Jean Chrétien et le fils de Kofi et j’en passe – ont reçus des millions, des milliards de Saddam pendant que les Iraqiens souffraient?
L’ONU qui permet à des régimes barbares où les gens sont emprisonnées ou executé sans raison d’avoir un représentant à la table de discution sur les droits de la personne?
L’ONU qui refuse de donner la définition du mot terrorisme?
L’ONU qui se félicite du travail bien fait pendant que la Corée du Nord et L’Iran amassent des armes nucléaires?
L’ONU qui pour la deuxiéme fois est impliqué dans un scandale de très grande envergure où des milliers de « peaces keepers » échangent de la nouriture contre des faveurs sexuelles avec de jeunes mineures dans les pays défavorisés?
L’ONU qui restait là à ne rien faire, à regarder Hezbollah amasser des armes à la frontière avec Israel, à regarder Hezbollah creuser des tunnels pour aller kidnapper des soldats Israeliens, et qui restait là à ne rien faire pendant que le Hezbollah construisais des bunkers sous terrains, alors que tout ça était tout à fait CONTRAIRE à la résolution 1501? Résolution en plus qui spécifiait que le gouvernement Libanais devait se débarasser du Hezbollah – un groupe que les Libéraux et non pas le gros méchant Harper avaient mis sur la liste terroriste il y a quelques années – ce qu’il n’a jamais fait?
Et Israel n’occupait PLUS le Liban depuis 2000 ou 2001.
C’est de cet ONU dons vous parlez?
L’ONU qui mets le Canada parmis les pays où les gens subissent le plus d’injustices? ( faites la recherche vous allez tomber en bas de votre chaise! OUI le Canada! c’est bien ce que L’ONU dis, le C-A-N-A-D-A )
Et j’en passe…
L’ONU HA HA HA!
J’ai connu des pushers sur la rue Saint-Denis qui avaient plus de crédibilité que l’ONU.
Pour une fois je suis en partie d’accord avec toi. L’ONU n’a rien fait pour empêcher la guerre en Irak, ni pour obliger Israël à quitter les territoires occupés, ni pour empêcher le génocide du Rwanda.
L’ONU qui reste les bras croisés devant l’accumulation d’armes de destruction massive par les puissances occidentales et leurs alliés, tels l’Inde et le Pakistan qui sont passés à deux doigts d’une guerre nucléaire en 2002.
L’ONU qui permet aux USA de ne pas payer leur cotisation censée être obligatoire.
L’ONU c’est un club de blabla au service de l’impérialisme.
Et je désire rappeler aux intervenants que le sujet en question n’a rien à voir avec Israël, le Hezbolah ou l’ONU.
Martineau a offert bein d’autres entrées où vous pouvez nous renseigner avec petinence sur les hauts et les bas et les contradictions de la diplomatie.
Je n’aime pas le titre de l’entrée de Martineau. Ce ne sont pas les filles qui sont stupides, mais le lobby politique qui tente d’imposer une idéologie que plus en plus de femmes reconnaissent comme faux-cul.
Bon centenaire à tous!
Si L’ONU n’a rien fait pour empêcher le génocide du Rwanda, c’est uniquement parce que les États-Unis n’ont pas voulu reconnaitre qu’il y avait bien un génocide qui s’y passait. Ils ont exercé leur droit de véto car s’il avait été décrété qu’un génocide était en cours, ils avaient l’obligation d’intervenir, ce qu’ils ne voulaient pas à cause (entre autres) de l’expérience désastreuse en Somalie où ils ont perdu des soldats.
D’ailleurs, la non-intervention lors de ce génocide a été une grave erreur selon Clinton, qui a avoué candidement, après son dernier mandat, que la gestion de ce dossier avait été sa plus grande erreur.
Alors avant de jeter tous les blâmes sur L’ONU… Euh, c’était pas une question à propos de deux poids deux mesures dans la fameuse guerre des sexes?
L’ONU au service de l’imperialisme???!!!
Et PETA est au service de McDonald et KFC peut-être?
C’est à chaque fois la même chose, les gauchistes finissent toujours par lancer des accusations si absurdes qu’on a plus envie de discuter avec eux.
Soit que tu est très ignorant,
ou très stupide,
ou que tu veux juste me provoquer,
ou que tu n’avais plus d’arguments et que tu a sortis celui là de nulle part,
mais de dire que l’ONU est au service de l’imperialisme est tellement absurde que je dois m’arrêter ici.
Lorsque quelqu’un voit du mal partout et des complots partout c’est qu’il souffre de paranoïa, de penser que tout le monde travaille en secret à aider les USA et l’impérialisme est de la pure paranoïa.
Une dernière chose Hugo, est-ce que tu crois aussi que l’industrie des éoliennes est au service des compagnies de pétrole?
Bien sûr que je suis stupide et ignorant, car je ne suis pas de ton avis. Comme argument c’est très fort. Lâche pas.
Je le répète l’ONU n’a rien fait pour empêcher la guerre en Irak, malgré ses belles paroles, et ne fait rien pour obliger Israël à respecter ses résolutions. Je n’y peux rien ce sont les faits.
Tu vois des complots « gauchistes » partout. Ta paranoïa et ta démagogie n’ont pas de limites.
Tu peux garder tes leçons de morale pour toi.
Les droitistes lancent des accusations si absurdes qu’on n’a plus le goût de discuter avec eux.
Je me permets de t’appeler par ton prénom, car tu l’as mentionné dans un message précédent. Qu’entends-tu par homme fier de l’être? En passant j’apprécie que tu ais remplacé le mot farfelu de « féminazies », par féministes radicales. C’est plus près de la réalité et beaucoup moins haineux.
À Hugo Pouliot qui écrit ceci : Parlons-en de double standard. Un homme qui aime le sexe et qui collectionne les aventures est considéré comme un tombeur et un « courrailleux », une femme qui fait la même chose est une « salope »!
J’ai connu des femmes qui couchaient à gauche et à droite et les seules personnes que j’ai entendu les traiter de salopes étaient d’autres femmes. En général, les hommes aiment bien celles ayant un appétit sexuel disons plus élevé que la moyenne des femmes. Ça semble être les autres femmes (moins actives sexuellement?) que ça choque… Pourquoi?
Merci pour l’info. De mon côté à cause de mon orientation sexuelle il m’est difficile de mépriser l’ensemble des hommes.
Je ne crois pas qu’il y ait un sexe meilleur que l’autre, comme il n’y pas d’orientation sexuelle meilleure que l’autre. Je défends les droits des femmes, mais sans les idéaliser. Comme j’ai dit plus haut, le fait qu’une femme ait du pouvoir n’en fait pas une meilleure dirigeante que les hommes.
S’il y a des masculinistes qui ne sont pas misogynes, sexistes et homophobes, alors tant mieux. D’un autre côté, je connais des féministes radicales qui ne méprisent pas les hommes.
e crois que tu te trompe, Jonathan. Le terme « féminazie » vient d’un commentaire de Rush Limbaugh, un commentateur américain.
L’histoire que tu mentionne est celle de Sue Edelman, ex-Ministre de la Condition Féminine au Yukon. Elle fut obligé de démissioner car elle avait écrit dans un email en parlant des féministes à quel point elle n’en pouvait plus de travailler avec des gens qui lui dictaient ce qu’elle devait dire et faire.
Elle mentionnait aussi qu’elle ne croyait pas que les hommes étaient responsable de tous les maux de l’univers et que son fils ne devrait pas être tenue responsable des hommes violent et de tout les hommes qui utilisaitun language vulgaire.
Elle disait aussi qu’elle touvait que les féminazie avait une perception extrêment étroite de la majorité des questions de l’heure.
Bref, rien de surprenant qu’elle ait perdue son poste, les féministes ne pouvant tolérer que qui que ce soit, surtout une personne au poste de Ministre de la Condition Féminine, n’ait des idées ou croyances différente des leurs.
Ceci ne s’est pas passé voici 25 ans mais récement, en 2002.
« J’ai connu des femmes qui couchaient à gauche et à droite et les seules personnes que j’ai entendu les traiter de salopes étaient d’autres femmes…. Pourquoi? »
Jonathan, je peux être te proposer une réponse. Je me rappelle un bande dessinée de Rieser voici plusieurs années.
Tu pouvais y voir une rangée de femmes en bikini couchées sur le ventre sur une plage. Un homme, gros et laid, demande à la première : « Bonjour Madame, voulez-vous venir avec moi à mon hotel et baiser ? » La femme lui assène une claque magistrale dans la figure en s’écriant « Goujat ! Pour qui me prenez-vous ? ». Le gars demande alors à la deuxiéme femmme. Même résultat. Après plusieurs claques sur la gueule, le gars a une joue énorme. Éventuellement, une femme accepte et ils s’en vont la main sur le cul à l’horizon.
Les autres femmes restent sur la plage et l’une d’elles dit:
« Salope ! Toujours les mêmes qui ont les hommes. »
Je suis contre toutes les oppressions et injustices.
Je trouvais ça vraiment injuste que des femmes restent avec les « flos dans les bras » et presque aucune aide de leur ex ou de l’état.
Je dénonçais avec vigueur la pauvreté qui affligeait ces femmes et enfants et moi aussi j’ai demandé qu’on aide ces femmes. Je trouvais injuste que des hommes fassent des enfants à des femmes et qu’ils « disparaissent » après…
Mais nous sommes en 2006, et bien de l’eau a coulé sous les ponts.
Beaucoup de lois, programmes, allocations viennent aider ces parents et enfants. Et cela profite parfois aux quelques pères qui réussissent à obtenir la garde.
***
Aujourd’hui je dénonce ceci:
Pour certaines féministes (enragées et incohérentes?) l’apparition de la loi sur les pensions alimentaires expliquerait la hausse du nombre de pères qui demandent la garde partagée.
Ah oui ?
Retournons en arrière;
1960 -» je me souviens du discours des premières féministes qui demandaient L’IMPLICATION plus grande des pères et ce, auprès des enfants. On ne voulait plus des pères « patriarcaux » qui travaillaient d’arrache-pied pour subvenir aux besoins des femmes et enfants. Je me souviens des belles paroles concernant les femmes « qui se prendraient en mains au niveau monétaire » pendant que les pères passeraient plus de temps avec leurs enfants et s’attacheraient à eux, « comme les mères ».
1996 -» je me souviens aussi des paroles d’une certaine ministre (féministe inégalitaire?):
« Je pense qu’il faut regarder une réalité qui est justement celle de motiver, d’encourager, d’inciter les pères à être des pourvoyeurs. »
Dixit: Louise Harel, ministre de la Sécurité et du Revenu du Québec commission parlementaire à Québec le 3 septembre 1996
Ah, voilà tout un changement dans le discours. Un autre 2 poids, 2 mesures ?
2006: aujourd’hu, je me pose ces questions:
Est-ce possible qu’une certaine catégorie de mères demandent la garde unique dans le but d’obtenir une plus grande pension (+ la totalité des allocations et la maison/logement)? Je ne dis pas que toutes les mères qui demandent la garde font ça. Comme je ne pense pas que les pères qui demandent la garde partagée sont tous des hommes qui veulent seulement éviter de s’impliquer au niveau monétaire. Les quelques études sur le sujet démontrent même le contraire. Dans cet optique, ne devrait-on pas faire la promo de la garde partagée et ce, au nom de l’autonomie des femmes et pour réactualiser l’ancien discours qui demandait une implication accrue des pères, MEME (et surtout ?) APRES UNE SÉPARATION… ?
Une conséquence positive pour les mères: leur temps ne sera pas consacré à 100% aux enfants. Et surtout une conséquence très positive pour les enfants:
Selon presque toutes les études, l’implication du père après une séparation est encore plus importante pour l’équilibre des enfants… déjà affligé par la séparation. Oui dans les cas rares de violence PROUVÉS (moins de 5% des séparations), la garde au parent non-violent est FORTEMENT CONSEILLÉ. Mais encore là, un homme/femme peut être violent UNE-DEUX fois avec son conjoint et n’être jamais violent vis-à-vis des enfants. Mais c’est un tout autre débat (très émotif) et ce n’est pas donné è tout le monde d’être très nuancé. Finalement, je ne perdrais pas plus de temps avec des EXCEPTIONS -certes tristes et déjà trop nombreuses- mais qui occupent une trop grande partie du discours féministes inégalitaire et misandre (i.e. anti-homme). Ces gens utilisés ces exceptions (nous le dirons jamais assez !) pour établir des lois/politiques ET une propagande qui porte préjudice à tous les pères et enfants. qui ne voient pas (ou presque pas) leur papa !
Lorsqu’on sait que la plupart des pères d’aujourd’hui sont très impliqués avec leurs enfants et ce, avant une séparation, pourquoi alors la majorité ( 80%) signent une entente à l’amiable (souvent sans garde partagée) et qu’ils seront au moins la moitié à retourner devant les tribunaux dans l’année qui suit (E.ADAMCYK, 1999) ?
Et nous ne parlons même pas du lobby des avocats (i.e. le Barreau) qui répète sur toutes les tribunes qu’étant donné que 80% des pères signent des ententes, tout va bien…
Mais ce même lobby ne parle JAMAIS de tous ces pères qui signent FAUTE D’AVOIR D’ALTERNATIVE fasse à ce sytème de « justice ». Combien savent combien coûte —en temps et en argent— une « guerre » juridique face à une mère qui se croit plus importante que le père et qui fait tout (ou menace de tout faire) pour évacuer un père. de la vie de « ses » enfants ?
***
Je crois qu’il y a un double discours qui mélange tout le monde.
En tout cas, une chose est certaine, il y a trop de lobbie$ d’impliqués dans ce débat.
Et surtout on manque d’études OBJECTIVES qui expliquent pourquoi la majorité des pères signent des ententes et retournent devant les tribunaux qq temps après.
***
Pour Hugo et Andrée: Je comprends votre discours car j’y adhérais avant. Mais svp, arrêtez de lire seulement des textes de féministes radicales ou de « spécialistes » qui défendent les intérêts du Barreau… et ce, au nom « de l’intérêt de l’enfant » (ou de leur poche?)
C’est du poison pour l’esprit et ces textes distortionnent presque toujours la réalité. Les textes dogmatiques qui généralisent sont toujours dangereux. On part de certains faits/vérités et on exagèreet on EXAGÈRE ENCORE ET ENCORE !
Et avant que vous me traitiez de mascu-machin-truc de droite pro-Bush/Harper [c’est quoi en pensant un masculiniste?… expliqué DANS VOS MOTS 😉 ], j’aimerais vous dire que j’ai longuement étudié la question Israel/USA -vs- Palestine et monde islamique (?) et voici mes conclusions (pour l’instant):
Israel est certe un état plus démocratique (à l’intérieur de ses frontières) que la plupart des pays musulmans, mais Israel s’est bâti —en grande partie— sur le dos du peuple Palestinien.
En tant qu’homme contre toutes les oppressions, injustices et violences, je me dois aussi de dénoncer les-extrémistes-islamiques-poseurs-de-bombes- ET aussi Israel, qui en réaction(?) commet souvent des atrocités/actions vraiment pas digne d’un pays qui se dit démocratique
Mon cerveau n’arrive pas à prendre un « côté » plus que l’autre, mais mon COEUR d’homme qui recherche la justice, choisit ceux qui sont les plus opprimés en ce moment… et ce n’est pas Israel … et ce depuis un bon « boutte »…
La vie de presque tous les palestiniens est un véritable enfer !
Pas contre je crois qu’il faut *toujours* mentionner —comme plusieurs citoyens d’Israel — que nous contestons les actes de violences d’un GOUVERNEMENT démocratiquement élu et non pas l’existence même DE L’ETAT d’Israel et encore moins « les » juifs…
Contre toutes oppressions je vous dis 😉
Si quelqu’un arrive avec des contre-arguments (preuves ?) convainquant concernant les injustices qui affectent les pères et/ou le conflit au moyen-orient, je vais changer mes positions….
En attendant, voici un petit texte que vous allez peut-être apprécier:
http://www.egalitariste.org/les_hommes_vivent_des_discriminations_systematiques.htm
C’est difficile à croire mais ça semble vrai, les femmes tuent leurs enfants par amour en les amenant avec elles. Elles tuent leurs maris à cause du syndrome de la femme battue. Il n’y a pas de tueuse en série parce que les théories féministes l’interdisent, les femmes ne peuvent qu’être victimes des tueurs en série.
A force de déresponsabiliser les femmes, les féministes vont vraiment les infantiliser.
Merci Marc pour tes quatre messages. C’est très instructif. Je te trouve plus nuancé que certains intervenants sur ce blogue.
Je ne lis pas seulement les écrits des féministes radicales.
Je vais aller consulter le site web que tu nous a mentionné.
Parlant d’exagération, je trouve que les masculinistes exagèrent souvent et diabolisent les féministes dites radicales. L’utilisation du mot féminazie est un exemple d’enflure verbale notoire. On peut critiquer le discours de ces dames sans les comparer aux nazis. En faisant ça les mascus perdent toute crédibilité.
Je suis allée voir le dernier lien offert par Marc Tremblayet cette phrase m’a fait rigoler:
« Les hommes ne meurent pas plus jeune que les femmes. »
Vraiment c’est la discrimination la plus cute qui soit. Ca doit prouver une fois pour toute que dieu est une femme 🙂
Qu’on se souvienne d’une cas assez récent, soit celui de la « Pôvre » Marielle Houle qui a aidé activement son fils à se suicider. Quel courage…une vraie mère Thérésa noire, que de compassion..et bla!bla! Résultat:pas une journée de prison! Quelques années plus tôt cependant, un médecin de l’Ontario qui, par pure compassion pour une famille, a fait le même geste. Résultat pour ce tueur:23mois ferme de prison. Qu’on se rappelle aussi Robert Latimer: 10 ans de prison! Son seul crime aura de ne pas s’appeler…RobertE!!!!
Société féminisée mur à mur !!!!
Si un jour vous noyez votre enfant « par compassion » comme cette « pôvre femme »dont le nom semble prédestiné (Desnoyers), un conseil:enregistrez sur vidéo toutes les scènes que les médias ont montrées…et pratiquez-vous! Dans votre miroir,pratiquez-vous à pleurer, gardez la tête basse,très basse…pratiquez, pratiquez…la victimisation, çà fonctionne! Et surtout,procurez-vous une vieille jaquette!
Ainsi, on dira même que votre dignité a été atteinte!
et voilà que dimanche le 20 août, le très glorieux Journal de Montréal en remettait dans son article « justice à l’américaine ». Sous une photo désolante de la pôvre Louise Desnoyers en larmes, on dépeint cette dernière comme une pôvre victime du système judiciaire américain (puisqu’elle a tué son fils au États-Unis), en se plaignant que Madame a dû attendre, les pieds et les mains enchaînées, que sa séance débute, et ce, devant une horde de journalistes. Non mais pôôôôvre meurtrière !! Vous imaginez un homme reçevoir un tel traitement de la part des médias ? J’entends déjà le tollé féministe !
[…il faut absolument relever le fait que la SPVM n’avait pas levé d’alerte Amber sous le faux prétexte que la vie de l’enfant n’était pas en danger. ALLO! L’enfant est mort, assassiné de sang froid par sa mère, alors que les services de police, clairement informé de la situation, ont tout simplement refusé d’agir en dépit de la dénonciation du père. Souvenons-nous également ici de Richard Laverdure, cet estrien qui, en janvier 2003, avait prolongé de quelques jours ses vacances de Noël avec son fils. Dès que les officiers de la SPVM eurent en main la dénonciation de la mère, l’alerte Amber fut immédiatement déclenchée sans aucun argument au sujet de la sécurité de l’enfant. Dans les mois qui ont suivi son arrestation, il eût à faire face à toute la rigueur des tribunaux, sans passe-droit…
Hermil LeBel]
À ce sujet, j’ai un dossier où c’est le père le parent gardien (un Enfant), et, en novembre 2004 la mère (cinq Enfants) qui menace de se suicidée kidnappe l’Enfant et joue au chat et à la souris avec les policiers plus de cinq jours. Les policiers lance un avis de recherche, mais surtout pas d’alerte Amber. Deux poids deux mesures, il n’y à jamais eu de procès contre la mère!
Également, on note, que de janvier 2000 au début 2003, cette femme porte continuellement de fausses accusations contre le père, qui est mis en état d’arrestation plusieurs fois. Depuis ce temps. les fausses accusations n’en finissent pas, mais « heureusement » les policiers n’interviennent plus.
Encore une fois, deux poids deux mesures, il n’y à jamais eu de procès contre la mère!
Pourtant, il à été mis en preuve dans les entraves de la DPJ, que cette même mère se livrait à des voies de faits sur ses Enfants, digne des mauvais traitements faits à Aurore l’Enfant martyr. Évidemment, lors des marches pour la Journée de la femme, elle est au front et est chaussée de bottes hitlérienne avec lesquelles elle botte ses Enfants, et avec ses pairs elle vocifère qu’elle va gagné le combat!
***Citation***
Je suis allée voir le dernier lien offert par Marc Tremblay et cette phrase m’a fait rigoler:
« Les hommes ne meurent pas plus jeune que les femmes. »
Vraiment c’est la discrimination la plus cute qui soit. Ca doit prouver une fois pour toute que dieu est une femme 🙂 Véronique Ascarelli
***Fin***
-Les services de santé ne payent pas un médicament qui pourrait sauver la vie d’homme.
http://www.egalitariste.org/Cancer_Quebec_refuse_d'aider_les_hommes_14_oct_05.jpg
Rions tous en coeur. Les hommes meurent plus jeunes!
-(1) Les hommes ne meurent pas du cancer de la prostate plus souvent que les femmes du cancer du sein… et les budgets pour le cancer du sein sont plus petits que ceux pour le cancer de la prostate…
Rions tous en coeur. Les hommes meurent plus jeunes!
-(1) Les hommes ne meurent pas beaucoup plus souvent du cancer que les femmes et ce, à chaque année. et les budgets concernant les soins, la recherche et le dépistage de TOUS les cancers ne sont pas plus petits pour les hommes.
http://www.egalitariste.org/Quebec_en_chiffres/Cancer_incidence_et_mortalite_F-H_Canada_2001_1.JPG
Rions tous en coeur. Les hommes meurent plus jeunes!
-Ce n’est pas vrai que plusieurs ministères(santé, éducation, etc) ont une division féminine et les hommes RIEN
Rions tous en coeur. Les hommes meurent plus jeunes!
Le plus drôle, c’est qu’il y avait un (1) à côté de la phrase: « Les hommes ne meurent pas plus jeune que les femmes ». En réalité, lorsque tu auras terminé de rire (la misandrie, ça se soigne), tu pourras peut-être méditer sur le fait que tous les items de cette liste, contribuent (directement ou non) à diminuer l’espérance de vie des hommes. La plus petite espérance de vie des hommes par rapport à celle des femmes, est un SYMPTÔME… des discriminations (contrairement au reste de la liste).
LES HOMMES DOIVENT EN PRENDRE CONSCIENCE. ET LES FEMMES QUI AIMENT ENCORE LES HOMMES, AUSSI.
Suite…
[Parlant d’exagération, je trouve que les masculinistes exagèrent souvent et diabolisent les féministes dites radicales. L’utilisation du mot féminazie est un exemple d’enflure verbale notoire. On peut critiquer le discours de ces dames sans les comparer aux nazis. En faisant ça les mascus perdent toute crédibilité.
Hugo Pouliot]
Cher Hugo,
Je ne suis surtout pas masculiniste, et je vous invite à lire mon premier message sur ce forum (et les autres), où il est question justement de féminazisme. Pourquoi tu pense que j’ai fais appel à la BNEI BRIT, si ce n’est que j’étais en présence d’une femme aux comportements qui se compare aux nazis ? (ex; vandalisme sur des biens et propriétés juive, terreur exercé contre tous membres de la communauté juive etc.) À ce sujet, je vous assure qu’on ne dérange pas la BNEI BRIT pour du vent!
Je connais des femmes féministes qui déteste les hommes, et à savoir si elles sont enragées je ne sais pas, mais je sais une chose, elles sont convaincu que « la race parfaite » c’est la femme. À savoir maintenant si ce comportement se compare aux nazis, que celui qui est assez honnête pour comprendre comprenne.
—» LES HOMMES SONT ALIÉNÉS ! ET LES FEMMES EN PAYENT LE PRIX D’UNE FAÇON OU D’UNE AUTRE. NOUS SOMMES TOUS INTERDÉPENDANTS.
Voici encore le texte ( http://www.egalitariste.org/les_hommes_vivent_des_discriminations_systematiques.htm ) m’incite à écrire Véronique, celle qui aime rire… 😉
________________________________________________
À Hugo:
Merci pour tes commentaires. J’essaye toujours d’être nuancé. Mais aujourd’hui ca va fesser 😉
J’ai 2 questions pour toi:
1) C’est quoi un masculiniste selon TOI. J’ai lu tous les textes sur les « mascu-machin-chouettes » et j’ai connu plusieurs dizaines de militants pour la cause des pères/hommes et pas un seul ne veut retourner les femmes « derrière les chaudrons » Pas un seul. Même le plus macho de la gang (G.C.) fait la vaisselle et le repas ! 😉
La propagande autour des masculinistes est à 99% fausse. le 1% représente nos défauts ! 😉
On ne peux quand même pas demander la perfection à toutes ces braves personnes qui luttent pour LA VRAIE ÉGALITÉ… t’se celle réclamée par les premières féministes.
2)Est-ce qu’il existe un mot assez puissant pour parler de personnes (femmes ET hommes) qui parlent de plus en plus de matriarcat (hypocritement) et veulent que les hommes soient soumis aux femmes ? Existe-il un mot assez puissant pour décrire ceux qui disent HAUT ET FORT, « qu’il ne faut pas accorder autant d’importance aux problèmes des hommes qu’aux problèmes des femmes »(sic) Michele Assalin, FFQ
J’ai déjà utilisé ce mot vraiment pas politiquement correct. Je vais encore l’utiliser aujourd’hui
CES PERSONNES SONT DES FÉMINAZIS!
Traitez-moi de conspirationniste, de fou, d’extrémiste… je m’en fou… ces gens devraient être enfermés ! Il n’ont pas de coeur et détestent profondément les hommes FORTS ET INDÉPENDANTS. Ils veulent une population malléable et soumise. Ils veulent des gens conformistes. Ils veulent des gens qui obéissent.
JE REFUSE DE FERMNER LES YEUX ET DE RESTER INACTIF.
Qui ne connait pas ce célèbre psy?
Il dit beaucoup de bonnes choses au niveau des relations interpersonnelles…
Mais il dérape lorsqu’il dit:
« Il faut que les hommes travaillent à l’avènement du matriarcat »
Il a dit ça pendant le Congrès international Paroles d’hommes en 2005
Il a aussi fondé Homme Québec et cette pantente pour hommes castrés a reçu des fonds de notre ministre féminazi de la condition féminine… (Carole Théberge)
***
Les Michèle Asselin et Guy Corneau de ce monde ne sont pas très nombreux, mais ils servent de « justifications idéologiques » à nos chers féminazis étatiques pour « taper » sur les hommes et favoriser les femmes.
***
Par exemple (je peux malheureusement en sortir des dizaines):
Les femmes représentent 62% des 770 000 emplois gouvernementaux (public, parapublic et péripublique)… et leur proportion augmente d’un % par année… et tout ça grâce aux 2 lois sur la discrimination « positive » !
Comment notre gouvernement —qui se dit égalitaire— peut-il continuer d’appliquer ces 2 lois (loi 143 et 2 articles de notre charte des droits) qui discriminent NÉGATIVEMENT les hommes?
Féminazi est trop fort comme terme ?
Tes derniers messages me déçoivent un peu par leur ton excessif. Je te trouvais plus nuancé dans tes précédents messages.
Un mascu pour moi c’est quelqu’un qui réagit au féminisme, souvent de façon excessive. Je ne doute qu’il y ait des gens bien intentionnés et plein de bonne volonté parmi les masculinistes, mais mes réticences sont profondes.
C’est peut-être un préjugé mais j’ai souvent l’impression que les mascus sont des hommes frustrés qui détestent les femmes de tête et les homosexuels. Tant mieux si ma perception est fausse.
Citation:
« C’est peut-être un préjugé mais j’ai souvent l’impression que les mascus sont des hommes frustrés qui détestent les femmes de tête et les homosexuels. Tant mieux si ma perception est fausse. »
On pourrait changer le sexe (et faire ce Jean-Claude St-Amant denonçait):
« C’est peut-être un préjugé mais j’ai souvent l’impression que les féministes sont des femmes frustrées qui détestent les hommes de tête et les hétérosexuels. Tant mieux si ma perception est fausse. »
Tu sais comme moi que tout mouvement prend naissance dans LA CONSCIENTISATION… par rapport à de réelles injustices…
Oui les hommes (et femmes… oui il y en a pas mal) sont peut-être parfois frustré(e)s… mais au-delà de cette frustration, qu’est-ce qu’on trouve? Et si ce que nous disons est vrai, et que les discriminations étaient aussi nombreuses… aurions-nous pas raisons d’être un tantinet frustrés. Peut-être que TOI, tu ne vis pas d’injustices… mais les autres ?
***
Je ne demande pas mieux que de prendre ma « retraite » et vivre une vie « normale »… mais tant que notre état (et la société en générale) « oublira » les souffrances qui affectent les hommes/pères/garçons, j’vais continuer de militer.
***
Il y a aussi des homos parmi nous ! Je te répète, les textes de propagandes sur les mascus… c’est exactement ça… de la propagande ! 😉
Les féministes doivent démonisés tous les militants de la condition masculine et paternelle pour pouvoir continuer d’être les « seules » victimes des « discriminations systémiques »
Leur financement est en jeu !
***
Et la plupart des militants ont des conjointes… et elles sont loins d’être « soumises et attachées au pwoèlle » 😉
En tout cas, il faut s’impliquer pour constater ce qui se passe et il ne faut surtout pas se fier aux féministes ou à la plupart des médias pour nous donner l’heure juste…
A+
Vol’Institut Canadien d’Information sur la Santé
http://secure.cihi.ca/cihiweb/dispPage.jsp?cw_page=media_30sep2003_f
« Les femmes vivent plus longtemps que les hommes – mais les chiffres sur l’espérance de vie cachent des problèmes de santé importants
Le 30 septembre 2003 – Au Canada, les femmes vivent plus longtemps que les hommes, ce qui ne veut toutefois pas dire qu’elles sont en meilleure santé. En fait, un nouveau rapport montre que les jeunes femmes ainsi que les femmes âgées courent plus de risques que les hommes de souffrir de plusieurs problèmes de santé graves.
« … » Toutefois, nous avons l’habitude de penser que les femmes sont généralement en bonne santé, car leur espérance de vie moyenne est plus longue que celle des hommes. Voilà qui peut être trompeur. En fait, le gros de l’écart entre l’espérance de vie des femmes et des hommes s’explique par le fait qu’un plus grand nombre d’hommes meurent tôt de causes évitables, telles que les maladies liées au tabagisme. Lorsque l’on prend ces facteurs en considération, l’espérance de vie des hommes et des femmes est presque la même. En réalité, les taux d’incapacité des femmes sont plus élevés que ceux des hommes. »
J’imagine que ça doit être la faute des femmes toutefois s’il y a des hommes qui fument. Ca doit être du au stress due à l’émancipation de la femme….
C’est pour ça qu’il y a pas moyen de discuter. Je veux bien reconnaitre que les hommes sont victimes dans certains cas de discrimination. Mais pour ca, faudrait nous montrer des vrais faits et de vrais cas et pas insulter tout le monde d’être mysandre ou nazi. Faudrait aussi arrêter de vouloir démontrer a tout pris qu’il y a pas de discrimination contre les femmes.
Sur le site egalitariste.org, on dit que les femmes sont une des cause principales du nazisme….comment voulez vous discuter après ça? come on!
M. Pouliot,
« C’est peut-être un préjugé mais j’ai souvent l’impression que les mascus sont des hommes frustrés qui détestent les femmes de tête et les homosexuels. Tant mieux si ma perception est fausse. »
Je déteste les féministes car elles sont hypocrites et menteuses.
Si je verrais un homme se plaindre parce que les femmes ont un endroit ou elles peuvent se rassembler entre elles mais garder le silence lorsque les hommes ont un endroit ou ils peuvent se rassembler entre, je me dirais « Cet homme est un hypocrite et un sexiste »
Quand je vois une femme avoir un comportement similaire, je me dis « Cette femme est une hypocrite et une sexiste. »
Ou personne n’a le droit de refuser l’entrée quelque part à quelqu’un sous prétexte de son sexe ou tout le monde a le droit de refuser l’entrée quelque part à quelqu’un sous prétexte de son sexe. Tout le reste n’est qu’hypocrisie et sexisme.
J’ai aucun problème avec l’idée que les femmes peuvent aller dans un endroit et y être entre elles. Là ou j’ai un problème, c’est quand des sexistes et des hypocrites refusent aux hommes le droit de faire pareil.
Je déteste les homosexuels qui se croient supérieur parce qu’ils baisent d’une manière différente et je déteste les hétérosexuels qui se croient supérieur parce qu’ils baisent comme tout le monde.
Mmme Ascarelli,
« J’imagine que ça doit être la faute des femmes toutefois s’il y a des hommes qui fument. Ca doit être du au stress due à l’émancipation de la femme…. »
Mauvaise réponse.
J’ai commencé à entrevoir la possibilité qu’il y avait quelque chose de pourri au royaume du Danemark le jour ou tous les journaux du Canada on fait leur « front page » avec le grand titre « Les femmes fument 4 fois plus que les hommes ! ».
Bien entendue, on pouvait lire les commentaires des gens qui disaient que les « pôvres femmes » subissait une immense pression de la société patriarcale.
J’ai pu constater l’importance que la société portait à la santé des hommes quelques jours plus tard en lisant un entrefilet de deux lignes à la page 25 du Journal ou Statistiques Canada rapportait que les hommes se suicidaient 4 fois plus que les femmes.
Probablement que mon sens des proportions est faussé du fait que je sois un homme.
En effet, il est tellement plus dangereux de se mettre une cigarette dans la bouche qu’un canon d’un calibre 12 chargé à bloc.
Tant mieux s’il y a de nombreux masculinistes comme vous qui ne sont pas homophobes! Comme j’ai dit tant mieux si mon impression est fausse!
Je pense qu’on peut avoir un dialogue fructueux quand chacun y met du sien.
Je pense néanmoins que les masculinistes ont la possibilité de se faire entendre et je ne crois pas que tous les ministres, surtout les hommes, soit insensibles à votre discours.
Pourrais-tu m’en nommer un seul, s’il-te-plait?
Je lisais ce matin l’histoire du gars à Montréal qui vient de se faire poignarder à mort en essayant de protéger une femme d’un autre homme. Je me disais: « Quelle différence va t-il y avoir entre le traitement que la société lui réserve et celui d’une personne comme Marc Lépine ».
En effet, la manière dont il va être traité va être bien différente. On ne prononceras pas son nom comme étant un exemple du comportement des hommes. Les femmes ne feront aucune vigile à la lumière des chandelles à sa mémoire le jour anniversaire de sa mort. Les drapeaux du Canada ne flotteront à mi-mat en sa mémoire à chaque année.
Juste un autre type qui a pensé au bien-être d’une femme avant de penser au sien.
M. Martineau
Vous avez quelques fois abordé le sujet du traitement des hommes dans la publicité. Traitement inégal ou l’homme joue souvent le rôle d’idiot de service.
Je vous suggère de regardez et surtout d’écouter attentivement la publicité de la SAAQ concernant le stress au volant. Il y a 2 commerciaux qui passent en ce moment sur ce sujet un avec un homme très stressé (cellulaire, agenda, rendez-vous, etc) qui monte dans son auto. Et un autre avec une femme (elle a oublié la tente de camping chez son frère) qui monte également dans son auto. Les deux démarrent en trombe.
A première vue les deux messages sont équivalents. Mais non! Si vous écoutez attentivement le message vous verrez que c’est un tantinet tendancieux:
Quel est le texte 2 des messages ?
Pour la femme au volant le message est:
« A partir d’ici. Votre impatience pourrait « blesser » quelqu’un.
Pour l’homme au volant le message est:
« A partir d’ici. Votre stress pourrait « tuer » quelqu’un.
Donc la femme risque de blesser, mais l’homme risque de tuer.
Ça ressemble à des messages de type subliminaux. Certains se rappelleront des pubs des années 70-80 avec des messages subliminaux cachés subtilement sans les cubes de glaces de annonceurs de vodka.
Dans le cas de blesser versus tuer de la pub de la SAAQ qu’elle la véritable intention derrière cette campagne publicitaire?
Au fond je ne crois pas vraiment à l’efficacité des techniques subliminales, mais qu’elle est l’intention derrière ces messages ? Qui les rédigent ? Ce n’est pas un hasard qu’on ait utilisé ces deux mots différents blesser et tuer.
Salutations
Gilles Brodeur
Le national-socialisme (NAZI) allemand autorisait les pires exactions envers tout un segment de la société sur une base raciale et confessionnelle. Ainsi, il était alors possible pour les petits fonctionnaires à la solde de l’état nazi d’interdire à certains citoyens, stigmatisés en raison de leur appartenance au groupe cible, l’usage de leurs biens, l’accès à la justice et le plus élémentaire respect de leurs droits réputés fondamentaux. Lors des rafles, les voisins de paliers pratiquaient unanimement l’aveuglement volontaire.
Le parallèle avec la situation infligée actuellement en occident aux hommes en situation de rupture conjugale est saisissant. Dès qu’une femme le moindrement vindicative entreprend de se départir de son compagnon de vie, ce dernier, sur la seule base d’un appel 911, sans vérification, enquête, tiers témoins ou du moindre élément de preuve au soutien des allégations de la plaignante, sera expulsé manu militari de son domicile, chassé de la vie de sa famille pour devenir un ‘observateur privilégié’ selon l’expression utilisée par L’Heureux-Dubé en plus d’être traité comme un criminel pour le restant de ses jours s’il résiste à la tentation d’abréger le calvaire qu’est finalement devenue sa vie. La justice, les droits fondamentaux demeurent d’utopiques chimères auxquelles il n’aura désormais plus accès. Et le bon peuple feint ne pas voir, ne pas savoir…
Voilà pourquoi l’utilisation du terme ‘féminazi’ pour décrire les régimes qui encouragent de telles pratiques inquisitoriales s’avère approprié, n’en déplaise aux chastes oreilles des bien-pensants de ce monde. En contrepartie, lorsqu’ils sont commis par une noble représentante de la caste des femmes en position de suprématie, seuls les crimes les plus odieux seront sanctionnés par la justice, et encore de manière autrement plus clémente et avec grande mansuétude. Est-ce que le nom de Karla Homolka vous dit encore quelque chose?
Je n’ajouterais que ceci:
A-t-on vu une femme prendre d’assaut le pont Jacques-Cartier parce qu’on lui refusait la garde de ses enfants?
Je m’explique: la détresse féminine est beaucoup plus prise en charge, un homme ne semble pour sa part jamais excusable comme s’il n’avait pas le droit à l’erreur…
J’avais moi aussi remarqué les deux termes utilisés dans ces pubs (blesser pour la femme, tuer pour l’homme) et je ne m’en était pas scandalisé outre mesure, mon cerveau s’étant habitué à ce genre de double discours. Maintenant que j’y pense, je trouves ça tout-à-fait inapropprié. On est bien dociles pour endurer ce genre de merde.
M-A Laferrière
Il y a une autre interprétation du fait que les femmes ne prennent pas de populations en otage quand on les dépouille de leurs droits parentaux.
1) Elles n’ont pas ce sentiment d’entitlement qui fait que même un père violent ou violeur se sent en droit de réclamer haut et fort qu’on ne touche pas à ses privilèges.
2) Elles sont beaucoup moins souvent le parent agresseur, menaçant ou simplement incompétent à qui le système doit refuser de tels privilèges pour protéger l’enfant.
3) Comme ce sont habituellement elles qui ont fait la majorité du travail de soin aux enfants, elles n’ont pas besoin d’écrire MAMAN T’AIME sur le pare-choc d’une voiture ou sur un panneau-réclame pour que l’enfant le sache.
4) La « prise en charge » dont vous parlez – qui se résume habituellement à une prescription d’antidépresseurs – est aussi disponible et offerte aux hommes. Ils n’en veulent pas. Ce qu’ils veulent, c’est GAGNER.
5) Les femmes sont socialisées à ne pas utiliser la violence pour gagner, à fuir les litiges et une place publique où elles sont plus souvent qu’autrement traînées dans la boue (suivez mon regard…)
Pour revenir au sujet de l’article, à l’exception des cas de dépression post-partum dus à un grave trouble hormonal et qui ne comportent aucune volition, les infanticides sont TRÊS majoritairement le fait d’hommes et comportent, c’est vérifié, une forte connotation vengeresse. C’est un phénomène amplement documenté: il y a des menaces, des antécédents de violence, l’assassin laisse une lettre haineuse ou téléphone à la mère ou à la grand-mère de ses victimes, etc.
Personne ne prétend que des femmes ne *peuvent pas* se comporter comme ça. Mais statistiquement, elles sont extrêmement rares à le faire.
Par ailleurs, personne ne dit non plus que TOUS les hommes infanticides le font de cette manière vengeresse. La dépression sévère frappe aussi chez les hommes et il y en a aussi dont on peut et doit reconnaître qu’ils ont tué par souci de l’avenir de leur victime…
Il y a une autre interprétation du fait que les femmes ne prennent pas de populations en otage quand on les dépouille de leurs droits parentaux.
1) Elles n’ont pas ce sentiment d’entitlement qui fait que même un père violent ou violeur se sent en droit de réclamer haut et fort qu’on ne touche pas à ses privilèges.
2) Elles sont beaucoup moins souvent le parent agresseur, menaçant ou simplement incompétent à qui le système doit refuser de tels privilèges pour protéger l’enfant.
3) Comme ce sont habituellement elles qui ont fait la majorité du travail de soin aux enfants, elles n’ont pas besoin d’écrire MAMAN T’AIME sur le pare-choc d’une voiture ou sur un panneau-réclame pour que l’enfant le sache.
4) La « prise en charge » dont vous parlez – qui se résume habituellement à une prescription d’antidépresseurs – est aussi disponible et offerte aux hommes. Ils n’en veulent pas. Ce qu’ils veulent, c’est GAGNER.
5) Les femmes sont socialisées à ne pas utiliser la violence pour gagner, à fuir les litiges et une place publique où elles sont plus souvent qu’autrement traînées dans la boue (suivez mon regard…)
Pour revenir au sujet de l’article, à l’exception des cas de dépression post-partum dus à un grave trouble hormonal et qui ne comportent aucune volition, les infanticides sont TRÊS majoritairement le fait d’hommes et comportent, c’est vérifié, une forte connotation vengeresse. C’est un phénomène amplement documenté: il y a des menaces, des antécédents de violence, l’assassin laisse une lettre haineuse ou téléphone à la mère ou à la grand-mère de ses victimes, etc.
Personne ne prétend que des femmes ne *peuvent pas* se comporter comme ça. Mais statistiquement, elles sont extrêmement rares à le faire.
Par ailleurs, personne ne dit non plus que TOUS les hommes infanticides le font de cette manière vengeresse. La dépression sévère frappe aussi chez les hommes et il y en a aussi dont on peut et doit reconnaître qu’ils ont tué par souci de l’avenir de leur victime…
Mais il n’y a pas que la vengeance et la dépression, il y a le fait de « brasser » ou de battre un nourrisson pour le faire taire qui constitue une cause bien plus courante d’infanticides chez nous.
Là aussi, les hommes sont hélas très majoritaires, même s’ils (et sans doute parce qu’ils) passent beaucoup moins de temps que les mères à répondre aux besoins des enfants.
Pour se renseigner sur le contexte réel des meurtres de femmes et d’enfants commis par de shommes (ou des inconnus) au Québec depuis 17 ans, voir le site http://www.antipatriarcat.org/cmcs/section.php?section=liste
Attention: Il faut avoir le coeur bien accroché…
N’oublions pas le syndrome de l’enfant « brassé »
Martin Dufresne
N’oublions pas La Marche des Femmes et les coups de pied aux Enfants à grands coups de bottes à caps d’acier hitlérienne, mis en preuve en Cour dans les entraves de la DPJ et sa bande qui s’y opposaient farouchement.
Simple exemple de cas dans un post précédant. 😉
Jacques
Collusion, falsification ou coïncidence?
Comment une femme c’est battu contre medecin et DPJ qui avait monter un dossier contre elle.
Canada
X est tombée lorsqu’elle était pour quelques minutes sous la responsabilité de son père. X, jumelle prématuré de poids et d’âge avait un historique médicale : trouble respiratoire à dix jours de vie.
Lors de son hospitalisation, l’hôpital a procédé sur tout le corps à des tests de dépistage du SBS sans notre consentement (vice de contentement de la nature avec le père et consentement vicié par des faux renseignements avec la mère pour des tests effectuer sur sa sour jumelle) et ce sans que la santé de ma fille soit en danger immédiate, car elle n’avait aucun symptôme inquiétant telle que des vomissements ou perte de conscience.
La résidente nous a alors dit que la fracture que X avait à la tête était en zig-zag et que cela était inquiétant et pas normal lors d’une chute de courte distance. Ce qui était faux, la fracture était linéaire et cela a était déjà écrit dans le dossier.
Par voix téléphonique, j’ai informé le médecin qu’il n’avait pas le droit d’effectuer des tests de manières précipiter, pour la simple et bonne raison que c’est tests sont nocifs pour la santé. Je lui ait dit que l’on était pas contre tous les tests, mais qu’on était préoccupé par les effets secondaires. Elle a dit avoir peser le pour et le contre et elle a écrit (à mon insu) dans le dossier que j’étais folle et non fiable. Avant de raccrocher, j’ai accepté de continuer les tests car l’iode radioactif était déjà injecté, elle avait d’ailleurs du sang dans la figure, le soluté avait mal été enlevé.
Chaque jour l’équipe médical nous disait que ma fille avait été battu et avait le syndrome du bébé secoué de façon certaine: à 100% et que c’était impossible qu’elle n’ait pas été battu. On m’a même appelé à la maison pour me rappeler la nature sauvage de l’agression. Ils nous ont donc interdit de quitter l’hôpital ou de changer d’h
donc interdit de quitter l’hôpital ou de changer d’hôpital.
Suite au signalement fait par l’hôpital, le DPJ est venu chez moi m’insulter, crier et me faire parler en détail d’abuse que j’ai subi étant jeune. Devant témoin. En plus, il a ajouter que : je ne devais pas prendre les médicaments pour le sommeil que mon soit disant incompétent de médecin de famille m’avait prescrits. J’allaitais des jumelles et ça faisait 4 mois que j’avais pas dormi plus de 4 heures d’affilées.
La médecin a même compté le nombre de minute que je pleurais à l’hôpital. Peut-être ce n’était pas assez long pour elle? Était-elle de mauvaise foi? Suite à l’attitude de cette médecin spécialiste en protection de l’enfance, j’ai demandé à ce que ma fille soit transférer à Ste-Justine et vue par un spécialiste en SBS.Elles ont alors prétendu être eux-mêmes spécialiste même s’elles n’ont pas se titre et Elles ont refuser, me disant avoir droit à une contre-expertise.
Normalement, le DPJ demande au Juge qu’on vous enlève vos enfants pendant des semaines, des près de 9 mois et ensuite après avoir payer un avocat, on peut obtenir le dossier médical et si vous en avez les moyens, vous pouvez vous payer une contre expertise. C’est un bourbier incroyable avec un DPJ qui veut jamais admettre ses tords et un cauchemarder pour les nouveaux parents.
Je venais d’accoucher (3 mois), d’allaiter et ils m’ont enlevé mes filles, celle qui est tombé, X, et sa sour jumelle Y qui avait supposément une fracture à l’épaule. On nous a dit que la fracture à l’épaule de Y allait compter dans le diagnostique de X. C’était pourtant une autre erreur d’interprétation des rayons x. Coïncidence? La DPJ nous a enlevé nos filles et ce même si j’avais un témoin qui était avec moi pendant que l’accident avait lieu ailleurs. Vous ne pouvez pas vous imaginez ma douleur. Le DPJ a même refusé que ma belle mère qui est gardienne dans une famille d’accueil de la DPJ de garder mes filles.
Et ce même si elle ne les a jamais gardé, car elle habite Montréal.
Je pense que par discrimination, parce que je suis une femme : il m’ont demandé d’aller en psychiatrie, et forte heureusement je n’étais pas en post-partum. En effet, le père qui a échappé l’enfant n’a pas du aller en psychiatrie. Car le signalent fait a le DPJ disait ( à mon issus) que j’avais des maladies mentales et problèmes conjugaux. C’est pas bête, car si l’on observe la loi, on s’aperçoit que si le signalent est fait pour problèmes conjugales je resterais pris avec le DPJ même après avoir obtenu une contre-expertise.
Certains intervenants du DPJ connaissent les éléments de compromission, et la seule chose qu’ils ont besoin pour porter atteinte à votre réputation et par conséquent à la charte des droit et liberté et au droit de l’Homme : c’est un crayon.
J’ai porté plainte au DPJ et j’ai réussis à changer d’intervenant, car j’avais un témoin lors de l’interrogatoire et donc une preuve crédible de ce que j’avançais.
L’hôpital a utilisé une autre stratégie, puisque je voulais une deuxième opinion, il me l’on alors donné. Un autre spécialiste médicaux légal est venu et il a aussi diagnostiqué un SBS qui n’étais pas relié à la chute accidentelle. Forte heureusement, il a recommandé à la DPJ que l’on puisse retourner à la maison avec nos filles. Et grâce à sa notoriété, on a retrouvé nos filles.
J’ai repris mes filles, j’ai appelé à Ste-Justine et j’ai obtenu un troisième diagnostique qui a été corroborée par la suite avec la première radiologiste et le médecin médicaux légal : pas de SBS possible, pas d’hématome sous-duraux. Le CHUL dit qu’il y a eu une mauvaise interprétation à cause d’un congrès de radiologiste qui rendait l’expert du CHUL non disponible! Et refuse ainsi de nous indemniser et de s’excuser.
Quand j’ai réussi à savoir à quelle date les soit disant hématomes avait été daté, il était clair pour moi que le médecin voulait me faire porter le chapeau.
C’était la seule période de temps que j’avais été seule avec mes filles, sans gardienne, famille ou mari. La médecin spécialiste en protection de l’enfance m’a dit qu’elle allait elle-même chercher les résultats en radiologie, ce détail avait éveiller encore plus mes soupçons.A mon avis, c’est pour enlever du poids sur les épaules de la jeune radiologiste, qu’elle a inventé qu’un hématologue a daté de le sang et que c’était pas survenu en même temps que la chute. Ce qui est faux, j’ai parlé avec l’hématologue et il a tout nié.
Cette femme me dévisageait constamment, elle me fusillait des yeux et regardait au sol sans répondre, me tournant le dos avec ma fille dans ses bras, ou répondant de façon divergente lorsque je la questionnais sur des détails médicaux.
De ma part, j’ai vécu l’enfer, mon mari et nos proches aussi. Mes deux filles ont subi une multitude de tests qui pourrait atteindre leur santé dans l’avenir. Mon conjoint a été mise à la porte de son programme et a du retarder sa certification de deux mois et a perdu ainsi trois mois de salaire de plombier. Je suis moi même un enfant de la DPJ, je crois que ça été pour eux un élément de compromission, c’est plutôt de la discrimination!
Le dossier au DPJ disait que j’avais des problèmes conjugaux ce qui ont du enlever suite à ma demande, car il n’ont pas pu justifier ce qui était écrit autre que par le fait qu’on a pas déménager en même temps dans la région (il a été retardé par ses études). Le signalement fait par le CHUL disait que j’avais aussi des maladies mentales. Une pédiatre avec qui j’ai discuté au téléphone de consentement volontaire et éclairé, a fait faire un signalement, non pas de bébé maltraité, mais de maladie mentale chez la mère ! Abus de pouvoir?
A mon avis, il y a un manque flagrant de professionnaliste, hospitalisation évitable de la sour jumelle, fautes professionnels, atteinte à ma réputation et discrimination.