Selon un rapport scientifique dévoilé aujourd'hui, la température de la Terre n'a jamais été aussi élevée.
Attaboy!
Amenez-en, des Hummer!
Les commentaires sont fermés.
40 commentaires
Sûrement que la terre combat un gros vilain virus, cousin de l’indifférence et parent proche de l’ingnorence.
49 degré celcius le premier août dernier avec le facteur humidex ( porteur de mauvaise nouvelle ). L’inconfort à son apogée. Peut- être que Dame Nature est dans sa ménopause.
C’est pas ceux qui se mettent la tête dans » l’air climatisée » qui sont les plus suceptible de » sentir » un problème.
C’est pas la ménopause: elle fait de la fièvre pour se débarrasser des méchants microbes responsables des maux qui l’affligent!
Ces «rapports scientifiques» n’ont rien de nouveau. Il en sort trois par semaines à peu près…
Je pense qu’il faut excercer son esprit critique face à ce catastrophisme ambiant. Il faut se rappeler qu’avant l’effet de serre, il y a eu les «grandes peurs» de la couche d’ozone, de la surpopulation (et maintenant c’est la peur inverse: le vieillissement), de l’épuisement «imminent» des ressources (le fameux rapport de Rome), etc. Sans compter, dans un autre ordre d’idées, la farce du bogue de l’an 2000.
Les mesures fiables de température ne datent que d’un siècle et demi tout au plus et il y a suffisamment de stations météo pour dresser un portrait fiable du climat global depuis beaucoup moins de temps (il y avait combien de stations météo en Afrique il y a 60 ans?). Alors je reste perplexe losqu’on m’«assure» qu’il fait plus chaud aujourd’hui qu’à l’époque de Nabuchodonosor…
…les stations de ski sont dans la merde,
et ils ne le savent pas encore.
a ceux qui possedent des actions de stations de ski: VENDEZ PENDANT QU’IL N’EST PAS TROP TARD!
Ou bedon de la fièvre pour combattre un virus ou bedon les chaleurs de la ménopause.
Je suis presque sûre que si tu vous fêtes une petite recherche, vous allez trouver ses scientifiques qui vont affirmer le contraire.
Mais est-ce crédible quand on sait qui les financent?
L’effet de serre est un phénomène qui fait l’unanimité dans les milieux scientifiques, après un long processus de discussions animées depuis les années 1990, mis à part, Lomborg, quelques illuminés ou Michael Chrichton (un romancier qui s’improvise expert en climatologie et conseiller de Bush).
Les plus grand scientifiques sont unanimes, si on continue à consommer comme on le faisait jusqu’a maintenant sans changer nos habitudes,
La terre va péter sur nos enfants donc pas sur nous.
Si l’ère de glace a déjà existé…pourquoi pas l’ère de feu? Il est fort possible que la terre se réchauffe naturellement…mais nous l’aidons peut-être un peu à se réchauffer plus rapidement que prévu!
Sinon David Suzuki trouvera certainement un moyen pour nous sauver! Enfin, je l’espère…
…la terre pétera, David Suzuki avec l’age qu’il a,
ne sera plus là pour sauver qui que ce soit.
L’unanimité réelle ou supposée des scientifiques n’est pas une preuve de quoi que ce soit. Ça ne fonctionne pas comme ça en sciences. Les avancées de la science ont été très souvent faites par des gens qui ont pris le contre-pied des consensus de leur époque.
Les types comme Lomborg ont leur utilité. Des romanciers comme Crichton aussi. Il faut sortir des ces mentalités écolo-gauchistes où les sceptiques deviennent automatiquement des suppots du grand capital ou de George Bush. La science avance avec la lutte des idées et les sceptiques sont nécessaires.
Remontons aux années 1970. La «grande peur» de cette époque était la surpopulation. On a fait un film sur ce fantsame: «Soleil Vert». Les David Suzuki de l’époque avaient aussi «sonné l’alarme». Aujourd’hui, ce «problème» est disparu des écrans radar et la population a même commencé à décliner dans certains pays (Russie, Allemagne, etc.)! Autres temps, autres peurs.
Au nord, les banquises fondent. Y a 3 ans, on a observé que les ours polaires s’étaient adaptés à ce phénomène. Chasseur solitaire depuis la nuit des temps, le voilà qui s’associait avec ses semblables pour attraper ses proies.
L’hiver dernier, comme les banquises fondent 2 fois plus vite que prévu, l’ours polaire s’est de nouveau adapté au manque de nourriture. Il est devenu cannibale. Pour la première fois depuis qu’ils les observent, des scientifiques ont vu des ours polaires manger les petits d’une femelle venant d’accoucher. Après ils ont dévorés la femelle.
Les changements climatiques sont visibles et bien réels. Juste à me souvenir des hivers de ma jeunesse pour comprendre que y a quelque chose de déréglé sur notre tite planète. Même les étés ne sont plus comme avant. Y a seulement la droite individualiste pour nier le phénomène. C’est tellement plus important de sauvegarder l’économie.
La culture de la peur qui est encore à l’oeuvre.
Dans les années 1970, on annonçait que la terre se REFROIDISSAIT et que l’on se dirigeait vers une catastrophe. En 1976, cette « nouvelle » avait même fait la manchette de Newsweek et de L’express.
Probablement que la terre se réchauffe actuellement, mais c’est sans doute un cycle naturel, comme cela a été le cas entre 1945 et 1975 lorsque la température moyenne a diminué.
Il y a quelque chose qui ressemble à du fondamentalisme religieux chez les partisans de la théorie du réchauffement catastrophe lorsqu’ils injurient ceux qui émettent des réserves.
Cette théorie, c’est la politisation de la science pour nous faire la morale: il faut à la limite supprimer les voitures et vivre selon les préceptes de la simplicité volontaire. C’est une position qui se défend, mais pas en la camouflant avec des peurs.
Il faut garder un esprit critique.
que ce soit vrai ou pas.
que ça annonce de la merde pour le future ou pas.
une chose est certaine; nous sommes de bien piètres campeurs.
j’ai passé mes étés d’enfance au bord du lac Des Deux-Montagnes, début 70s. Mon ami Stéphane et moi pêchions la perchaude en chaloupe dans une dizaine de pieds d’eau et on pouvait voir les poissons mordre à nos hameçons.
vous ferez ça aujourd’hui ou vous essayerez d’aller vous y baigner sans pogner de bobos…
Crisse! j’ai 40ans et j’ai déja vu un lac mourir…encourageant, hein?
on peut être sceptique devant de telles nouvelles, on se fait tellement remplir, c’est normal, mais regardons autour de nous et soyons honnète, y’a vraiment des transformations qui sont en train de se produire et même de façon assez rapide.
assez pour s’inquiéter…bof, à chacun ses oreilles.
moi ce qui m’inquiète c’est:
1- rien (Kyoto mon cul!)n’indique que nous ralentirons notre oeuvre de destruction dans un proche avenir.
2- nous sommes tous conscient du phénomène mais en bons humains, nous attendons que le voisin commence à s’évertuer avant de nous y mettre.
3- « ils sont ou les breaks la-dessus? »
on s’amuse bien pour l’instant, c’est drôle on va pouvoir faire pousser des oranges bientôt, yeah!
mais, ce qui m’inquiète, pas pour moi vraiment en fait, c’est qu’on arrive à un point de non-retour et que la nature se mette à faire de plus en plus des siennes sans qu’on puisse faire autre chose que de se le prendre dans la gueule.
n’oublions pas que nous ne sommes pas encore(et loin de l’être)maître de notre beau vaisseau spatial.
Dans les années 70, à la petite école, ils nous informaient des gaz à effet de serre, de la couche d’ozone, de la déforestation, du réchauffement de la planète et autres.
Moi à l’époque je m’en faisais pas. À 7, 8 ou 9 ans, quand les adultes soulèvent des problèmes aussi graves on se dit : bof, c’est des grandes personnes, y vont trouver une solution et quand moi je serai grand, ils auront réglé tout ça. C’est fou ce que ça peut se montrer naïf un enfant, non?
Ce que je trouve insultant, c’est que ces problèmes étaient décriés par les écolos y a longtemps. Et tout ce que les apôtres de l’économie ont trouvés à faire est de rire d’eux et de les discréditer. Encore aujourd’hui, la droite se moque des écolos. Pourtant si on les avait écoutés y a 30 ans, on serait peut-être en train de renverser la vapeur aujourd’hui.
– Des voitures moins polluantes (on y arrivait dans les années 80, avant que Reagan ne déréglemente l’industrie automobile qui devait alors se conformer à de nouvelles règles adoptées fin 70…)
– Des toîts verts (la technologie existe et a prouvée son efficacité. Et en plus de limiter le traitement des eaux usées, elle réduirait la chaleur des villes de 5 degrés celcius si son application devenait obligatoire)
Plein de mesures pourraient être adoptées sans qu’on ait à changer radicalement notre mode de vie. Faudrait seulement avoir le courage politique de les promouvoir.
C’est sûr, un toît vert c’est plus cher qu’un toît enduit de goudron et de garnotte…
Garder son esprit septique et critique, oui, mais pas tomber dans l’inconscience.
Et surtout ne pas continuer a vivre comme on le faisait jusqu’à maintenant
Avec arrivée de la chine et l’Inde dans le système de consommations.
Et s’ils vont se mettre à consommer comme on le fait ici, unanimement les scientifiques disent que ça va péter,
mais qui va être là pour constater?
Y faut être obtus, ou alors endormi, pour ne pas se rendre compte que cracher toute cette merde dans notre atmosphère entraîne à plus ou moins long terme un problème. C’est une logique implacable. Pas besoin d’études ou de statistiques pour comprendre ça… cette folie pétro-chimique ne peut continuer.
C’est drôle quand même, on vit à une époque où la science est reine, on croit aux inventions technologiques (dans les médias, la médecine, le divertissement, l’exploration spatiale, etc.), on est heureux d’avoir une « économie du savoir », jamais autant de gens ne sont allés à l’université, on a des centres de recherche de pointe…
Mais on est incapable de débattre d’un problème scientifique de matière intelligente.
D’un côté, certains croient à la « certitude » absolue de la science, chose qui n’existe jamais, et de l’autre, les gens croient que la science ne veut rien dire, que dès qu’une étude en conteste 2000 autres ca veut dire que la théorie est ébranlée…
Je crois qu’on a besoin :
1) D’une solide culture scientifique de base qui fait que la majorité comprendrait ce qu’est la science et ce que ce n’est pas.
2) D’une meilleure diffusion des connaissances scientifiques qui ferait que nous serions davantage à l’abris des propagandes de certaines groupes d’intérêts qui se font passer pour de la science sérieuse : comme ca on aurait pas besoin de se taper des rapports de 1000 pages pour avoir la vérité sur n’importe quel sujet.
Parce que c’est ca le problème aujourd’hui : M. Tout le monde n’a ni le temps ni les compétences pour savoir ce qui se fait en science. Si ce n’est pas de la désinformation ca… je ne sais pas ce que c’est! Quand Jean Coutu finance les recherches et que la personne qui les lit n’a même pas un cégep en science, eh bien, bonjour les dégâts quand vient le temps de débattre de sujets « chauds » en science!
Amis droitistes, voici quelques unes des mesures que Bush s’est empressé d’adopter après avoir volé la maison blanche en 2000 :
– Réduire de 50% le budget de la recherche sur les énergies renouvelables;
– Rejeter le règlement réduisant les niveaux acceptables d’arsenic dans l’eau potable;
– Réduire de 30% le budget de recherche pour des véhicules moins polluants;
– Réduire d’un demi-milliard (500 millions!!!) le budget de l’Agence de protection de l’environnement. J’arrête ici, la liste est trop longue.
Tout ça pour quoi? Je vous le donne en mille : pouvoir octroyer des baisses d’impôt aux riches. Il est beau votre maître à penser, hein? Sans compter la censure du rapport de la NASA concernant le réchauffement planétaire.
Le scepticisme n’est pas un doute gratuit ou une attaque ad hominem envers une thèse qui nous déplaît.
Par exemple, une assertion comme « les mesures fiables de température ne datent que d’un siècle et demi tout au plus » est hors sujet car elle passe sous silence ce que l’on veut mesurer, i.e. l’évolution du climat sur des ères géologiques, et laisse entendre que l’on ne peut connaître que 150 ans de températures. Or les carrotages de sites anciens (arctiques) permettent de d’estimer les climats d’époques anciennes par analyse de bulles d’air fossilisées. Et il y a une corrélation entre les débuts de l’activité industrielle (vers 1750) et des hausses globales de température qui semblent ne pas faire partie d’un cycle « naturel » de refroidissement/réchauffement. http://www.manicore.com/documentation/serre/passe.html
Même si l’industrie humaine était innocentée, il conviendrait de ne pas jeter d’huile sur le feu et de ne pas accentuer le tendance, comme il est sage de ne pas habiter les flancs d’un volcan actif.
Quant à la science, elle ne prétend pas livrer la vérité absolue sur tous les sujets, elle représente plutôt le minimum de connaissances que l’on peut raisonnablement considérer comme les plus proches d’une réalité objective à notre époque. Elle évolue avec le temps par essais et erreur.
Nier la validité de la science entière parce qu’elle a commis des erreurs est une absurdité. Mentionner des erreurs passées pour dénigrer une nouvelle théorie ou prédiction, ce n’est pas du scepticisme, ce n’est pas une démonstration et c’est l’expression d’une incapacité biaisée de raisonnement, voire de malhonnêteté.
Je suis toujours surpris à chaque fois que je constate à quel point l’écologisme est devenu une religion. On attend l’apocalypse annoncée par les curés écologistes. Pourtant, la pollution n’est pas un problème récent qui empire, c’est un vieux problème qui s’améliore. Les villes au 18e siècle étaient considérablement plus polluées que maintenant.
Pour ceux qui veulent réfléchir et non pas seulement croire béatement, vous pouvez connaître rapidement le point de vue sceptique scientifique sur le réchauffement planétaire en consultant le site http://www.climat-sceptique.com.
La théorie du réchauffement catastrophe fait notamment l’affaire du lobby écologiste, qui mousse sa morale, et de plusieurs scientifiques qui voient leur subventions de recherche augmenter. Tout ça en exploitant le potentiel de peur qui sommeille en chacun de nous.
La majorité des informations sur le sujet diffusées dans les médias provient d’un groupe formé par l’ONU, le GIEC. Il ne pourra continuer à exister et à obtenir son généreux financement que s’il réussit à rendre cette théorie crédible. Il s’y emploie avec ardeur.
Je suis désolé que l’on rabaisse la discussion sur le sujet à une question de gauche et de droite. C’est puéril. Il me semble que vouloir comprendre et ne pas se faire berner doit être une préoccupation de tous.
Le climat est un phénomène tellement complexe que la science ne comprend pas la majeure partie de ses mécanismes. On n’est même pas capable de prédire correctement le temps qu’il fera dans deux jours. Imaginez dans cinquante ans.
Le défi, c’est de distinguer les vrais problèmes par rapport à des peurs irrationnelles ou suscitées à des fins politiques.
Ce qui me rend terriblement mal à l’aise face au ton que prend le débat sur le réchauffement dans les médias ou sur les blogues comme ici est le caractère quasi « hérétique » de tout doute exprimé sur le sujet…
Qu’est-ce que ça peut bien faire que des gens doutent? Parce que Bush et sa bande « vont s’en servir »? Bush et sa bande sont des crétins finis, on le sait. Peut-on passer à autre chose?
Il n’y a que chez les fanatiques religieux que le doute est proscrit. L’écologisme est-il devenu la nouvelle religion (occidentale) du XXIe siècle?
Je suis l’actualité scientifique depuis longtemps (et pas juste les comptes rendus pré-mâchés des journaux) et je trouve qu’il y a quelque chose qui cloche avec la thèse du réchauffement (artificiel). C’est comme ça.
Il y a unanimité des scientifiques sur le réchauffement de la planète,
Ce que les scientifiques constatent c’est une augmentation de température moyenne.
Une diminution de la couverture glaciaire
Une augmentation des niveaux de la mer
Plus de précipitations et d’ouragan
Augmentation de températures extrêmes
la banquise disparaît plus vite que jamais auparavant
La fonte de la banquise arctique, le signe le plus visible jusqu’à présent du réchauffement planétaire
D’après ce que j’ai lu je me suis permis de dire que si on continue de consommer comme on l’a toujours fait, la terre pétera.
Peut-être que la terre ne pétera pas, à cause que les ressources pétrolières sont limitées
et viendra un jour ou il y aura pas de pétrole.
De toute façon même certain sceptique commence a dire que peut-être qu’il y a quelque chose, après tout, dans cette affaire de réchauffement planétaire.
Très correct de douter. Sauf que quand y a urgence comme c’est le cas maintenant (quoi qu’en disent certains, les scientifiques sont majoritaires dans leurs conclusions), le doute est malvenu. Sur ce sujet, vaudrait mieux prévenir que guérir, non? Z’aimez mieux vous fermer les yeux jusqu’au jour où il sera trop tard?
C’est certain que si une partie de la population refuse de voir le problème (ignorance?, mauvaise foi?, peur d’être pris pour un gogauche?) on règlera jamais rien.
La planète, on la voit dépérir avec nos yeux! Pas besoin d’un microscope ou autres appareils scientifiques!
Et comment convaincre de l’urgence d’agir si à chaque fois on nous compare à des curés? L’écologisme la nouvelle religion? Pas obligé d’être endoctriné pour développer sa conscience sociale.
Bien sûr l’individualisme, une autre religion…
Alors continuons à envoyer nos polluants domestiques et industriels dans la nature en se disant que de toute façon, les preuves sont pas faites que c’est mauvais…
Ça me fait penser au terrain de mon ancienne cour d’école… Il était contaminé au plomb mais c’est pas grave. Ça peut juste entrainer des problèmes neurologiques chez les enfants. Aujourd’hui, j’ai beaucoup de difficulté à rester concentré longtemps, mais c’est sûrement pas à cause du plomb…
Me semble qu’on devrait prendre la menace au sérieux avant d’être pris pour faire ce genre d’admission : Oups! Les écolos avaient raison… Keuf! Keuf! De l’air svp!
« Le climat est un phénomène tellement complexe que la science ne comprend pas la majeure partie de ses mécanismes. On n’est même pas capable de prédire correctement le temps qu’il fera dans deux jours. Imaginez dans cinquante ans. »
Le climat et la météorologie sont deux choses distinctes, le premier étant une moyenne à long terme des valeurs temps-réel de la seconde.
Les deux sont des phénomènes chaotiques qui diffèrent par leur horizon temporel. Faire des projections climatiques sur une échelle de décennies n’est pas plus absurde que des prédictions météo sur quelques jours, les deux cas restants tributaires de probabilités.
« Pourtant, la pollution n’est pas un problème récent qui empire, c’est un vieux problème qui s’améliore. Les villes au 18e siècle étaient considérablement plus polluées que maintenant. »
Une éventuelle amélioration sanitaire et une diminution de la pollution des villes ne dit rien sur l’indice de pollution planétaire : à l’époque, pas de marées noires ou de déchets radioactifs, par exemple. D’autre part, la nature des pollutions à changé, les déjections jetées dans la rue font maintenant place aux plastiques et gaz d’échappements, entre autres.
Quant au doute, il est tout sauf interdit. Et, comme les sacro-saintes « opinions », pour qu’il ait de la valeur, il faut qu’il soit argumenté par des faits.
Outre le climat, vu l’accroissement exponentiel de la population mondiale, le fond de l’histoire est le dilemme de la cigale et de la fourmi : est-il plus souhaitable de prendre par précaution le parti le plus défavorable, i.e. diminuer l’intensité de l’exploîtation de la planète au cas où les écolos alarmistes ne soient pas complètement dans les choux ? ou bien devrions-nous aller de l’avant en toute quiétude et pomper-produire au rythme de la croissance qu doit toujours augmenter au cas où la planète serait un écosystème infini et une source auto-renouvelable de matières premières ?
Ok… supposons que le réchauffement de la planète causé par l’être humain ne soit pas vrai (j’en doute, mais bon…). Est-ce qu’on s’entend pour dire qu’il y a quand même un maudit gros problème de pollution et de déforestation causé par l’homme? Que même si on est pas certain, on ferait peut-être mieux de faire attention et que chacun fasse sa part dans la mesure de ses moyens, en consommant moins? Le transport en commun, c’est pas toujours évident quand t’habite en région… mais ya-ti kékun qui peut me dire c’est quoi le l’idée pour un gars de Montréal ou de Québec d’avoir un Hummer!!!??? Ce gros engin inutile est tellement le symbole de l’individualisme crasse de notre société, je comprends pas ce que ça fait sur nos routes… »Hey, moé j’ai les moyens de m’en payer un Hummer, fa-que les écolos, qu’ils mangent d’la mar… »! Je ne suis pas un fanatique, mais ce serait pas possible de faire un effort pour consommer un peu moins d’énergie… juste au cas? Non? Ah, c’est vrai ça pourrait nuire à mon petit confort et à l’économie… pis dans l’fond, c’est les autres générations qui vont avoir le problème…qu’ils se débrouillent!
La rue Papineau, comme d’autres, est « jammée » au coton de 16h à 18h30. J’habite pas loin et je passe souvent par là.
M’font rire dans leurs petites boites cancéreuse, à un/une par auto. J’ai souvent rêvé de me faire une pancarte pour leur suggérer de faire du covoiturage, elle pourrait être grande et bien remplie de texte; ils ont en masse le temps de lire…
4 par auto ça ferait 3 fois moins de traffic, hey! ça m’a tellement pris des longues études pour la figurer celle-là.
un flashouillet: si tu peux pas enfermer les gens dans des cellules, tu leur construis des cellules qu’ils peuvent partir avec…et en plus c’est à leur frais! BigBro aurait pas mieux fait.
Dans le fond ce symbole de liberté n’est que ça: un symbole. Au fond ce n’est qu’une cellule de prison et une prison dans le même quelques mille livres de métal.
Ce qui est enfermé dans ces prisons c’est notre solidarité sociale et notre capacité d’être « nous » plus que « moi »; c’est un coût très élevé pour rêver d’être libre, non?
Les habitants de l’île de Pâques sont disparus parce qu’ils sont venu à bout de leurs ressources limités et qu’ils ont été incapable de se trouver un autre habitat à scraper. Peut-être que leurs grosses statues nous disent: « on voulait arrêter de scraper notre île mais nous étions certains que nous pourrions un jour trouver au loin par-dela l’océan une autre île ou mieux un continent. »
C’est quoi encore le proverbe?
Ceux qui ne tirent pas de leçons de leur histoire sont condamnés à la répéter…
Quand les écologistes nous disent qu’il vaudrait mieux réduire l’utilisation de l’auto, et même l’abandonner, moins consommer, fréquenter plus souvent le transport en commun, etc., que ce sont des façons plus intelligentes de vivre, je trouve que ce sont des arguments qui se défendent, on peut en discuter.
Mais quand on met de l’avant un scénario catastrophe en disant qu’il se produira si on ne suit pas ces consignes, là je ne suis plus. Je me dis que les écologistes n’ont pas confiance en leurs arguments rationnels, ils ne les trouvent pas assez convaincants. Plutôt que de chercher à persuader les gens, ils cherchent un argument massue pour ne pas avoir à le faire, pour clore la discussion.
En fait, les écologistes ne veulent pas savoir si la théorie du réchauffement catastrophe est vraie ou non. Ils s’en fichent. On ne voit que son utilité: s’en servir pour changer le comportement des gens.
Fermer les fenêtres de votre appart ou maison pis faites plein de boucanes à l’intérieur on verra ce qui arrivera…
En passant l’atmosphere n’est pas infini, c’est une mince couche d’oxygène d’a peine quelques dizaines de kilomètres d’épaisseur.
Et très bientot, des centaines de millions d’indiens et chinois vont se mettre à boucaner comme nous… ca va etre beau en sale !
L’environnement commence dans notre maison et notre façon de vivre…Ni la gauche, ni la droite, qui parlent pour rien dire…Il y a déjâ dans notre maison des déchets toxiques, dans nos produits ménagers et les produits de soins corporels…J’ai vu une émission qui mettait en relief les dangers pour la santé de ces produits.Je ne peux m’empêcher de parler de PUB Honda, qui a mis le paquet dans le contenant!
Oui la Terre vieillit, mais avec nous dessus, elle va â vitesse grand V. Depuis qu’on a dit (Albert Jacquard) qu’il n’y a pas assez pour que toute la planète vivent â notre mode nord-américaine, car pas assez de ressources, on dirait que c’est la relax…On s’en fait plus vraiment. Nous devrions comme premier acte de solidarité devenir membre de Greenpeace. Ça s’en vient? la levée du moratoire sur la chasse aux baleines (pour le Japon)!. De plus, c’est irrésponsable de laisser un pays qui veut dévelop du nucléaire militaire, regardez l’ex. URSS avec tous son arsenal nucléaire militaire laissé en plan lâ, même sans surveillance. Les pays occidentaux, dont le Canada donne des milliards pour nettoyer et décontaminer des navires, sous-marins de guerre Russe. Et Chernobyl, c’est pas fini, le coffrage (payé par L’Euro) de béton arrive â échéance! Le Canada a même fait des traitements (importé de URSS) de déchets nucléaires! Le Canada est en Artique côté Russe entrain de faire du décontaminage ($). D’oû la nécessité des pays de signer l’accord de non prolifération de l’arme nucléaire (l’Iran l’a signé). Des pays sous développés (Corée du Nord,l’Iran) qui se dotent de l’arme nucléaire et qui ne sont pas responsables des déchets nucléaires! Comme a dit un russe qui vivait dans le fond de la Russie, si l’occident a peur des radiations qu’il vient s’en occuper! L’eau ici est polluée! On doit faire de l’éducation lâ dessus! Pourquoi je parle de Greenpeace en ce momemt, leur navire a retrouvé le navire qui a déversé les déchets toxiques en Côte-d’Ivoire, en Estonie.
Il faut faire attention de ne pas mélanger les polluants toxiques (ou radioactifs) et le CO2.
Le CO2 n’est pas un gaz toxique artificiel mais un gaz aussi naturel que l’oxygène peut l’être (la respiration animale en produit, la photosnynthèse des plantes l’utilise). Et si plusieurs scientifiques mettent en cause le CO2 dans le processus de réchauffement, sa toxicité biologique est nulle, à moins d’en respirer un méchant paquet (c’est sûr que respirer du CO2 pur, ça ne fonctionne pas…).
Le taux de CO2 dans l’atmosphère est d’environ 350 ppm (parties par million). Il était autour de 200 ppm avant l’ère industrielle. Je ne dis pas qu’il est souhaitable de jouer à l’«apprenti sorcier» et de rejeter du CO2 à l’infini dans l’atmosphère mais il faut arrêter de charrier, de rajouter sans cesse une couche aux discours catastrophistes servis dans les médias. Le problème est qu’une multitude d’études scientifique sont publiées chaque année concernant le climat mais que celles qui se frayent un chemin jusqu’aux médias grand public sont toujours les plus sensationnalistes et généralement celles qui cadrent avec le discours à la mode.
-Prendre sa voiture seul(e),ca ne sera jamais l’idéal
pour l’environnement.
-Rouler en Hummer ou même en 4X4,la plupart du temps,
c’est inutile.
-Il y a bel et bien un réchauffement planétaire,et il est certain,logiquement,que toute source de chaleur y
contribue(soleil,volcans,feux de forêts,pétrole,gaz à effets de serre),ainsi que d’autres phénomènes,tels que la réflection sur la poussière atmosphérique.
-Il ne faut pas croire tout ce que les médias nous disent.
-Si un lobby quelconque complote,nous ne le saurons pas tout de suite,mais lorsqu’il sera « trop tard ».
-Sans les combustibles fossiles nous ne serions pas
grand chose,et lorsque nous les aurons épuisés,
on va s’ennuyer de notre maman…
-Si on est vraiment écolo,on doit habiter ou c’est déja
pollué pour ne pas nuire au reste de l’environnement,non?
chaque fois que je reviens au quebec je suis surppris par le nombre grandissant de grosses macchines
au moins les francais ont compris que des ptits chars ca roule aussi bien
Tiens je viens de lire dans « cette semaine » (de Voir) Albert Jacquard!!
Juste cette semaine on a vu apparaître 5 nouvelles études scientifiques (dont une de la NASA) qui admettent tous ceci: Les prédictions les plus pessimistes quand au réchauffement planétaire étaient en fait trop… optimistes!
Allez lire le dossier de ce matin dans La Presse (pages A2 et A3). Vous y apprendrez que dans le grand nord québécois et canadien, le sol qui reste gelé normallement durant l’été commence maintenant à ramollir.
Les ours polaires disparaîssent à un rythme affolant et ceux qui restent ont perdu 1/4 de leur poids et se bouffent entre eux…
D’ici 2020 la planète pourrait avoir changée radicalement… 2020!!! C’est même plus nos petits enfants qui seront pris avec le problème, c’est nous!
« Selon un rapport scientifique dévoilé aujourd’hui, la température de la Terre n’a jamais été aussi élevée. »
Ton énoncé prend un autre sens lorsque cité en entier…tu aurrai pu dire « depuis des milliers d’années ». La température à effectivement déja été aussi élevée, même plus! Imagine donc la période jurassique qui avait des niveaux de Co2 atmosphériques presque 5 fois plus élevés qu’aujourd’hui!
«Les ours polaires disparaîssent à un rythme affolant et ceux qui restent ont perdu 1/4 de leur poids et se bouffent entre eux»
Mon commentaire: a-t-on un décompte global de tous les ours polaires du nord du continent entre l’année 19xx et 2006? La réponse est probablement non. Dans ces conditions, il n’y a aucune preuve d’une disparition à un «rythme affolant» des ours polaires. De plus, combien d’ours sont tués par la chasse? N’oublions pas que le population inuit est en croissance et que ceux-ci disposent maintenant de fusils et de ski-doos… Si on n’entre pas la chasse (peut-être excessive) dans l’équation, que ce soit la chasse des ours ou de ce que les ours mangent, un (hypothétique) déclin des ours polaires n’est pas une preuve de quoi que ce soit quant au réchauffement et à ces effets. Ceux, dans les médias, qui colportent ces à-peu-près ne sont rien d’autre que de vulgaires propagandistes. On veut «prouver» le réchauffement et ses effets «catastrophiques» et on va chercher N’IMPORTE QUOI pour le «prouver», sans vérifier d’aucune façon la validité du «raisonnement» sous-jacent.
Pour ceux qui se poseraient la question, oui ils tiennent un décompte des ours polaires.
Juste entre 1989 et 2004, la population est passée de 1200 à 950… Une baisse de 22% en 5 ans! Sans compter le poids corporel des femelles qui diminue d’année en année.
Et normallement, même avec le braconnage (la chasse à l’ours blanc est interdite), ils réussissaient à maintenir leur communauté. Plus aujourd’hui. Ils sont maintenant considérés comme une espèce en voie d’extinction.
Des scientifiques ont observés des spécimens qui nagaient dans les eaux artiques à la recherche d’une banquise fondue et qui se noyaient d’épuisement…
Un dernier mot pour les bélugas du Saint-Laurent. Ils étaient 400 000 têtes dans les années 40. Il en reste moins de 2000…
Je viens de lire des bouts des articles de La Presse. C’est écrit par François Cardinal, dont le ton des articles est systématiquement catastrophiste…
Le « décompte des ours polaires » est un bel exemple de traitement bancal des données par les médias. On dit que l’institut Goddard a calculé qu’entre 1989 et 2004, le nombre d’ours polaires est passé de 1200 à 950… Mais il s’agit des ours polaires de quel endroit?? Ceux sur le territoire américain (en Alaska)? Si c’est le cas, peut-être y a-t-il eu simplement migration?… Moi je parle du nombre global d’ours polaires d’Amérique du Nord et du Groenland. Mais je ne peux pas me fier à l’article de La Presse puisque l’autour n’a pas cru bon de spécfier de quels ours dont il s’agissait…
De plus, on dit qu’on a « calculé » la population. C’est quoi ça, « calculé »? On les a dénombrés ou bien on a entré des données parcellaires dans un programme pour évaluer leur nombre?
Il y a autant de danger avec le CO2 que dans les pollutions toxiques et radioactives pour l’humanité.
Sûrement que la terre combat un gros vilain virus, cousin de l’indifférence et parent proche de l’ingnorence.
49 degré celcius le premier août dernier avec le facteur humidex ( porteur de mauvaise nouvelle ). L’inconfort à son apogée. Peut- être que Dame Nature est dans sa ménopause.
C’est pas ceux qui se mettent la tête dans » l’air climatisée » qui sont les plus suceptible de » sentir » un problème.
C’est pas la ménopause: elle fait de la fièvre pour se débarrasser des méchants microbes responsables des maux qui l’affligent!
Ces «rapports scientifiques» n’ont rien de nouveau. Il en sort trois par semaines à peu près…
Je pense qu’il faut excercer son esprit critique face à ce catastrophisme ambiant. Il faut se rappeler qu’avant l’effet de serre, il y a eu les «grandes peurs» de la couche d’ozone, de la surpopulation (et maintenant c’est la peur inverse: le vieillissement), de l’épuisement «imminent» des ressources (le fameux rapport de Rome), etc. Sans compter, dans un autre ordre d’idées, la farce du bogue de l’an 2000.
Les mesures fiables de température ne datent que d’un siècle et demi tout au plus et il y a suffisamment de stations météo pour dresser un portrait fiable du climat global depuis beaucoup moins de temps (il y avait combien de stations météo en Afrique il y a 60 ans?). Alors je reste perplexe losqu’on m’«assure» qu’il fait plus chaud aujourd’hui qu’à l’époque de Nabuchodonosor…
…les stations de ski sont dans la merde,
et ils ne le savent pas encore.
a ceux qui possedent des actions de stations de ski: VENDEZ PENDANT QU’IL N’EST PAS TROP TARD!
Ou bedon de la fièvre pour combattre un virus ou bedon les chaleurs de la ménopause.
Je suis presque sûre que si tu vous fêtes une petite recherche, vous allez trouver ses scientifiques qui vont affirmer le contraire.
Mais est-ce crédible quand on sait qui les financent?
L’effet de serre est un phénomène qui fait l’unanimité dans les milieux scientifiques, après un long processus de discussions animées depuis les années 1990, mis à part, Lomborg, quelques illuminés ou Michael Chrichton (un romancier qui s’improvise expert en climatologie et conseiller de Bush).
Les plus grand scientifiques sont unanimes, si on continue à consommer comme on le faisait jusqu’a maintenant sans changer nos habitudes,
La terre va péter sur nos enfants donc pas sur nous.
Pour en savoir plus, voici quelques sites intéressants:
l’incontournable site du GIEC qui regroupe les meilleurs spécialistes mondiaux dans le domaine: http://www.ipcc.ch/languageportal/frenchportal.htm#1
Si l’ère de glace a déjà existé…pourquoi pas l’ère de feu? Il est fort possible que la terre se réchauffe naturellement…mais nous l’aidons peut-être un peu à se réchauffer plus rapidement que prévu!
Sinon David Suzuki trouvera certainement un moyen pour nous sauver! Enfin, je l’espère…
…la terre pétera, David Suzuki avec l’age qu’il a,
ne sera plus là pour sauver qui que ce soit.
L’unanimité réelle ou supposée des scientifiques n’est pas une preuve de quoi que ce soit. Ça ne fonctionne pas comme ça en sciences. Les avancées de la science ont été très souvent faites par des gens qui ont pris le contre-pied des consensus de leur époque.
Les types comme Lomborg ont leur utilité. Des romanciers comme Crichton aussi. Il faut sortir des ces mentalités écolo-gauchistes où les sceptiques deviennent automatiquement des suppots du grand capital ou de George Bush. La science avance avec la lutte des idées et les sceptiques sont nécessaires.
Remontons aux années 1970. La «grande peur» de cette époque était la surpopulation. On a fait un film sur ce fantsame: «Soleil Vert». Les David Suzuki de l’époque avaient aussi «sonné l’alarme». Aujourd’hui, ce «problème» est disparu des écrans radar et la population a même commencé à décliner dans certains pays (Russie, Allemagne, etc.)! Autres temps, autres peurs.
Au nord, les banquises fondent. Y a 3 ans, on a observé que les ours polaires s’étaient adaptés à ce phénomène. Chasseur solitaire depuis la nuit des temps, le voilà qui s’associait avec ses semblables pour attraper ses proies.
L’hiver dernier, comme les banquises fondent 2 fois plus vite que prévu, l’ours polaire s’est de nouveau adapté au manque de nourriture. Il est devenu cannibale. Pour la première fois depuis qu’ils les observent, des scientifiques ont vu des ours polaires manger les petits d’une femelle venant d’accoucher. Après ils ont dévorés la femelle.
Les changements climatiques sont visibles et bien réels. Juste à me souvenir des hivers de ma jeunesse pour comprendre que y a quelque chose de déréglé sur notre tite planète. Même les étés ne sont plus comme avant. Y a seulement la droite individualiste pour nier le phénomène. C’est tellement plus important de sauvegarder l’économie.
La culture de la peur qui est encore à l’oeuvre.
Dans les années 1970, on annonçait que la terre se REFROIDISSAIT et que l’on se dirigeait vers une catastrophe. En 1976, cette « nouvelle » avait même fait la manchette de Newsweek et de L’express.
Probablement que la terre se réchauffe actuellement, mais c’est sans doute un cycle naturel, comme cela a été le cas entre 1945 et 1975 lorsque la température moyenne a diminué.
Il y a quelque chose qui ressemble à du fondamentalisme religieux chez les partisans de la théorie du réchauffement catastrophe lorsqu’ils injurient ceux qui émettent des réserves.
Cette théorie, c’est la politisation de la science pour nous faire la morale: il faut à la limite supprimer les voitures et vivre selon les préceptes de la simplicité volontaire. C’est une position qui se défend, mais pas en la camouflant avec des peurs.
Il faut garder un esprit critique.
que ce soit vrai ou pas.
que ça annonce de la merde pour le future ou pas.
une chose est certaine; nous sommes de bien piètres campeurs.
j’ai passé mes étés d’enfance au bord du lac Des Deux-Montagnes, début 70s. Mon ami Stéphane et moi pêchions la perchaude en chaloupe dans une dizaine de pieds d’eau et on pouvait voir les poissons mordre à nos hameçons.
vous ferez ça aujourd’hui ou vous essayerez d’aller vous y baigner sans pogner de bobos…
Crisse! j’ai 40ans et j’ai déja vu un lac mourir…encourageant, hein?
on peut être sceptique devant de telles nouvelles, on se fait tellement remplir, c’est normal, mais regardons autour de nous et soyons honnète, y’a vraiment des transformations qui sont en train de se produire et même de façon assez rapide.
assez pour s’inquiéter…bof, à chacun ses oreilles.
moi ce qui m’inquiète c’est:
1- rien (Kyoto mon cul!)n’indique que nous ralentirons notre oeuvre de destruction dans un proche avenir.
2- nous sommes tous conscient du phénomène mais en bons humains, nous attendons que le voisin commence à s’évertuer avant de nous y mettre.
3- « ils sont ou les breaks la-dessus? »
on s’amuse bien pour l’instant, c’est drôle on va pouvoir faire pousser des oranges bientôt, yeah!
mais, ce qui m’inquiète, pas pour moi vraiment en fait, c’est qu’on arrive à un point de non-retour et que la nature se mette à faire de plus en plus des siennes sans qu’on puisse faire autre chose que de se le prendre dans la gueule.
n’oublions pas que nous ne sommes pas encore(et loin de l’être)maître de notre beau vaisseau spatial.
Dans les années 70, à la petite école, ils nous informaient des gaz à effet de serre, de la couche d’ozone, de la déforestation, du réchauffement de la planète et autres.
Moi à l’époque je m’en faisais pas. À 7, 8 ou 9 ans, quand les adultes soulèvent des problèmes aussi graves on se dit : bof, c’est des grandes personnes, y vont trouver une solution et quand moi je serai grand, ils auront réglé tout ça. C’est fou ce que ça peut se montrer naïf un enfant, non?
Ce que je trouve insultant, c’est que ces problèmes étaient décriés par les écolos y a longtemps. Et tout ce que les apôtres de l’économie ont trouvés à faire est de rire d’eux et de les discréditer. Encore aujourd’hui, la droite se moque des écolos. Pourtant si on les avait écoutés y a 30 ans, on serait peut-être en train de renverser la vapeur aujourd’hui.
– Des voitures moins polluantes (on y arrivait dans les années 80, avant que Reagan ne déréglemente l’industrie automobile qui devait alors se conformer à de nouvelles règles adoptées fin 70…)
– Des toîts verts (la technologie existe et a prouvée son efficacité. Et en plus de limiter le traitement des eaux usées, elle réduirait la chaleur des villes de 5 degrés celcius si son application devenait obligatoire)
Plein de mesures pourraient être adoptées sans qu’on ait à changer radicalement notre mode de vie. Faudrait seulement avoir le courage politique de les promouvoir.
C’est sûr, un toît vert c’est plus cher qu’un toît enduit de goudron et de garnotte…
Garder son esprit septique et critique, oui, mais pas tomber dans l’inconscience.
Et surtout ne pas continuer a vivre comme on le faisait jusqu’à maintenant
Avec arrivée de la chine et l’Inde dans le système de consommations.
Et s’ils vont se mettre à consommer comme on le fait ici, unanimement les scientifiques disent que ça va péter,
mais qui va être là pour constater?
Y faut être obtus, ou alors endormi, pour ne pas se rendre compte que cracher toute cette merde dans notre atmosphère entraîne à plus ou moins long terme un problème. C’est une logique implacable. Pas besoin d’études ou de statistiques pour comprendre ça… cette folie pétro-chimique ne peut continuer.
C’est drôle quand même, on vit à une époque où la science est reine, on croit aux inventions technologiques (dans les médias, la médecine, le divertissement, l’exploration spatiale, etc.), on est heureux d’avoir une « économie du savoir », jamais autant de gens ne sont allés à l’université, on a des centres de recherche de pointe…
Mais on est incapable de débattre d’un problème scientifique de matière intelligente.
D’un côté, certains croient à la « certitude » absolue de la science, chose qui n’existe jamais, et de l’autre, les gens croient que la science ne veut rien dire, que dès qu’une étude en conteste 2000 autres ca veut dire que la théorie est ébranlée…
Je crois qu’on a besoin :
1) D’une solide culture scientifique de base qui fait que la majorité comprendrait ce qu’est la science et ce que ce n’est pas.
2) D’une meilleure diffusion des connaissances scientifiques qui ferait que nous serions davantage à l’abris des propagandes de certaines groupes d’intérêts qui se font passer pour de la science sérieuse : comme ca on aurait pas besoin de se taper des rapports de 1000 pages pour avoir la vérité sur n’importe quel sujet.
Parce que c’est ca le problème aujourd’hui : M. Tout le monde n’a ni le temps ni les compétences pour savoir ce qui se fait en science. Si ce n’est pas de la désinformation ca… je ne sais pas ce que c’est! Quand Jean Coutu finance les recherches et que la personne qui les lit n’a même pas un cégep en science, eh bien, bonjour les dégâts quand vient le temps de débattre de sujets « chauds » en science!
Amis droitistes, voici quelques unes des mesures que Bush s’est empressé d’adopter après avoir volé la maison blanche en 2000 :
– Réduire de 50% le budget de la recherche sur les énergies renouvelables;
– Rejeter le règlement réduisant les niveaux acceptables d’arsenic dans l’eau potable;
– Réduire de 30% le budget de recherche pour des véhicules moins polluants;
– Réduire d’un demi-milliard (500 millions!!!) le budget de l’Agence de protection de l’environnement. J’arrête ici, la liste est trop longue.
Tout ça pour quoi? Je vous le donne en mille : pouvoir octroyer des baisses d’impôt aux riches. Il est beau votre maître à penser, hein? Sans compter la censure du rapport de la NASA concernant le réchauffement planétaire.
Sur ces sujets apocalytpiques :
http://www.amazon.fr/L-Humanit%E9-dispara%EEtra-bon-d%E9barras/dp/2700396650
L’auteur :
http://www.nouvellescles.com/Entretien/Paccalet/Paccalet.htm
Entrevue de Henri Laborit :
http://radio-canada.ca/par4/salon/laborit_frameset_inv.html
Le scepticisme n’est pas un doute gratuit ou une attaque ad hominem envers une thèse qui nous déplaît.
Par exemple, une assertion comme « les mesures fiables de température ne datent que d’un siècle et demi tout au plus » est hors sujet car elle passe sous silence ce que l’on veut mesurer, i.e. l’évolution du climat sur des ères géologiques, et laisse entendre que l’on ne peut connaître que 150 ans de températures. Or les carrotages de sites anciens (arctiques) permettent de d’estimer les climats d’époques anciennes par analyse de bulles d’air fossilisées. Et il y a une corrélation entre les débuts de l’activité industrielle (vers 1750) et des hausses globales de température qui semblent ne pas faire partie d’un cycle « naturel » de refroidissement/réchauffement.
http://www.manicore.com/documentation/serre/passe.html
Même si l’industrie humaine était innocentée, il conviendrait de ne pas jeter d’huile sur le feu et de ne pas accentuer le tendance, comme il est sage de ne pas habiter les flancs d’un volcan actif.
Exemple de vrai scepticisme : http://www.sceptiques.qc.ca/ressources/lectures
Quant à la science, elle ne prétend pas livrer la vérité absolue sur tous les sujets, elle représente plutôt le minimum de connaissances que l’on peut raisonnablement considérer comme les plus proches d’une réalité objective à notre époque. Elle évolue avec le temps par essais et erreur.
Nier la validité de la science entière parce qu’elle a commis des erreurs est une absurdité. Mentionner des erreurs passées pour dénigrer une nouvelle théorie ou prédiction, ce n’est pas du scepticisme, ce n’est pas une démonstration et c’est l’expression d’une incapacité biaisée de raisonnement, voire de malhonnêteté.
Je suis toujours surpris à chaque fois que je constate à quel point l’écologisme est devenu une religion. On attend l’apocalypse annoncée par les curés écologistes. Pourtant, la pollution n’est pas un problème récent qui empire, c’est un vieux problème qui s’améliore. Les villes au 18e siècle étaient considérablement plus polluées que maintenant.
Pour ceux qui veulent réfléchir et non pas seulement croire béatement, vous pouvez connaître rapidement le point de vue sceptique scientifique sur le réchauffement planétaire en consultant le site http://www.climat-sceptique.com.
La théorie du réchauffement catastrophe fait notamment l’affaire du lobby écologiste, qui mousse sa morale, et de plusieurs scientifiques qui voient leur subventions de recherche augmenter. Tout ça en exploitant le potentiel de peur qui sommeille en chacun de nous.
La majorité des informations sur le sujet diffusées dans les médias provient d’un groupe formé par l’ONU, le GIEC. Il ne pourra continuer à exister et à obtenir son généreux financement que s’il réussit à rendre cette théorie crédible. Il s’y emploie avec ardeur.
Je suis désolé que l’on rabaisse la discussion sur le sujet à une question de gauche et de droite. C’est puéril. Il me semble que vouloir comprendre et ne pas se faire berner doit être une préoccupation de tous.
Le climat est un phénomène tellement complexe que la science ne comprend pas la majeure partie de ses mécanismes. On n’est même pas capable de prédire correctement le temps qu’il fera dans deux jours. Imaginez dans cinquante ans.
Le défi, c’est de distinguer les vrais problèmes par rapport à des peurs irrationnelles ou suscitées à des fins politiques.
Ce qui me rend terriblement mal à l’aise face au ton que prend le débat sur le réchauffement dans les médias ou sur les blogues comme ici est le caractère quasi « hérétique » de tout doute exprimé sur le sujet…
Qu’est-ce que ça peut bien faire que des gens doutent? Parce que Bush et sa bande « vont s’en servir »? Bush et sa bande sont des crétins finis, on le sait. Peut-on passer à autre chose?
Il n’y a que chez les fanatiques religieux que le doute est proscrit. L’écologisme est-il devenu la nouvelle religion (occidentale) du XXIe siècle?
Je suis l’actualité scientifique depuis longtemps (et pas juste les comptes rendus pré-mâchés des journaux) et je trouve qu’il y a quelque chose qui cloche avec la thèse du réchauffement (artificiel). C’est comme ça.
Il y a unanimité des scientifiques sur le réchauffement de la planète,
Ce que les scientifiques constatent c’est une augmentation de température moyenne.
Une diminution de la couverture glaciaire
Une augmentation des niveaux de la mer
Plus de précipitations et d’ouragan
Augmentation de températures extrêmes
la banquise disparaît plus vite que jamais auparavant
La fonte de la banquise arctique, le signe le plus visible jusqu’à présent du réchauffement planétaire
D’après ce que j’ai lu je me suis permis de dire que si on continue de consommer comme on l’a toujours fait, la terre pétera.
Peut-être que la terre ne pétera pas, à cause que les ressources pétrolières sont limitées
et viendra un jour ou il y aura pas de pétrole.
De toute façon même certain sceptique commence a dire que peut-être qu’il y a quelque chose, après tout, dans cette affaire de réchauffement planétaire.
Très correct de douter. Sauf que quand y a urgence comme c’est le cas maintenant (quoi qu’en disent certains, les scientifiques sont majoritaires dans leurs conclusions), le doute est malvenu. Sur ce sujet, vaudrait mieux prévenir que guérir, non? Z’aimez mieux vous fermer les yeux jusqu’au jour où il sera trop tard?
C’est certain que si une partie de la population refuse de voir le problème (ignorance?, mauvaise foi?, peur d’être pris pour un gogauche?) on règlera jamais rien.
La planète, on la voit dépérir avec nos yeux! Pas besoin d’un microscope ou autres appareils scientifiques!
Et comment convaincre de l’urgence d’agir si à chaque fois on nous compare à des curés? L’écologisme la nouvelle religion? Pas obligé d’être endoctriné pour développer sa conscience sociale.
Bien sûr l’individualisme, une autre religion…
Alors continuons à envoyer nos polluants domestiques et industriels dans la nature en se disant que de toute façon, les preuves sont pas faites que c’est mauvais…
Ça me fait penser au terrain de mon ancienne cour d’école… Il était contaminé au plomb mais c’est pas grave. Ça peut juste entrainer des problèmes neurologiques chez les enfants. Aujourd’hui, j’ai beaucoup de difficulté à rester concentré longtemps, mais c’est sûrement pas à cause du plomb…
Me semble qu’on devrait prendre la menace au sérieux avant d’être pris pour faire ce genre d’admission : Oups! Les écolos avaient raison… Keuf! Keuf! De l’air svp!
« Le climat est un phénomène tellement complexe que la science ne comprend pas la majeure partie de ses mécanismes. On n’est même pas capable de prédire correctement le temps qu’il fera dans deux jours. Imaginez dans cinquante ans. »
Le climat et la météorologie sont deux choses distinctes, le premier étant une moyenne à long terme des valeurs temps-réel de la seconde.
Les deux sont des phénomènes chaotiques qui diffèrent par leur horizon temporel. Faire des projections climatiques sur une échelle de décennies n’est pas plus absurde que des prédictions météo sur quelques jours, les deux cas restants tributaires de probabilités.
« Pourtant, la pollution n’est pas un problème récent qui empire, c’est un vieux problème qui s’améliore. Les villes au 18e siècle étaient considérablement plus polluées que maintenant. »
Une éventuelle amélioration sanitaire et une diminution de la pollution des villes ne dit rien sur l’indice de pollution planétaire : à l’époque, pas de marées noires ou de déchets radioactifs, par exemple. D’autre part, la nature des pollutions à changé, les déjections jetées dans la rue font maintenant place aux plastiques et gaz d’échappements, entre autres.
Quant au doute, il est tout sauf interdit. Et, comme les sacro-saintes « opinions », pour qu’il ait de la valeur, il faut qu’il soit argumenté par des faits.
Outre le climat, vu l’accroissement exponentiel de la population mondiale, le fond de l’histoire est le dilemme de la cigale et de la fourmi : est-il plus souhaitable de prendre par précaution le parti le plus défavorable, i.e. diminuer l’intensité de l’exploîtation de la planète au cas où les écolos alarmistes ne soient pas complètement dans les choux ? ou bien devrions-nous aller de l’avant en toute quiétude et pomper-produire au rythme de la croissance qu doit toujours augmenter au cas où la planète serait un écosystème infini et une source auto-renouvelable de matières premières ?
Ok… supposons que le réchauffement de la planète causé par l’être humain ne soit pas vrai (j’en doute, mais bon…). Est-ce qu’on s’entend pour dire qu’il y a quand même un maudit gros problème de pollution et de déforestation causé par l’homme? Que même si on est pas certain, on ferait peut-être mieux de faire attention et que chacun fasse sa part dans la mesure de ses moyens, en consommant moins? Le transport en commun, c’est pas toujours évident quand t’habite en région… mais ya-ti kékun qui peut me dire c’est quoi le l’idée pour un gars de Montréal ou de Québec d’avoir un Hummer!!!??? Ce gros engin inutile est tellement le symbole de l’individualisme crasse de notre société, je comprends pas ce que ça fait sur nos routes… »Hey, moé j’ai les moyens de m’en payer un Hummer, fa-que les écolos, qu’ils mangent d’la mar… »! Je ne suis pas un fanatique, mais ce serait pas possible de faire un effort pour consommer un peu moins d’énergie… juste au cas? Non? Ah, c’est vrai ça pourrait nuire à mon petit confort et à l’économie… pis dans l’fond, c’est les autres générations qui vont avoir le problème…qu’ils se débrouillent!
La rue Papineau, comme d’autres, est « jammée » au coton de 16h à 18h30. J’habite pas loin et je passe souvent par là.
M’font rire dans leurs petites boites cancéreuse, à un/une par auto. J’ai souvent rêvé de me faire une pancarte pour leur suggérer de faire du covoiturage, elle pourrait être grande et bien remplie de texte; ils ont en masse le temps de lire…
4 par auto ça ferait 3 fois moins de traffic, hey! ça m’a tellement pris des longues études pour la figurer celle-là.
un flashouillet: si tu peux pas enfermer les gens dans des cellules, tu leur construis des cellules qu’ils peuvent partir avec…et en plus c’est à leur frais! BigBro aurait pas mieux fait.
Dans le fond ce symbole de liberté n’est que ça: un symbole. Au fond ce n’est qu’une cellule de prison et une prison dans le même quelques mille livres de métal.
Ce qui est enfermé dans ces prisons c’est notre solidarité sociale et notre capacité d’être « nous » plus que « moi »; c’est un coût très élevé pour rêver d’être libre, non?
Les habitants de l’île de Pâques sont disparus parce qu’ils sont venu à bout de leurs ressources limités et qu’ils ont été incapable de se trouver un autre habitat à scraper. Peut-être que leurs grosses statues nous disent: « on voulait arrêter de scraper notre île mais nous étions certains que nous pourrions un jour trouver au loin par-dela l’océan une autre île ou mieux un continent. »
C’est quoi encore le proverbe?
Ceux qui ne tirent pas de leçons de leur histoire sont condamnés à la répéter…
http://cyclopat.blogspot.com/
Quand les écologistes nous disent qu’il vaudrait mieux réduire l’utilisation de l’auto, et même l’abandonner, moins consommer, fréquenter plus souvent le transport en commun, etc., que ce sont des façons plus intelligentes de vivre, je trouve que ce sont des arguments qui se défendent, on peut en discuter.
Mais quand on met de l’avant un scénario catastrophe en disant qu’il se produira si on ne suit pas ces consignes, là je ne suis plus. Je me dis que les écologistes n’ont pas confiance en leurs arguments rationnels, ils ne les trouvent pas assez convaincants. Plutôt que de chercher à persuader les gens, ils cherchent un argument massue pour ne pas avoir à le faire, pour clore la discussion.
En fait, les écologistes ne veulent pas savoir si la théorie du réchauffement catastrophe est vraie ou non. Ils s’en fichent. On ne voit que son utilité: s’en servir pour changer le comportement des gens.
Fermer les fenêtres de votre appart ou maison pis faites plein de boucanes à l’intérieur on verra ce qui arrivera…
En passant l’atmosphere n’est pas infini, c’est une mince couche d’oxygène d’a peine quelques dizaines de kilomètres d’épaisseur.
Et très bientot, des centaines de millions d’indiens et chinois vont se mettre à boucaner comme nous… ca va etre beau en sale !
L’environnement commence dans notre maison et notre façon de vivre…Ni la gauche, ni la droite, qui parlent pour rien dire…Il y a déjâ dans notre maison des déchets toxiques, dans nos produits ménagers et les produits de soins corporels…J’ai vu une émission qui mettait en relief les dangers pour la santé de ces produits.Je ne peux m’empêcher de parler de PUB Honda, qui a mis le paquet dans le contenant!
Oui la Terre vieillit, mais avec nous dessus, elle va â vitesse grand V. Depuis qu’on a dit (Albert Jacquard) qu’il n’y a pas assez pour que toute la planète vivent â notre mode nord-américaine, car pas assez de ressources, on dirait que c’est la relax…On s’en fait plus vraiment. Nous devrions comme premier acte de solidarité devenir membre de Greenpeace. Ça s’en vient? la levée du moratoire sur la chasse aux baleines (pour le Japon)!. De plus, c’est irrésponsable de laisser un pays qui veut dévelop du nucléaire militaire, regardez l’ex. URSS avec tous son arsenal nucléaire militaire laissé en plan lâ, même sans surveillance. Les pays occidentaux, dont le Canada donne des milliards pour nettoyer et décontaminer des navires, sous-marins de guerre Russe. Et Chernobyl, c’est pas fini, le coffrage (payé par L’Euro) de béton arrive â échéance! Le Canada a même fait des traitements (importé de URSS) de déchets nucléaires! Le Canada est en Artique côté Russe entrain de faire du décontaminage ($). D’oû la nécessité des pays de signer l’accord de non prolifération de l’arme nucléaire (l’Iran l’a signé). Des pays sous développés (Corée du Nord,l’Iran) qui se dotent de l’arme nucléaire et qui ne sont pas responsables des déchets nucléaires! Comme a dit un russe qui vivait dans le fond de la Russie, si l’occident a peur des radiations qu’il vient s’en occuper! L’eau ici est polluée! On doit faire de l’éducation lâ dessus! Pourquoi je parle de Greenpeace en ce momemt, leur navire a retrouvé le navire qui a déversé les déchets toxiques en Côte-d’Ivoire, en Estonie.
Il faut faire attention de ne pas mélanger les polluants toxiques (ou radioactifs) et le CO2.
Le CO2 n’est pas un gaz toxique artificiel mais un gaz aussi naturel que l’oxygène peut l’être (la respiration animale en produit, la photosnynthèse des plantes l’utilise). Et si plusieurs scientifiques mettent en cause le CO2 dans le processus de réchauffement, sa toxicité biologique est nulle, à moins d’en respirer un méchant paquet (c’est sûr que respirer du CO2 pur, ça ne fonctionne pas…).
Le taux de CO2 dans l’atmosphère est d’environ 350 ppm (parties par million). Il était autour de 200 ppm avant l’ère industrielle. Je ne dis pas qu’il est souhaitable de jouer à l’«apprenti sorcier» et de rejeter du CO2 à l’infini dans l’atmosphère mais il faut arrêter de charrier, de rajouter sans cesse une couche aux discours catastrophistes servis dans les médias. Le problème est qu’une multitude d’études scientifique sont publiées chaque année concernant le climat mais que celles qui se frayent un chemin jusqu’aux médias grand public sont toujours les plus sensationnalistes et généralement celles qui cadrent avec le discours à la mode.
-Prendre sa voiture seul(e),ca ne sera jamais l’idéal
pour l’environnement.
-Rouler en Hummer ou même en 4X4,la plupart du temps,
c’est inutile.
-Il y a bel et bien un réchauffement planétaire,et il est certain,logiquement,que toute source de chaleur y
contribue(soleil,volcans,feux de forêts,pétrole,gaz à effets de serre),ainsi que d’autres phénomènes,tels que la réflection sur la poussière atmosphérique.
-Il ne faut pas croire tout ce que les médias nous disent.
-Si un lobby quelconque complote,nous ne le saurons pas tout de suite,mais lorsqu’il sera « trop tard ».
-Sans les combustibles fossiles nous ne serions pas
grand chose,et lorsque nous les aurons épuisés,
on va s’ennuyer de notre maman…
-Si on est vraiment écolo,on doit habiter ou c’est déja
pollué pour ne pas nuire au reste de l’environnement,non?
chaque fois que je reviens au quebec je suis surppris par le nombre grandissant de grosses macchines
au moins les francais ont compris que des ptits chars ca roule aussi bien
sinon jai montré mes fesses dans 23 pays va voir ca!
quebecois a paris
http://www.moonerboy.com
Tiens je viens de lire dans « cette semaine » (de Voir) Albert Jacquard!!
Juste cette semaine on a vu apparaître 5 nouvelles études scientifiques (dont une de la NASA) qui admettent tous ceci: Les prédictions les plus pessimistes quand au réchauffement planétaire étaient en fait trop… optimistes!
Allez lire le dossier de ce matin dans La Presse (pages A2 et A3). Vous y apprendrez que dans le grand nord québécois et canadien, le sol qui reste gelé normallement durant l’été commence maintenant à ramollir.
Les ours polaires disparaîssent à un rythme affolant et ceux qui restent ont perdu 1/4 de leur poids et se bouffent entre eux…
D’ici 2020 la planète pourrait avoir changée radicalement… 2020!!! C’est même plus nos petits enfants qui seront pris avec le problème, c’est nous!
« Selon un rapport scientifique dévoilé aujourd’hui, la température de la Terre n’a jamais été aussi élevée. »
Ton énoncé prend un autre sens lorsque cité en entier…tu aurrai pu dire « depuis des milliers d’années ». La température à effectivement déja été aussi élevée, même plus! Imagine donc la période jurassique qui avait des niveaux de Co2 atmosphériques presque 5 fois plus élevés qu’aujourd’hui!
«Les ours polaires disparaîssent à un rythme affolant et ceux qui restent ont perdu 1/4 de leur poids et se bouffent entre eux»
Mon commentaire: a-t-on un décompte global de tous les ours polaires du nord du continent entre l’année 19xx et 2006? La réponse est probablement non. Dans ces conditions, il n’y a aucune preuve d’une disparition à un «rythme affolant» des ours polaires. De plus, combien d’ours sont tués par la chasse? N’oublions pas que le population inuit est en croissance et que ceux-ci disposent maintenant de fusils et de ski-doos… Si on n’entre pas la chasse (peut-être excessive) dans l’équation, que ce soit la chasse des ours ou de ce que les ours mangent, un (hypothétique) déclin des ours polaires n’est pas une preuve de quoi que ce soit quant au réchauffement et à ces effets. Ceux, dans les médias, qui colportent ces à-peu-près ne sont rien d’autre que de vulgaires propagandistes. On veut «prouver» le réchauffement et ses effets «catastrophiques» et on va chercher N’IMPORTE QUOI pour le «prouver», sans vérifier d’aucune façon la validité du «raisonnement» sous-jacent.
Pour ceux qui se poseraient la question, oui ils tiennent un décompte des ours polaires.
Juste entre 1989 et 2004, la population est passée de 1200 à 950… Une baisse de 22% en 5 ans! Sans compter le poids corporel des femelles qui diminue d’année en année.
Et normallement, même avec le braconnage (la chasse à l’ours blanc est interdite), ils réussissaient à maintenir leur communauté. Plus aujourd’hui. Ils sont maintenant considérés comme une espèce en voie d’extinction.
Des scientifiques ont observés des spécimens qui nagaient dans les eaux artiques à la recherche d’une banquise fondue et qui se noyaient d’épuisement…
Un dernier mot pour les bélugas du Saint-Laurent. Ils étaient 400 000 têtes dans les années 40. Il en reste moins de 2000…
Je viens de lire des bouts des articles de La Presse. C’est écrit par François Cardinal, dont le ton des articles est systématiquement catastrophiste…
Le « décompte des ours polaires » est un bel exemple de traitement bancal des données par les médias. On dit que l’institut Goddard a calculé qu’entre 1989 et 2004, le nombre d’ours polaires est passé de 1200 à 950… Mais il s’agit des ours polaires de quel endroit?? Ceux sur le territoire américain (en Alaska)? Si c’est le cas, peut-être y a-t-il eu simplement migration?… Moi je parle du nombre global d’ours polaires d’Amérique du Nord et du Groenland. Mais je ne peux pas me fier à l’article de La Presse puisque l’autour n’a pas cru bon de spécfier de quels ours dont il s’agissait…
De plus, on dit qu’on a « calculé » la population. C’est quoi ça, « calculé »? On les a dénombrés ou bien on a entré des données parcellaires dans un programme pour évaluer leur nombre?
Il y a autant de danger avec le CO2 que dans les pollutions toxiques et radioactives pour l’humanité.
Je vous invite à lire cet article sur cyberpresse
http://www.cyberpresse.ca/article/20060928/CPSCIENCES/609280748/5527/CPSCIENCES