Québec vient d'être nommée la meilleure ville canadienne où faire des affaires.
Pendant ce temps-là, à Montréal: Zzzzzzzzzzzzzz…
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11 commentaires
Je cours m’établir à Québec!
LIBARTÉ!!!!!
Montréal devrait être nommée meilleure ville au monde
pour « défaire » des affaires:
L’asphalte de nos rues,notre système de transport en commun,les Expos,Les Alouettes,le Canadien,le boulevard
Métropolitain,nos feux de circulation,la loi 101 dans
l’affichage commercial,l’aéroport Mirabel,le stade
olympique,etc,etc,la liste s’allonge jusqu’à Québec…
Parce qu’il n’y a pas de loi 101 dans l’affichage commercial à Québec??? Hello, Houston?
On est devenu un peuple d’analystes à deux cennes et de donneux d’opinions.
Méchante affaire. Il parait que les derniers seront les premiers. Faut se consoler à défaut de se secouer.
S.V.P. Ça m’intéresse !!!
« Les villes de Calgary, Montréal et Toronto se classent respectivement 34e, 37e et 38e sur 40, selon ce palmarès. »
Pour Calgary et Toronto, leur position dans le classement s’explique sans doute pour les mêmes raisons que dans les études KPMG: le coût élevé de l’immobilier et de la main d’oeuvre. Mais Montréal? Sans doute les raisons habituelles: les taxes et la règlementation.
Alors que le chômage est autour de 5% à Québec, dans la Beauce et même à Halifax, Montréal se retrouve dans la situation où 18% des enfants de 0-5 ans vivent de l’aide sociale! Quelle métropole, un exemple et un poumon pour l’économie Québécoise… En fait, Montréal vit essentiellement en raison de sa banlieue et des impôts du reste du Québec. Sans compter la concentration de production artitisque hyper-subventionnée qui s’y concentre et qui devrait justement se financer plus facilement si la ville était le moindrement riche. Alors, effectivement Montréal peut faire mieux.
La culture de dépendance à Montréal est cependant tellement ancrée qu’il va falloir un sacré coup de barre pour lui éviter de continuer à sombrer…
Vont être fous comme des balais dans le gros village! 🙂
Z’ont maintenant une nouvelle occasion de dénigrer la grande ville.
Vive l’omogénité et le conformisme de la capitale!
Francophones blancs, portant casquette, chemise bien repassée et conduisant une Honda Civic avec la voix de Jeff en toîle de fond, pouvez maintenant prendre votre pied, Montréal est battue. Ne leur manque plus qu’une équipe de hockey. Ha non, c’est vrai, z’ont les Jumping Frogs…
Je propose que dorénavant les impôts personnels et corporatifs perçus sur l’Ile de Montréal y restent. On verra bien si Montréal a une culture de dépendance face au reste de la province … j’en doute pas mal…
« les impôts personnels et corporatifs perçus sur l’Ile de Montréal y restent »
Ah oui. Bien. Saviez-vous quelle municipalité avait les plus hauts revenus par habitant en 2004? Chomedey monsieur! Montréal ne collecte des impôts corporatifs que des sièges sociaux qui s’y trouvent et des quelques industries qui y sont établies, coût des terrains et espace restreint n’aidant pas. Il y a aussi pas mal de firmes conseil, mais les salaires sont pas mal plus bas que ce qui se paie ailleurs pour un coût de la vie pas si bas que ça, on s’entend. Montréal présente aussi une plus forte concentration de travailleurs autonomes qui paient aussi moins d’impôts que les salariés réguliers.
Regardons maintenant où sont les industries qui génèrent des salaires importants, avec beaucoup d’employés et générant des impôts: les alumineries, l’aéronautique, les pâtes et papiers, la R&D, les transports?
Pour l’aéronautique, il y en a une certaine partie dans le west-end, mais la concentration est sur la rive-sud et la rive-nord. Bombardier n’a pas d’usines proche, l’industrie lourde est absente. Montréal vit donc essentiellement de ses banlieues. Je ne dis pas que Montréal est totalement au crochet du reste du Québec, mais disons qu’elle est présentement incapable de remplir son rôle. Une métropole qui a un aéroport risible, qui perd sa bourse et qui n’arrive plus à stabiliser ne serait-ce que l’occupation d’un centre de congrès de taille moyenne est effectivement au bas de la chaîne. Je vous rappelle aussi que le dernier projet attractif en date était la Cité du Multimédia, subventionnée par Québec à 60-70%, espaces à bureaux et salaires compris. Pas trop glorieux quand on sait qu’Ottawa , Toronto et même Halifax créaient des emplois aux salaires plus élevés avec un niveau de subventions inférieur.
Mais bon, je suis certain que c’est transitoire. Il le faut, car la province a besoin de Montréal. On ne peut pas gagner la partie si le plus gros joueur est toujours sur le brancard.
Parce que Fillion ne cessait du manque de dynamisme de la ville de Québec et du manque de vision du maire L’Allier. Les X ne sont pas de ceux qui pensent que Québec est une ville favorable aux entreprises. À tout le moins jusqu’à cette semaine…
Je cours m’établir à Québec!
LIBARTÉ!!!!!
Montréal devrait être nommée meilleure ville au monde
pour « défaire » des affaires:
L’asphalte de nos rues,notre système de transport en commun,les Expos,Les Alouettes,le Canadien,le boulevard
Métropolitain,nos feux de circulation,la loi 101 dans
l’affichage commercial,l’aéroport Mirabel,le stade
olympique,etc,etc,la liste s’allonge jusqu’à Québec…
Parce qu’il n’y a pas de loi 101 dans l’affichage commercial à Québec??? Hello, Houston?
On est devenu un peuple d’analystes à deux cennes et de donneux d’opinions.
Méchante affaire. Il parait que les derniers seront les premiers. Faut se consoler à défaut de se secouer.
S.V.P. Ça m’intéresse !!!
« Les villes de Calgary, Montréal et Toronto se classent respectivement 34e, 37e et 38e sur 40, selon ce palmarès. »
Pour Calgary et Toronto, leur position dans le classement s’explique sans doute pour les mêmes raisons que dans les études KPMG: le coût élevé de l’immobilier et de la main d’oeuvre. Mais Montréal? Sans doute les raisons habituelles: les taxes et la règlementation.
Alors que le chômage est autour de 5% à Québec, dans la Beauce et même à Halifax, Montréal se retrouve dans la situation où 18% des enfants de 0-5 ans vivent de l’aide sociale! Quelle métropole, un exemple et un poumon pour l’économie Québécoise… En fait, Montréal vit essentiellement en raison de sa banlieue et des impôts du reste du Québec. Sans compter la concentration de production artitisque hyper-subventionnée qui s’y concentre et qui devrait justement se financer plus facilement si la ville était le moindrement riche. Alors, effectivement Montréal peut faire mieux.
La culture de dépendance à Montréal est cependant tellement ancrée qu’il va falloir un sacré coup de barre pour lui éviter de continuer à sombrer…
Vont être fous comme des balais dans le gros village! 🙂
Z’ont maintenant une nouvelle occasion de dénigrer la grande ville.
Vive l’omogénité et le conformisme de la capitale!
Francophones blancs, portant casquette, chemise bien repassée et conduisant une Honda Civic avec la voix de Jeff en toîle de fond, pouvez maintenant prendre votre pied, Montréal est battue. Ne leur manque plus qu’une équipe de hockey. Ha non, c’est vrai, z’ont les Jumping Frogs…
Je propose que dorénavant les impôts personnels et corporatifs perçus sur l’Ile de Montréal y restent. On verra bien si Montréal a une culture de dépendance face au reste de la province … j’en doute pas mal…
« les impôts personnels et corporatifs perçus sur l’Ile de Montréal y restent »
Ah oui. Bien. Saviez-vous quelle municipalité avait les plus hauts revenus par habitant en 2004? Chomedey monsieur! Montréal ne collecte des impôts corporatifs que des sièges sociaux qui s’y trouvent et des quelques industries qui y sont établies, coût des terrains et espace restreint n’aidant pas. Il y a aussi pas mal de firmes conseil, mais les salaires sont pas mal plus bas que ce qui se paie ailleurs pour un coût de la vie pas si bas que ça, on s’entend. Montréal présente aussi une plus forte concentration de travailleurs autonomes qui paient aussi moins d’impôts que les salariés réguliers.
Regardons maintenant où sont les industries qui génèrent des salaires importants, avec beaucoup d’employés et générant des impôts: les alumineries, l’aéronautique, les pâtes et papiers, la R&D, les transports?
Pour l’aéronautique, il y en a une certaine partie dans le west-end, mais la concentration est sur la rive-sud et la rive-nord. Bombardier n’a pas d’usines proche, l’industrie lourde est absente. Montréal vit donc essentiellement de ses banlieues. Je ne dis pas que Montréal est totalement au crochet du reste du Québec, mais disons qu’elle est présentement incapable de remplir son rôle. Une métropole qui a un aéroport risible, qui perd sa bourse et qui n’arrive plus à stabiliser ne serait-ce que l’occupation d’un centre de congrès de taille moyenne est effectivement au bas de la chaîne. Je vous rappelle aussi que le dernier projet attractif en date était la Cité du Multimédia, subventionnée par Québec à 60-70%, espaces à bureaux et salaires compris. Pas trop glorieux quand on sait qu’Ottawa , Toronto et même Halifax créaient des emplois aux salaires plus élevés avec un niveau de subventions inférieur.
Mais bon, je suis certain que c’est transitoire. Il le faut, car la province a besoin de Montréal. On ne peut pas gagner la partie si le plus gros joueur est toujours sur le brancard.
Parce que Fillion ne cessait du manque de dynamisme de la ville de Québec et du manque de vision du maire L’Allier. Les X ne sont pas de ceux qui pensent que Québec est une ville favorable aux entreprises. À tout le moins jusqu’à cette semaine…
On aurait dû lire » ne cessait de se plaindre «