Une critique du film Marie Antoinette, de Sofia Coppola, par nulle autre que l'intellectuelle "post-féministe" Camille Paglia. Du bonbon…
The Marie Antoinette saga presents daunting problems to any adapter. Where should our sympathies lie: with the plucky, fun-loving 14-year-old girl torn from her home at the Habsburg court in Vienna to serve as a broodmare for French royalty – or with the impoverished French proletariat whose taxes underwrote the ostentatious luxuries of a parasitic aristocracy?
For the past two centuries, views of Marie Antoinette have been sharply polarized: She was either a saint and martyr or a monster and Messalina (one of the many scathing sobriquets flung at her in her lifetime).
Belle phrase, mais il faut voir que c’était le contexte qui prévalait partout en Europe ou à peu près. C’est d’ailleurs très actuel, le parasitisme sociétaire étant aujourd’hui répartit dans toutes les couches de la société! Vive l’égalitarisme! Au moins, nous avons tous le droit et l’occasion d’être des parasites. Savoureux…
Marie-Antoinette n’était qu’une bourgeoise royale aveugle et déconnectée… « Mais qu’on leur donne du pain! » avait-elle dit en voyant le peuple vouloir envahir Versailles, les traits tirés et les muscles pendants. On dirait parfois que certains politiciens et haut-fonctionnaires s’en inspirent…
quand elle a dit « qu’on leur donne du pain », réponse « il n’y a plus de pain », alors elle dit « qu’on leur donne des brioches ».
Et aujourd’hui,si elle revenait,la Marie-Antoinette,
elle leur donnerait quoi,aux Français?
Du Villepin,peut-être?