Un reportage fascinant sur Dubaï, le nouveau Las Vegas du Moyen-Orient, une capitale hyper kitsch obsédée par le sexe, l'argent et le luxe.
D'un côté, Dubaï tripe sur le capitalisme et le fric (on y trouve l'hôtel le plus élevé au monde, construit sur une île artificielle), mais de l'autre, les Seigneurs de Dubaï combattent la liberté d'expression et interdisentt l'accès du pays (les Émirats arabes unis) aux Juifs.
Terre de contrastes, dites-vous?
Voila tout simplement une preuve du nouveau colonialisme occidental…et du capitalisme sauvage! Quand on sait le sort réservé aux femmes, aux voleurs, aux soulars, aux apostats, aux travailleurs immigrés (de vrai esclaves modernes). C’est les lois de la charia qui régissent ce petit pays riche… On se demande vraiment ou sont nos belles valeurs occidentales (elles ne sont peut être plus exportables dans ce cas…). Les indigènes eux-elles ne sont pas sur la liste du progrès. Il n’y a pas si longtemps une française violée dans ce coin du monde a été emprisonnée…
Ah la belle démocratie qui fout le camp…Après on se posera des questions, mais seulement en occident pas dans ces pays ultra conservateur-rigoriste musulmans. On s’étonnera qu’un certain islam est importé…On peut, vouloir, juste aller dans ces pays et ne pas vouloir qu’ils viennent chez nous avec leur idéologie.
Interdit aux juifs… Wow! on fait semblant que ça n’existe pas!!! Israel avec des voisins comme ceux-lâ n’a pas besoin d’autres ennemies!!?? On se gargarisera en disant « non mais il y a des juifs dans les pays arabes, voyons! ». Les Emirats finances en contre parties des mosqués â travers la planète, surtout en occident (c’est donnant donnant).
J’avais vu une émission sur le développement immobilier et les genres Brat Pitt qui achètent â coup de millions des maisons sur le sable…! Les acheteurs disaient on est tranquille ici, pas de voleurs, pas de criminalité, pas de soulon…ben oui les punitions corporelles existent (mutilations…). J’ai fait escale deux fois â Dubai, il y a quelques années, j’étais stupéfaite pas le nombre de militaires armées…â tous les coins de couloirs…et ce qui m’avait frappé (pour la première fois) j’ai vu des femmes avec des bourkas trainé derrière leur mari, parce que les trous dans les bourkas ne permettaient une vue panoramique…!
On parlera après de démocratiser le moyen-orient une vraie lubie!! Comment peut-on au nom du seigneur $ permettrent cela.
Tu sais aussi que Tel Aviv est la capital de la prostitution au Moyen-Orient, mais aussi la capital mondial d’importation d’esclaves femmes et enfants russes.
Une petite recherche sur google te confirmera ça: White Slavery of Christian Girls – In Israel
je parle de la main-d’oeuvre de l’Asie de l’Est et des chinois qui vivent dans un camp (de concentration) â 500 personnes… Ces travailleurs â qui on enlève le passeport pour qu’ils ne partent pas du pays… Prisonniers payés???C’est seulement des hommes qui travaillent dans la construction… Honte â ceux qui vont acheter des Villas sur le sable â coup de millions et qui pour eux le reste n’existe pas. Dés qu’on accueille les étrangers dans ces pays on parle de leur ouverture!!!!!!! Mais interdit aux Juifs on s’en Cr…..! Les droits de l’Homme jetés â la poubelle, le droit des femmes -quelles femmes on les voit pas?- Rappelez-vous -c’est culturelle dans ce coin du monde- au Liban les travailleuses ménagères qui voulaient quitter, mais lâ pas de passeport!!!! Une libanaise criait qu’elle avait payer pour elle (une femme de ménage) et qu’elle devait rester…!! Imaginez l’angoisse de ces pauvres femmes! L’esclavage moderne! Alors Dubaï, il n’y a pas de quoi être fière.
Selon le rapport annuel du département d’Etat américain concernant la traite d’esclaves, publié en 2004 à Washington, Israël consent un minimum d’effort pour lutter contre ce phénomène. L’Etat hébreu est non seulement une plaque tournante du marché de la prostitution, mais aussi les conditions qu’il offre aux travailleurs immigrés légaux sont proches de la définition de l’esclavage, selon le rapport.
La plupart des femmes victimes de l’exploitation sexuelle provient toujours des républiques ex-soviétiques. Jusqu’ici, la Moldavie était la première source de la traite des Blanches en Israël, mais elle est actuellement dépassée par l’Ukraine, le Kazakhstan et l’Ouzbékistan, affirme le rapport.
Une grande parti de ses femmes blanches sont exportés vers Dubai.
Chaque année, des centaines de femmes venant de surtout divers pays (ex-URSS) arrivent en Israël pour travailler dans l’industrie du sexe. Nombre d’entre elles sont amenées par des réseaux maffieux bien organisés et qui font travailler des gens en Israël et dans les pays d’origine.
Ces organisations publient des annonces sous le titre « On recherche », qui proposent aux femmes jeunes et belles des emplois bien payés comme serveuses, nourrices, danseuses ou demoiselles de compagnie, et il s’avère pour nombre d’entre elles dès leur arrivée en Israël qu’elles sont tombées victimes d’un esclavagisme d’un nouveau type.
L’ « importation » de femmes à des fins de prostitution est une industrie qui rapporte des millions de dollars en Israël. Elle est soumise à un contrôle strict et organisé de la part de la maffia qui collecte ainsi des sommes fabuleuses, dans la mesure où ces femmes sont la propriété d’un proxénète ou d’un autre. Proxénètes et marchands de jolies filles vendent et achètent des femmes étrangères en Israël à des prix qui atteignent 20 000 $
Certaines femmes qui sont envoyées en Israël savent qu’elles vont travailler dans la prostitution, mais elles ne s’attendent pas à ce que leurs droits soient bafoués de la sorte. Certaines s’imaginent qu’elles vont travailler comme serveuses ou nourrices, et elles ne découvrent qu’elles ont été bernées que lorsqu’elles sont amenées aux maisons closes ou présentées aux premiers clients.
Il faut signaler aussi de nombreux cas confirmés d’enlèvements de femmes durant leur visite en Israël pour les contraindre à travailler dans la prostitution.
Par ailleurs, on prend à ces femmes leurs documents personnels et on les contraint à travailler dans des conditions effrayantes et pour un salaire dérisoire prélevé sur la contrepartie touchée par ceux qui les emploient. Quant à celles qui s’opposent à ces décisions, elles sont frappées et violées jusqu’à ce qu’elles manifestent leur coopération.